ANOTECHNOLOGIE ... POUR LE MEILLEUR ET POUR LE PIRE
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Souriez... Vous êtes pucés !
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«.....Alors que tout ça a disparu, je vois flotter de minuscules choses noires autour de moi. J’essaie de sentir ce que c’est, mais je n’y parviens pas ; cela me semble une matière très fine. Mes yeux ne distinguent pas ce que c’est. C’est comme si je devais regarder à travers quelque chose et, en contrebas, je vois à présent de magnifiques champs blancs. Sur ces champs, je vois ces mêmes petites choses noires, mais grossies et comme vivantes. Je ne sais comment l’expliquer. Je demande à la DAME : «Est-ce que ce sont des bacilles ?» Avec beaucoup de gravité, elle répond : «C’est diabolique.»
Je sens alors mon visage enfler ainsi que tout mon corps. J’ai l’impression que mon visage grossit énormément, que tout se raidit et est boursouflé. Je ne peux pas bouger. J’entends la DAME dire : «Et c’est ce qu’ils sont en train d’inventer», puis, tout doucement : «le RUSSE, mais les autres aussi.» |
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PROPHÉTIES D'AMSTERDAM «NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES»
14ème Message (26 DÉCEMBRE 1947)
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I. POUSSIÈRE INTELLIGENTE CAPTEURS (SMART DUST)
- SÉNAT - utilisation des «poussières intelligentes» («smart dust») à des fins d'espionnage.
- CHAMBRE DES DÉPUTÉS PARIS 2012 nano brothers (capteurs, puces électroniques)
- «Smart dust», la «poussière intelligente» qui espionne pour l'armée
- Les «poussières intelligentes» («smart dust») ordinateurs plus petit qu'un grain de sable plus petites qu'un grain de sable vivent grâce à la chaleur du corps dans lequel elle sont insérées
- TSR 2006 les nano particules ingérées par l'organisme
- «Poussières intelligentes» nano-nez détecteurs d’odeurs
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II. DES MICRO-DRONES AUX CYBORGS MI-ZOMBIES : RÉCUPÉRER L'ENERGIE ANIMALE HUMAINE ET LUMINEUSE POUR RENDRE LES ÊTRES NANOTECHNOLOGIQUES INDÉPENDANTS
- «Little brother», créatures adaptées à être transformées en batteries vivantes pour la surveillance
- Des micro ordinateurs de surveillance dits . «poussières intelligentes» qui vivront à partir d’une énergie qu’ils tireront de leur environnement dont de l'intérieur des êtres humains
- Récupérer l’énergie des lucioles
- Création de la première cellule zombie par des chercheurs américains
- Des nano-fibres polymère hautement conductrices qui se construisent «toutes seules»
- Nanoparticules qui communiquent les unes avec les autres à l’intérieur du corps
- Polymères et nanoparticules : le mélange parfait
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III. NOUVELLES MALADIES NANOTECHNOLOGIQUES ET CHEMTRAILS
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I. POUSSIÈRE INTELLIGENTE CAPTEURS (SMART DUST)
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MAI 2010
L’article suivant nous présente la «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» («SMART DUST») et nous signale qu’une multinationale putride (HEWLETT PACKARD) et des scienti-flics fous ont déjà prévu de répandre des millions, des milliards et meme des billions (milliers de milliards) de capteurs minuscules afin de «tout surveiller», et ce sur «toute la planète» !!!
Cet article nous ment effrontément lorsqu’il prétend que les capteurs actuels les plus petits sont «de la taille d’une boite d’une taille d’allumettes», et lorsqu’il nous fait croire que le nom de «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» est usurpé : nous nous souvenons en effet tous de la µ-CHIP(MU-CHIP)D’HITACHI, qui possède la taille d’un grain de poussière !
Ce n’est hélas pas le seul mensonge et la seule manipulation que l’on trouve dans ce ramassis de désinformation… On tente ainsi de nous faire croire à toute une série d’applications soi-disant «positives», alors que les applications les plus orwelliennes ont d’ores et déjà été prévues, comme nous avons pu le constater dans de nombreux autres articles !
Par exemple, en parlant des CAPTEURS «SMART DUST» qui seraient répandus sur les places de parking, on a «omis» l’application la plus évidentes : que ces capteurs invisibles signalent à la police toute infraction, et permettent de distribuer des contredanses aux conducteurs en infraction.
Cependant, en lisant bien l’article, il est bien signalé que ces capteurs infimes et sans fil serviront aussi a surveiller les gens, et que les défenseurs de libertés sont fort inquiets face aux possibilités liberticides de ces dispositifs odieux et presqu'invisibles à l’œil nu !
De plus, les réseaux de ces capteurs peuvent être connectés et reliés, créant ainsi d’immenses bases de données qui peuvent se recouper, augmentant encore le danger de dictature ! Inutile d’aller plus loin pour imaginer les risques immenses que cette technologie totalitaire est capable de faire courir aux libertés et à la démocratie !
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Des milliers de capteurs minuscules ont déja été disséminés dans certaines grandes villes américaines (et européennes ?), ainsi que pour des expériences spécifiques. le risque n’est donc plus a mettre au futur ou au conditionnel, mais bien au présent !
Cet article nous ment effrontément lorsqu’il prétend que les capteurs actuels les plus petits sont «de la taille d’une boite d’une taille d’allumettes», et lorsqu’il nous fait croire que le nom de «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» est usurpé : nous nous souvenons en effet tous de la µ-CHIP(MU-CHIP)D’HITACHI, qui possède la taille d’un grain de poussière !
Ce n’est hélas pas le seul mensonge et la seule manipulation que l’on trouve dans ce ramassis de désinformation… On tente ainsi de nous faire croire à toute une série d’applications soi-disant «positives», alors que les applications les plus orwelliennes ont d’ores et déjà été prévues, comme nous avons pu le constater dans de nombreux autres articles !
Par exemple, en parlant des CAPTEURS «SMART DUST» qui seraient répandus sur les places de parking, on a «omis» l’application la plus évidentes : que ces capteurs invisibles signalent à la police toute infraction, et permettent de distribuer des contredanses aux conducteurs en infraction.
Cependant, en lisant bien l’article, il est bien signalé que ces capteurs infimes et sans fil serviront aussi a surveiller les gens, et que les défenseurs de libertés sont fort inquiets face aux possibilités liberticides de ces dispositifs odieux et presqu'invisibles à l’œil nu !
De plus, les réseaux de ces capteurs peuvent être connectés et reliés, créant ainsi d’immenses bases de données qui peuvent se recouper, augmentant encore le danger de dictature ! Inutile d’aller plus loin pour imaginer les risques immenses que cette technologie totalitaire est capable de faire courir aux libertés et à la démocratie !
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Des milliers de capteurs minuscules ont déja été disséminés dans certaines grandes villes américaines (et européennes ?), ainsi que pour des expériences spécifiques. le risque n’est donc plus a mettre au futur ou au conditionnel, mais bien au présent !
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L’article fourbe et sournois de CNN prend même le prétexte pseudo-écologique afin de justifier la mise en application de cette technologie malfaisante ! ainsi, on utilise des excuses faussement bienfaisantes afin d’amener une technologie excessivement dangereuse et malveillante. on pousse même le mensonge jusqu'à l'immonde, en prétendant que cette technologie d'espionnage permanent nous amènera un «futur brillant». et on pousse le vice jusqu'à présenter les salauds qui mettent ce genre de technologie nocive en application comme les «sauveurs du monde» ! ...abject !
L’article fourbe et sournois de CNN prend même le prétexte pseudo-écologique afin de justifier la mise en application de cette technologie malfaisante ! ainsi, on utilise des excuses faussement bienfaisantes afin d’amener une technologie excessivement dangereuse et malveillante. on pousse même le mensonge jusqu'à l'immonde, en prétendant que cette technologie d'espionnage permanent nous amènera un «futur brillant». et on pousse le vice jusqu'à présenter les salauds qui mettent ce genre de technologie nocive en application comme les «sauveurs du monde» ! ...abject !
Je le répète encore une fois : si rien n’est fait au niveau citoyen et populaire pour rendre ce genre de technologie interdit et illégal, nous allons morfler… très bientôt !
L’article traduit en français, ci-dessous…
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LA «SMART DUST» («POUSSIÈRE INTELLIGENTE») VISE À TOUT SURVEILLER
Par JOHN D. SUTTER, CNN Le 3 MAI 2010 PALO ALTO, CALIFORNIE (AP) - Dans les années 1990, un chercheur nommé KRIS PISTER imagina un avenir fantastique ou les gens ARROSAIENT LA TERRE avec des sondes minuscules innombrables, pas plus grandes que des grains de riz... Ces particules de «SMART DUST» («POUSSIÈRE INTELLIGENTE, ou futée»), comme il les a appelées, surveilleraient tout, agissant comme des terminaisons nerveuses électroniques électroniques pour la planète. Équipée d’une grande puissance de calcul, d’équipements sensitifs, de radios sans fil (WI-FI) et de batterie longue durée, la POUSSIÈRE INTELLIGENTE ferait des observations et transmettrait par relais des montagnes des données en temps réel au sujet des personnes, des villes et de l’environnement normal... A présent, une version de l’imaginaire de PISTER concernant la «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» est en train de devenir réalité. «C'est excitant. Cela a mis longtemps à venir», a déclaré PISTER, professeur d’informatique à l'UNIVERSITÉ de BERKELEY en CALIFORNIE. «J'ai inventé l'expression il y a 14 ans. Donc, la SMART DUST a pris un certain temps, mais elle est enfin là». Peut-être pas exactement comment il l’envisageait. Mais il y a eu des progrès. La dernière nouvelle d’actualité provient de la société informatique et d'impression HEWLETT-PACKARD, qui a vient d'annoncer qu'elle était en train de travailler sur un projet qu'elle appelle le «CENTRAL NERVOUS SYSTEM FOR THE EARTH» («SYSTÈME NERVEUX CENTRAL POUR LA TERRE»). Dans les années qui viennent, la Société prévoit de déployer un trillion de sondes sur toute la planète. Ces dispositifs sans fil vérifieraient si les écosystèmes sont en bonne santé, détecteraient les tremblements de terre plus rapidement, prédiraient les tendances du trafic et surveilleraient la consommation d'énergie. L'idée est que des accidents pourraient être évités et que de l'énergie pourrait être sauvée si les gens savaient davantage de choses sur le monde en temps réel, au lieu de lorsque les travailleurs vérifient ces questions à l'occasion seulement. HEWLETT-PACKARD fera son premier pas vers cet objectif dans deux ans environ, a déclaré PETE HARTWELL, un chercheur principal des Laboratoires HEWLETT PACKARD, à PALO ALTO. La Société a élaboré des projets avec ROYAL DUTCH SHELL afin d'installer 1 million de capteurs de la taille d’une boite d'allumettes pour aider l'exploration pétrolière en mesurant les vibrations de la roche et le mouvement, a-t-il dit. Ces capteurs, qui ont déjà été développés, couvriront une superficie de 6 miles carrés. Ce sera le plus grand déploiement de «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» à ce jour, a-t-il dit. «Nous pensons tout simplement qu’à présent, la technologie a atteint un point où il est tout à fait logique pour nous... de faire sortir cela (ndt : LA SMART DUST) du laboratoire et de la faire entrer dans la realite», a déclaré HARTWELL. DE LA «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» (MOINS LA «POUSSIÈRE») Malgré le récent enthousiasme, il y a encore beaucoup de confusion dans l'industrie informatique concernant ce qu’est exactement la «POUSSIÈRE INTELLIGENTE». Pour commencer, les capteurs qui sont en train d’être déployés et mis au point aujourd'hui sont beaucoup plus grands et encombrants que des particules de poussière. Les capteurs de chez HEWLETT PACKARD – des accéléromètres comme ceux de l'IPHONE et du DROID PHONE, mais environ 1.000 fois plus puissants - ont la taille de boîtes d'allumettes. Quand ils sont enfermés dans une boîte métallique pour leur protection, ils ont environ la taille d'une cassette VHS. Alors, qu’est-ce qui rend un capteur SMART DUST différent d'une station météo ou d’un moniteur de trafic ? La taille est un facteur. Les capteurs SMART DUST doivent être relativement petits et portables. Mais la technologie n'a pas suffisamment avancée que pour fabriquer des capteurs à l'échelle du millimètre pour une utilisation commerciale (bien que les chercheurs de BERKELEY essayent d’en faire un qui fasse un millimètre cube). Les connexions sans fil constituent un élément important qui fait aussi la différence. Le thermostat d'un bâtiment est le plus probablement câblé. un capteur SMART DUST pourrait mesurer la température, mais il serait alimenté par piles et communiquerait sans fil avec l'internet et avec d'autres capteurs. Le nombre de capteurs que l’on trouve dans le réseau est ce qui rend vraiment différent un projet de «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» comparé à d’autres efforts visant à enregistrer les données sur le monde, a déclaré DEBORAH ESTRIN, un professeur d'informatique à l'Université de LOS ANGELES en CALIFORNIE, qui travaille dans le secteur. Les chercheurs sur la SMART DUST («POUSSIÈRE INTELLIGENTE») ont tendance a parler en termes de millions, de milliards et de billions. Certains disent que la réalité s'est écartée si loin de la notion de POUSSIÈRE INTELLIGENTE qu'il est temps de laisser tomber ce terme en faveur de quelque chose de moins sexy. «RÉSEAUX DE CAPTEURS SANS FIL» («WIRELESS SENSOR NETWORKS») OU «MAILLES» («MESHES») sont des termes qui trouvent une plus grande acceptation chez certains chercheurs. ESTRIN a déclaré qu'il est important d'abandonner l'idée selon laquelle les capteurs de «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» seraient jetables. LES CAPTEURS DOIVENT ÊTRE CONÇUS À DES FINS SPECIFIQUES ET SE RÉPANDRE SUR LES TERRES DE FAÇON INTENTIONNELLE - PAS DISPERSÉS DANS LE VENT, comme l’idée de la SMART DUST avait d'abord été lancée, dit-elle. «LA TOILE DU MONDE RÉEL» Malgré ces différences, les chercheurs disent que la théorie de la «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» selon laquelle surveiller tout bénéficie a l'humanité reste essentiellement inchangée. Et il y a un certain nombre de projets du monde réel qui, d'une manière ou d'une autre, cherchent à utiliser des capteurs sans fil afin de prendre les signes vitaux de la Terre. Des capteurs sans fil surveillent actuellement des exploitations agricoles, des usines, des centres de données et des ponts afin de promouvoir l'efficacité et la compréhension concernant la façon dont ces systèmes fonctionnent, ont dit les chercheurs au cours d’interviews. Dans tous ces cas, les réseaux de capteurs sont déployés dans un but précis.
Par exemple, une société appelée STREETLINE a installé 12.000 capteurs sur des places de parking et des autoroutes de SAN FRANCISCO. les capteurs ne savent pas tout ce qui se passe sur ces places de parking. ils sont équipés de magnétomètres afin de capter si oui ou non un énorme objet en métal - une voiture, on espère – se trouve sur la place de parking.
Ces données seront bientôt disponibles pour les gens, qui pourront les utiliser pour savoir où se garer, a déclaré TOD DYKSTRA, chef de la direction de STREETLINE. Cela indiquera également à la ville si les compteurs sont arrivés à expiration. D'autres capteurs sont équipés pour mesurer les vibrations DANS LES USINES et les raffineries de pétrole afin de repérer les problèmes et les inefficacités des machines avant que ceux-ci ne causent des ennuis. d'autres encore pourraient récolter des données sur la température, la composition chimique ou les sons. de minuscules caméras ou radars peuvent aussi être implantés sur le réseau de collecte des données pour détecter la présence de personnes ou de vehicules. la puissance de ces réseaux est qu'ils peuvent éventuellement être reliés, a déclaré DAVID CULLER, professeur de sciences informatiques à l'Université de BERKELEY en CALIFORNIE. CULLER dit que le développement de ces réseaux de capteurs sans fil est analogue a la création du WORLD WIDE WEB. Ce qui est créé avec l'idée de la SMART DUST est une «TOÎLE MONDIALE RÉELLE», a-t-il dit. Mais il dit que nous ne sommes encore qu’au début de cette progression. «Le NETSCAPE [pour les] réseaux de capteurs sans fil n'est pas encore tout à fait arrivé», a-t-il dit. L’EFFET BIG BROTHER Même lorsqu'ils sont déployés pour la science ou pour le public, certaines personnes continuent de ressentir une impression BIG BROTHER - la sensation inconfortable d'être sous une surveillance constante et secrète - a l'idée de placer des milliards de mouchards dans le monde entier. «C'est une invasion potentielle de la vie privée très, très, très importante parce que nous parlons de très, très petits capteurs qui peuvent être indétectables, et ce de manière efficace», a déclaré LEE TIEN, avocat à l'ELECTRONIC FRONTIER FOUNDATION, et défenseur de la vie privée. «ils sont là en si grand nombre que vous ne pouvez pas vraiment faire quoi que ce soit à leur sujet en termes de contre-mesures faciles». cela ne signifie pas que les chercheurs devraient cesser de travailler sur la «POUSSIÈRE INTELLIGENTE». mais ils devraient faire attention à la vie privée à mesure que le travail progresse, a-t-il dit. PISTER a dit que les fréquences sans fil que les capteurs de «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» utilisent pour communiquer – et qui fonctionnent un peu comme le WI-FI - ont une sécurité qui leur est intégrée. Donc, les données ne sont publiques que si la personne ou l'entreprise qui a installé le capteur veut qu'elles le soient, a-t-il dit. «de toute évidence, il y a des problèmes de sécurité et de vie privée», a-t-il dit, «et la bonne nouvelle, c'est que lorsque la technologie radio était en train d’être mise au point pour ce truc, c’était peu de temps après toutes les grandes préoccupations sur la sécurité du WI-FI… Nous avons tous les outils de sécurité dont nous avons besoin là-dessous afin de rendre cette information privée». D'autres problèmes de vie privée peuvent survenir si une autre vision de la «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» devient réelle. certains chercheurs cherchent a transformer les téléphones mobiles en capteurs. Dans ce scénario, les milliards de personnes qui errent sur la Terre avec des téléphones portables deviennent la «POUSSIÈRE INTELLIGENTE». UN AVENIR BRILLANT Les chercheurs sur la «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» disent que leur théorie de surveiller le monde – peu importe comment elle est réalisée - bénéficiera aux personnes et à l'environnement. Davantage d'information est une meilleure information, a dit PISTER. «Avoir plus de capteurs améliore l'efficacité d'un système, réduit la demande et réduit les déchets», dit-il. «Donc, tout cela est simplement de la bonté directe». HARTWELL, le chercheur de chez HEWLETT-PACKARD, dit que le seul moyen pour les gens de lutter contre d'énormes problèmes tels que le changement climatique et la perte de biodiversité est d'avoir plus d'informations sur ce qui se passe. «Franchement, je pense que nous devons le faire, à partir d'un point de vue environnemental et de durabilité», a-t-il dit. Bien que la première application du projet de HEWLETT-PACKARD du «SYSTÈME NERVEUX CENTRAL POUR LA TERRE» sera commerciale, HARTWELL dit que les motivations qui se trouvent derrière la SMART DUST sont altruistes. «Les gens me demandent en quoi consiste mon travail, et je leur dis eh bien, je vais sauver le monde», a-t-il dit.
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communiquant entre eux, ils seraient capables d'élaborer un bilan précis de la situation lors d'un incendie ou d'un séisme et de le transmettre à un ordinateur central. Mais, détournée par une puissance malveillante, cette technologie deviendrait un terrifiant outil d'espionnage d'une région ou d'une nation. On peut aussi malheureusement concevoir qu'un individu en jette une poignée dans une salle de réunion ou dans une pièce d'une habitation privée et puisse ensuite savoir tout ce qui s'y passe ou s'y dit..
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CHAMBRE DES DÉPUTÉS
PARIS 2012
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LCP ALEX TÜRK CNIL NANO BROTHERS (capteurs, puces électroniques dans les cartes et les portables)
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2013
Beaucoup ont été impressionnés par le petit SoC ARM Cortex-a7, mais une équipe de chercheurs de l'UNIVERSITÉ DU MICHIGAN ont mis au point un ordinateur complet avec une taille inférieure à un millimètre cube.
L'ordinateur de MICHIGAN MICRO MOTE (ou «M³» et appelé POUSSIÈRE INTELLIGENTE) est un micro-ordinateur capable d'effectuer des opérations de base telles que : stockage et traitement de données, connectivité (go/LED/Optical avec M³ multiples, qui peuvent fonctionner en mode «essaim»), ainsi que la possibilité de détecter et surveiller votre environnement.
Avec ses fonctions de base, ses applications possibles sont nombreuses, comme par exemple mesurer la tension (même si pour le moment il a seulement été testé chez l'animal), pour détecter les blocages dans les vaisseaux sanguins, surveillance par exemple de détection des intrusions, les applications topographiques, parmi bien d'autres possibilités.
M³ a une très faible consommation, ainsi il est CAPABLE DE TRAVAILLER AVEC L'ÉNERGIE SOLAIRE ET MÊME TECHNIQUES DE GÉNÉRATION PASSIVE D'ÉNERGIE TELS QUE VIBRATIONS ENVIRONNEMENTALES ET LA CHALEUR DU CORPS DANS LEQUEL ELLE EST INSÉRÉE.
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Il faut sans doute s’inquiéter de voir des chercheurs probablement très altruistes, être tellement pris par leurs recherches et «enthousiastes» à leurs idées, qu’ils en oublient les possibles conséquences, et qu’ils ne se soucient plus de savoir pour qui ils travaillent vraiment, et à quel fin...
Qu’en pensez-vous ? Est-il possible également que certains «épandages» de nuages chimiques soient déjà des «épandages» de sondes-nanites, de cette fameuse poussière dite «POUSSIÈRE INTELLIGENTE»... ? (même s’ils affirment qu’on n’en est pas encore là ) Voilà que les complices du BIG BROTHER veulent se faire nos protecteurs, nos amis, nos sauveurs !!! On est pas sortit de l'Auberge ! SOURCE : FUTURA SCIENCES SELON CERTAINS, LES «SMART DUST» TOMBENT DU CIEL ET SONT DEJA PRÉSENTS DANS NOTRE ENVIRONNEMENT... la «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» est déjà dans notre environnement |
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En combinant nanotechnologie et microfluidique, des chercheurs de l’UNIVERSITÉ DE SANTA BARBARA (UCSB) ont créé un détecteur à haute performance qui tire son inspiration de l’anatomie du nez d’un chien afin d’identifier avec précision des substances - y compris les explosifs et les stupéfiants - à partir de très faibles concentrations de molécules dans l’air.
Capable de détecter des odeurs dix mille fois plus faibles que ce que les humains peuvent faire, le nez d’un chien est un atout précieux pour les forces de police du monde entier. Ainsi, lorsque les chercheurs de l’UCSB ont entrepris de construire un nez électronique efficace qui pourrait aider la sécurité intérieure, ils savaient déjà où ils pourraient trouver le design parfait.
En modélisant la façon dont le nez d’un chien absorbe efficacement et concentre les molécules dans l’air, les chercheurs ont réussi à produire un appareil avec une performance remarquable, capable de capturer et identifier des molécules à des concentrations aussi faibles qu’une partie dans un milliard - et ce aussi bien, ou mieux que leurs homologues à quatre pattes.
Dans la puce de la taille d’une trombone, un réseau de canaux à l’échelle microscopique 20 fois plus fins qu’un cheveu humain, capte les molécules et augmente leur concentration par un facteur pouvant aller jusqu’à un million. Puis les molécules interagissent avec des nanoparticules qui amplifient leur signature spectrale, et un spectromètre miniature détecte leur composition. Les résultats de cette analyse sont ensuite comparés à une base de données exhaustive pour trouver la correspondance la plus proche, et identifier la molécule avec un haut degré de précision.
Même s’il a d’abord été conçu pour être utilisé dans la détection d’explosifs (la conception sera bientôt commercialisé pour des applications de sécurité nationale), cette technologie peut avoir des applications bien plus ambitieuses. Parce qu’elle peut être utilisée pour identifier une très grande variété de molécules, les chercheurs disent que cela pourrait être facilement adapté pour détecter des substances narcotiques, de la nourriture avarié, ou même comme outil de diagnostic afin d’identifier la maladie, y compris certaines formes de cancer.
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II. DES MICRO-DRONES AUX CYBORGS MI-ZOMBIES |
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RÉCUPÉRER L’ÉNERGIE ANIMALE HUMAINE ET LUMINEUSE POUR RENDRE LES ÊTRES NANOTECHNOLOGIQUES ZOMBIES VIVANTS ET INDÉPENDANTS |
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En Septembre 2012, des chercheurs de l'Université de l'État de CAROLINE ont annoncé le projet d'une MICRO PUCE LÉGÈRE POUVANT ÊTRE IMPLANTÉE SUR UN CAFARD QUI POURRA CONTRÔLER SES MOUVEMENTS SANS FIL. Jusqu'à présent, le seul obstacle qui empêchait cette technologie d'être intégrée à une fonction de surveillance était la difficulté de lui fournir de l'énergie.
Toutefois, une solution intéressante est déjà à l'essai.
À peu près au même moment où l'équipe de CAROLINE était occupée à recréer des CAFARDS DE ZOMBIES, le Département de chimie et de science Bimoléculaire de l'Université CLARKSON a développé un circuit d'alimentation biologique basé facilement capable d'alimenter micro ou nano, de saisir les données des circuits et de la transmission.
Plutôt bizarrement, LA CRÉATURE LA PLUS ADAPTÉE À ÊTRE TRANSFORMÉE EN UNE BATTERIE VIVANTE N'EST PAS UN INSECTE, MAIS L'ESCARGOT BRUN COMMUN-OU-JARDIN, dont les propriétés visqueuses apparemment rendent parfaitement adapté à la tâche.
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DES MICRO ORDINATEURS DE SURVEILLANCE DITS «POUSSIÈRES INTELLIGENTES» QUI VIVRONT À PARTIR D’UNE ÉNERGIE QU’ILS TIRERONT DE LEUR ENVIRONNEMENT DONT DE L'INTÉRIEUR DES ÊTRES HUMAINS
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Jeudi 2 mai 2013, par Bernard Neumeister
DES MILLIERS DE MINUSCULES ORDINATEURS QUI PIÈGENT L’ÉNERGIE DE LEUR ENVIRONNEMENT POURRAIENT UN JOUR ÊTRE UTILISÉS POUR SURVEILLER VOTRE MONDE
Pensiez-vous que votre smartphone ou tablette puisse devenir aussi petit qu’une phalange ? Ce n’est rien. La prochaine génération d’ordinateurs sera capable d’effectuer des calculs complexes, et sera à pleine plus gros qu’un flocon de neige.
Ces minuscules ordinateurs - surnommés «SMART DUST» ou «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» - fonctionneraient un peu comme leurs grands cousins, assure PRABAL DUTTA de UNIVERSITÉ DU MICHIGAN à ANN ARBOR. Ils auront de minuscules processeurs qui exécutent des programmes grâce à un système d’exploitation squelettique et seront être en mesure d’accéder également de petites rangées de RAM et de mémoire flash. Il est prévu que ces machines emballées dans des capteurs soient intégrées dans les bâtiments et les objets par centaines, voire par milliers, fournissant des informations mises à jour en permanence sur le monde qui nous entoure.
Le groupe de PRABAL DUTTA est en train de créer les premiers prototypes, qu’ils ont surnommé MICHIGAN MICRO MOTES (M3). Ces dispositifs, d’un millimètre cube, sont équipés de capteurs pour surveiller la température ou les mouvements, par exemple, et peuvent envoyer des données par ondes radio.
Mais comment voulez-vous recharger quelque chose de si petit ? «LA VISION DE RECOUVRIR LE MONDE DE CAPTEURS INTELLIGENTS EST TRÈS CONVAINCANTE», assure JOSHUA SMITH, chef du Laboratoire de systèmes de détection à l’UNIVERSITÉ DE WASHINGTON à SEATTLE. «Mais beaucoup de chercheurs en réseaux de capteurs se sont retrouvés entourés par des montagnes de batteries épuisées et des nœuds de capteurs morts».
Donc, comme de microscopiques Robinson Crusoé, LES MOTES VIVRONT À PARTIR D’UNE ÉNERGIE QU’ILS TIRERONT DE LEUR ENVIRONNEMENT. Un MOTE à proximité d’une source de lumière peut utiliser un minuscule panneau solaire, tandis qu’un mote fonctionnant quelque part où se trouvent des températures des extrêmes peut être fabriquer pour exploiter cela, par conversion de l’énergie thermique qui s’écoule entre le chaud et le froid, en électricité.
Alors, quelle sera la killer app de la SMART DUST ? L’équipe du MICHIGAN pense que des MICRO MOTES pourraient être utilisés pour surveiller chaque petit mouvement de grandes structures comme les ponts ou les gratte-ciel. Et des MOTES dans une maison intelligente pourraient présenter un rapport sur l’éclairage, la température, les niveaux de monoxyde de carbone et d’occupation. Avec des motes intégrés dans tous vos biens, il pourrait être possible de lancer une recherche sur GOOGLE dans le monde physique. Par exemple, demander à GOOGLE «Où sont mes clés ?» et cela vous donnera la bonne réponse si elles ont été équipées avec un MOTE.
Les ordinateurs «SMART DUST» pourraient rendre des implants médicaux plus efficaces aussi. L’idée est que des MOTES PLACÉS À L’INTÉRIEUR DU CORPS surveilleraient les signes vitaux d’un patient. Par exemple, dans la recherche non encore publiée, l’équipe du MICHIGAN a implanté un MICRO MOTE à l’intérieur d’une tumeur d’une souris afin qu’il puisse rendre compte de sa croissance.
JOSHUA SMITH travaille également sur l’informatique miniature, avec ses plateformes sans fil d’identification et de détection (WISP). Etant plus avancé encore dans le développement de WISP par rapport aux Micro, WISP communique via des appareils d’identification par radiofréquence, en utilisant le même langage informatique que votre carte de crédit de prochaine génération utilise. Comme MICRO MOTES, WISP n’a pas besoin de batteries et ne consomme que ce qu’il peuvent récupérer - les signaux parasites provenant d’une tour de télévision de proximité pourraient faire l’affaire, par exemple.
Mais la communication reste un goulet d’étranglement pour la prochaine vague de miniaturisation informatique. Pour la même quantité d’énergie un MOTE pourrait effectuer 100.000 opérations sur son CPU mais seulement transmettre un bit d’information vers le monde extérieur.
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http://tinyurl.com/ceqr637 (pour plus d’informations)
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DES CHERCHEURS DE LA SYRACUSE UNIVERSITY FONT APPEL À LA NANOTECHNOLOGIE POUR RÉCUPÉRER L’ÉNERGIE DES LUCIOLES
Lundi 18 juin 2012, par BERNARD NEUMEISTER15 juin 2012 : Qu’ont de commun les lucioles, les nanotiges et les lumières de Noël ? Un jour, les consommateurs pourraient être en mesure d’acheter des chaînes multicolores de lumière qui ne nécessite pas d’électricité ou de piles pour briller. Les scientifiques du COLLÈGE DES ARTS ET DES SCIENCES DE L’UNIVERSITÉ DE SYRACUSE ont trouvé une nouvelle façon d’exploiter la lumière naturelle produite par les lucioles (appelée bioluminescence) à l’aide des nanosciences. Leur percée permet de produire un système qui est de 20 à 30 fois plus efficace que celles produites au cours des expériences précédentes. Tout est en rapport avec la taille et la structure des nanotiges quantiques personnalisées qui sont produites dans le laboratoire par MATHEW MAYE, professeur adjoint de chimie au COLLÈGE SU DES ARTS ET DES SCIENCES, et RABEKA ALAM, un doctorant de chimie.
«La lumière des lucioles est l’un des meilleurs exemples de bioluminescence», précise MATTHEW MAYE. «La lumière est très brillante et efficace. Nous avons trouvé une nouvelle façon d’exploiter la biologie pour des applications non biologiques en manipulant l’interface entre les composants biologiques et non biologiques».
http://www.infohightech.com/spip.php?article31565 |
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La science fiction en a rêvé, vous en avez rêvé, les américains l’ont fait ! Ils ont réussi à développer une cellule morte… toujours en fonction… Vous avez dit ZOMBIE ? On vous explique tout ça…Il s’agit d’une première mondiale, les chercheurs n’en reviennent toujours pas d’avoir réussi leur expérience et que les résultats surpassent ce qu’ils avaient imaginé : la cellule morte s’est montrée plus performante que lorsqu’elle était vivante, on imagine le pire…Les scientifiques du LABORATOIRE NATIONAL DE SANDIA et de l’UNIVERSITÉ DU NOUVEAU-MEXIQUE ont eu recours à une technique originale. Ils ont enduit des cellules de mammifères avec une solution de silice pour former une sorte de blindage perméable autour de la protéine de la cellule vivante, et permettre ainsi aux chercheurs de confronter la cellule à des températures et des pressions inimaginables pour une cellule vivante. Chauffée à 400°C, la cellule s’évapore littéralement et laisse dans la silice une réplique tridimensionnelle des structures minéralisées et des fonctionnalités complexes de l’organisme vivant qu’elle était avec une précision quasi atomique, tout en préservant la spirale de l’ADN cellulaire. Étonnamment, la cellule morte reste capable d’effectuer certaines de ses anciennes fonctions. Parfois, elle les réussit même mieux que lors de son vivant grâce aux propriétés du silice qui lui permettent de résister à des températures et des pressions qu’elle n’aurait jamais pu endurer par exemple. Le chercheur BRYAN KAEHR déclare d’ailleurs : «Nos cellules ZOMBIES jettent un pont entre la chimie et la biologie en créant des cellules qui, non seulement ressemblent comme deux gouttes d’eau à elles-mêmes mais sont aussi capables de travailler sans relâche».
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PARIS, 20 AVRIL 2012 - Deux équipes du CNRS et de l’UNIVERSITÉ DE STRASBOURG, menées par NICOLAS GIUSEPPONE (1) et BERNARD DOUDIN (2), ont réussi à fabriquer des fibres plastiques fortement conductrices, de quelques nanomètres d’épaisseur. Ces nano-fils, qui font l’objet d’un brevet déposé par le CNRS, se construisent «tout seuls» sous la seule action d’un flash lumineux ! Peu coûteux à obtenir et faciles à manipuler contrairement aux nanotubes de carbone (3), ils allient les avantages des deux matériaux utilisés à ce jour pour conduire le courant électrique : les MÉTAUX et les POLYMÈRES organiques plastiques (4). En effet, leurs remarquables propriétés électriques sont proches de celles des métaux. De plus, ils sont légers et souples comme les plastiques. De quoi relever l’un des plus importants défis de l’électronique du 21e siècle : miniaturiser ses composants jusqu’à l’échelle nanométrique. Ces travaux sont publiés le 22 avril 2012 dans l’édition en ligne avancée de la revue NATURE CHEMISTRY. Prochaine étape : démontrer que ces fibres peuvent être intégrées industriellement dans des appareils électroniques comme les écrans souples, les cellules solaires, etc. Lors de précédents travaux publiés en 2010 (5), NICOLAS GIUSEPPONE et ses collègues étaient parvenus à obtenir pour la première fois des nano-fils. Pour ce faire, ils avaient modifié chimiquement des molécules de synthèse utilisées depuis plusieurs dizaines d’années dans l’industrie pour le processus de photocopie Xerox® : les «TRIARYLAMINES». A leur grande surprise, ils avaient observé qu’à la lumière et en solution, leurs nouvelles molécules s’empilaient spontanément de manière régulière pour former des fibres miniatures. Ces fils longs de quelques centaines de nanomètres (1 nm = 10-9 m, soit un milliardième de mètre), sont constitués par l’assemblage dit «supramoléculaire» de plusieurs milliers de molécules. Les chercheurs ont ensuite étudié en détail, en collaboration avec l’équipe de BERNARD DOUDIN, les propriétés électriques de leurs nano-fibres. Cette fois-ci, ils ont mis leurs molécules en contact avec un microcircuit électronique comportant des électrodes en or séparées de 100 nm. Puis ils ont appliqué un champ électrique entre celles-ci.
Désormais, l’objectif des chercheurs est de démontrer que leurs fibres peuvent être intégrées industriellement dans des appareils électroniques miniaturisés tels que les écrans souples, cellules solaires, transistors, nano-circuits imprimés, etc.
1 : INSTITUT CHARLES SADRON (CNRS) 2 : Institut de physique et chimie des matériaux de STRASBOURG (CNRS / UNIVERSITÉ DE STRASBOURG) 3 : Tubes creux en carbone d’un diamètre de l’ordre du nanomètre (1 nm = 10-9 m), dotés de propriétés électriques, mécaniques et thermiques remarquables laissant entrevoir de nombreuses applications dans le domaine de la microélectronique. 4 : Très grandes molécules organiques, c’est-à-dire d’origine pétrolière ou vivante, et contenant principalement du carbone et de l’hydrogène. 5 : The Hierarchical Self-Assembly of Charge Nanocarriers : A Highly Cooperative Process Promoted by Visible Light ; Giuseppone, N. et co. Angew. Chem. Int. Ed. 2010, 49, 6974-78 6 : Grandeur caractérisant la «force» avec laquelle le conducteur s’oppose au passage du courant. RÉFÉRENCES : Light-triggered Self-construction of Supramolecular Organic Nanowires as Metallic Interconnects. VINA FARAMARZI, FRÉDÉRIC NIESS, EMILIE MOULIN, MOUNIR MAALOUM, JEAN-FRANÇOIS DAYEN, JEAN-BAPTISTE BEAUFRAND, SILVIA ZANETTINI, BERNARD DOUDIN, AND NICOLAS GIUSEPPONE. NATURE CHEMISTRY, En ligne le 22 avril 2012 (DOI : 10.1038/NCHEM.1332) CONTACTS : Chercheur NICOLAS GIUSEPPONE 03 88 41 41 66 giuseppone@unistra.fr BERNARD DOUDIN 03 88 10 72 39 bdoudin@ipcms.unistra.fr Valorisation JULIEN BROHAN julien.brohan@fist.fr http://www2.cnrs.fr/presse/communique/2571.htm Presse CNRS PRISCILLA DACHER 01 44 96 46 06 priscilla.dacher@cnrs-dir.fr |
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Pendant des décennies, les chercheurs ont travaillé à développer des nanoparticules qui délivrent des médicaments anticancéreux directement dans les tumeurs, en minimisant les effets secondaires toxiques de la chimiothérapie. Cependant, même avec le meilleur de ces nanoparticules, seulement environ 1 % de la drogue atteint généralement sa cible. Aujourd’hui, une équipe de chercheurs du MIT, l’INSTITUT DE RECHERCHE MÉDICALE DE SANFORD-BURNHAM et l’UNIVERSITÉ DE CALIFORNIE à SAN DIEGO ont conçu un nouveau type de système de délivrance dans lequel une première vague de nanoparticules trouvent refuge dans la tumeur, puis appellent une bien plus grande vague de nanoparticules qui distribue le médicament contre le cancer. Cette communication entre les nanoparticules, activée par la biochimie de l’organisme, stimule l’administration de médicaments vers les tumeurs de plus de 40 fois dans une étude sur la souris. Cette nouvelle stratégie pourrait améliorer l’efficacité de nombreux médicaments pour le cancer et autres maladies, a déclaré GEOFFREY VON MALTZAHN, un ancient étudiant du MIT et aujourd’hui chez VENTURELABS http://www.infohightech.com/spip.php?article29676 |
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Ces matériaux pourraient ainsi par exemple mieux protéger les avions des éclairs. Bien que les ingénieurs développent toujours de nouvelles solutions technologiques, un avion, même en aluminium, risque toujours de subir des dommages lorsqu'il est touché par la foudre. Lorsque des composites sont employés, comme c'est de plus en plus le cas actuellement dans le but de réduire la masse, le problème s'amplifie, car ces matériaux sont de très mauvais conducteurs électriques et ne permettent donc pas de conduire l'électricité le long de la carcasse de l'avion et ainsi de le protéger. Au sein de l'INSTITUT FRAUNHOFER DE TECHNIQUES DE FABRICATION ET DE RECHERCHE APPLIQUÉE SUR LES MATÉRIAUX (IFAM) de Brême [1], des chercheurs ont développé un procédé pour la production de nouveaux matériaux composites capables de mieux protéger les avions. Ils s'appuient pour cela sur les propriétés uniques des nanotubes de carbone (CNT - Carbon Nanotubes), qui se démarquent par de très hautes résistance mécanique et conductivité électrique. Ces tubes sont mélangés avec le composite et altèrent ainsi énormément les propriétés globales du matériau. L'étape clé du procédé de fabrication est l'incorporation des particules : «les micro et nanoparticules doivent être liées de manière très homogène et très serrée avec le POLYMÈRE», explique UWE LOMMATZSCH, chef de projet. Pour y parvenir, les chercheurs emploient la technologie plasma : À L'AIDE D'UN PLASMA ATMOSPHÉRIQUE, ILS MODIFIENT LA SURFACE DES PARTICULES DE TELLE MANIÈRE QU'ELLES SE LIENT PLUS FACILEMENT CHIMIQUEMENT AU POLYMÈRE. Une décharge pulsée dans une chambre de réaction permet la formation d'un gaz réactif. «Nous pulvérisons ensuite les nanoparticules dans ce plasma». Après la réaction, les particules tombent directement dans le solvant, qui sera par la suite utilisé pour la synthèse du POLYMÈRE. Ce procédé ne dure que quelques secondes, ce qui présente un avantage indéniable quand on considère que la synthèse de CNT nécessitait dans le passé plusieurs heures, voire des jours! Hormis cette application pour l'aéronautique, les chercheurs de l'IFAM ont d'ores et déjà d'autres idées. «Nous pourrions par exemple améliorer la dissipation thermique de composants électriques, en appliquant un revêtement électriquement isolant sur des particules de cuivre ou d'aluminium, puis en les insérant dans un POLYMÈRE». Ce dernier serait alors imprimé sur le composant électrique en question, afin de dissiper directement la chaleur. Les chercheurs seraient également en mesure de réduire les pertes électromagnétiques, en appliquant un revêtement sur des particules de fer par ce même procédé. Implanté dans un moteur électrique, ce matériau permettrait de réduire les pertes par courants de Foucault et ainsi d'augmenter le rendement et de prolonger la durée de vie. Les résultats de leurs recherches seront présentés lors du salon K (pour KUNSTSTOFF : matière plastique) [2] de DÜSSELDORF (RHÉNANIE DU NORD-WESTPHALIE), qui aura lieu du 27 octobre au 3 novembre. http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/64676.htm |
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. . III. NOUVELLES MALADIES NANOTECHNOLOGIQUES ET CHEMTRAILS |
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Vous voudrez peut-être vous familiariser avec le rapport «WEATHER AS A FORCE MULTIPLIER : OWNING THE WEATHER IN 2025» («la météo utilisée en tant que multiplicateur de force : posséder la météo en 2025»), un chapitre des prévisions pour l'avenir de l'ARMÉE DE L'AIR en 2025 (1). les gens préoccupés par la poursuite, dans le monde entier, des opérations de pulvérisation d’aérosols dans l'atmosphère appelés chemtrails (2), se réfèrent souvent à ce chapitre comme étant la preuve que l'US AIR FORCE pourrait être impliquée dans des opérations mondiales de pulvérisation pour le contrôle de la météo.Des écrivains - IZAKOVIC ROLANDO (3), AMY WORTHINGTON (4) et SCOTT GILBERT (5)- ont étudié cette preuve en détail. S'il est évident que notre météorologie est manipulée par ces opérations de pulvérisation et que d’autres applications militaires sont en cours, le contrôle de la météorologie, qui est une très mauvaise idée, pourrait être mineur par rapport à ce que je voudrais aborder et le concept selon lequel la pulvérisation est un moyen de ralentir le réchauffement de la planète semble être une grosse et vieille baliverne servant à couvrir la réalité. LYDIA MANCINI (6) a exploré certains des aspects des chemtrails qui altèrent l'esprit, mais je crois avoir trouvé l'une des dernières pièces du puzzle liée aux chemtrails : la force aérienne a étudié comment placer des capteurs qui sont a l’échelle nanométrique dans l'approvisionnement en denrées alimentaires, l'eau et l'air d’une population au moyen de pulvérisations aériennes afin qu'ils puissent introduire ces capteurs dans le corps des gens. Lisez la suite afin de comprendre toutes les connexions. Les activistes contre les chemtrails recueillent des preuves selon lesquelles la pulvérisation des chemtrails contient non seulement des bactéries (7), mais aussi des métaux conducteurs, des cellules sanguines (8 ), des poudres de carbone, des sédatifs, des nanoparticules, des substances cristallines, des particules d'aluminium, des poudres de baryum ainsi qu’un type de fibre en polyéthylène-silicone (9). Récemment, le docteur HILDEGARDE STANINGER (10), une toxicologue industrielle, et le docteur MIKE CASTLE (11), expert en polyéthylène et militant contre les chemtrails, ont joint leurs efforts afin de déterminer si les nano-fibres qui grandissent depuis la peau des personnes qui sont atteintes de la MALADIE FIBREUSE DE MORGELLONS et les nano-fibres des chemtrails possèdent une connexion. Les personnes ayant la MALADIE DE MORGELLONS possèdent plusieurs couleurs différentes de nano-fibres qui grandissent à partir de plaies sur leur corps et qui ne guérissent pas. Les retombées de chemtrails possèdent des fibres similaires de nombreuses couleurs différentes et qui ressemblent beaucoup aux fibres de la MALADIE DE MORGELLONS. Ces fibres sont sur vous et dans votre maison. Vous pouvez les trouver à l’aide d’une lumière noire fluorescente. la lumière ultraviolette les fait luire. Utilisez aussi une loupe. Un certain nombre de fibres et d’échantillons de tissus prélevés sur les victimes de la MALADIE DE MORGELLONS et des échantillons de fibres de chemtrail ont été envoyés à quatre des meilleurs laboratoires de notre pays : AMDl inc, ACS inc, le MIT, et LAMBDA SOLUTIONS inc. CASTLE et STANINGER ont demandé à ces laboratoires d’identifier ces fibres. Ce qui est revenu des laboratoires est surprenant (12) et est examiné en détail dans «RENSE MORGELLONS RADIO BROADCASTS, N°7 ET N°11» (13). le docteur STANINGER a en outre déterminé que les fibres de chemtrails du TEXAS révèlent une concordance avec les fibres de chemtrails provenant d'ITALIE (14). Les fibres de chemtrails sont une sorte de fibre infantile de type «pré-MALADIE DE MORGELLONS». Les fibres de la MALADIE DE MORGELLONS sont plus développées, mais ces fibres sont apparentées au type de nanotechnologie qui assemble les nanofils. Provenant de l’animateur de radio en ligne et lauréat du PRIX PEABODY, JEFF RENSE, nous apprenons que la MALADIE DE MORGELLONS est : Une invasion communicante des tissus humains (déclenchée par les nanotechnologies ?) sous la forme de tubes visibles qui s’auto-assemblent et s’auto-repliquent, de fibres colorées, de fils, de matrices électroniques avec ce qui semble être des capteurs ou des «antennes», et d'autres configurations visibles, dont certaines transportent ce qui pourrait être de l’ADN ou de l’ARN génétiquement modifié. Ces «machines» (déclenchées par nanotechnologie) se développent dans des conditions de PH alcalin et via l'utilisation de l’énergie bio-electrique du corps, ses minéraux et d'autres élements non identifiés pour s’alimenter en énergie. Rappelez-vous de ces termes clés : «auto-reproduction, capteurs, alcalins, minéraux, et énergie bio-électriques». Il y a davantage à tirer de la définition de la MALADIE DE MORGELLONS, selon RENSE : Il existe certaines preuves suggérant que ces minuscules machines possèdent leurs propres «batteries» internes. On croit aussi qu’elles pourraient être en mesure de recevoir des signaux et de l'information par ondes EMF, ELF et micro-ondes syntonisées sur des fréquences spécifiques… Il a été signalé par la quasi-totalité des personnes atteintes que les nano-machines de la MALADIE DE MORGELLONS semblent avoir une sorte d’intelligence de ruche ou de groupe (15). Les nano-fibres des chemtrails peuvent-elles se briser pour devenir des nanoparticules ? Le docteur STANINGER semble penser qu'elles le pourraient (16). Les nanoparticules peuvent passer à travers les barrières sanguines dans les poumons, entrer dans la circulation sanguine et voyager vers le cerveau ou d'autres parties du corps. Dans le journal en ligne «nature», JIM GILES a déclaré ce qui suit : Les nanoparticules – de minuscules morceaux de matière qui pourraient un jour être utilisés pour construire des circuits d’ordinateur plus rapides et améliorer les systèmes de délivrance des médicaments - peuvent se déplacer vers le cerveau après avoir été inhalées, selon des chercheurs des ÉTATS-UNIS (17). Le docteur STANINGER pense que ces nanoparticules pourraient être en mesure de s'auto-assembler en nanofils complets une fois qu'elles se trouvent dans le cerveau ou dans d'autres organes (18 ). Elle dit que nous mangeons cette nanotechnologie, elle se trouve dans notre alimentation - les plantes et les animaux. Elle dit qu’elle copie l'ADN des microbes ou de certaines autres cellules avec lesquelles elle est en contact a l'intérieur de notre corps. Elle crée plus de germes, plus de cancers. Un type de nanofil est impliqué dans la création de pseudo-cheveux et de pseudo-peau. Une femme atteinte de la MALADIE DE MORGELLONS a été testée positive pour ces pseudo-cheveux. Ces protéines auto-répliquantes créent des formes chimériques (hybrides) qui ressemblent beaucoup à des insectes ou à des parasites. Des bébés sont en train de naitre avec ces nano-machines en eux. C'est la preuve que cette nanotechnologie peut passer a travers les barrières protectrices de l'organisme. Le docteur CASTLE a déclaré qu'il croit qu’au moins un a vingt millions d'américains possèdent ces capteurs, antennes, cables, et matrices électroniques a l'intérieur de leur corps. La MALADIE DE MORGELLONS se propage a la vitesse de 1000 victimes par jour. Ce taux augmentera parce que chaque annee, il y aura de plus en plus de victimes pour la répandre. Les gens qui ne présentent pas les symptômes extérieurs de la MALADIE DE MORGELLONS peuvent malgré tout avoir cette nano-maladie à l'intérieur de leur corps. On pense que ceux qui possèdent les symptômes sont ceux dont le corps rejette les fibres. Pas de symptômes ? votre organisme pourrait être en train de s’adapter à l'infestation (19). CLIFFORD CARNICOM est un homme qui possède un passé scientifique : la géodésie, les mathématiques, l'informatique et les sciences physiques. Il a travaillé pendant 15 ans avec diverses agences – le ministère de la défense, le service des forêts, et le bureau de la gestion du territoire. Il étudie ce que de nombreuses personnes croient être l'alcalinité croissante, et induite par les chemtrails, de notre planète. Il documente les quantités croissantes de calcium, de magnésium, de baryum et de potassium dans notre eau de pluie (20). De façon intéressante, J. WALLECZCK, au LABORATOIRE LAWERENCE à BERKELEY, a effectué des recherches en 1991 sur la façon dont les ions de calcium aident à transporter l'électricité à travers les membranes cellulaires au niveau moléculaire (21) et donc, bidouiller avec l'équilibre naturel et minéral et les propriétés électriques de la terre et de notre corps n'est pas une bonne chose. CARNICOM documente également les niveaux élevés de sels dans nos sols dus aux sels métalliques réactifs provenant des chemtrails. Il dit que ce sont ces sels qui rendent la terre plus conductrice (22). Ces substances de chemtrails sont facilement ionisées par la lumière ultraviolette et font en sorte que l'air possède des niveaux élevés en ions positifs. Cela est nocif pour tous les êtres vivants. Il trouve les mêmes anomalies sanguines chez les personnes atteintes de la MALADIE DE MORGELLONS et celles qui ne présentent pas de signes de la MALADIE DE MORGELLONS. Il serait logique de penser que si le sol est modifié pour devenir plus conducteur et alcalin, alors nous, nous-mêmes, devenons de plus en plus conducteurs et alcalins. Le sol et tous les résidents constituent à présent un domicile favorable pour cette nanotechnologie qui adore les alcalins et qui peut simplement continuer à utiliser notre bio-électricité pour auto-répliquer et auto-générer des capteurs, des batteries d’antennes, et d'autres mystères et nano-machines à l'intérieur de notre corps. Ce qui nous amène à une autre partie du (rapport de) l'AIR FORCE 2025 : «HIT'EM WHERE IT HURTS : STRATEGIC ATTACK IN 2025» («frappez-les là où ça fait mal» : attaque stratégique en 2025). Ce chapitre mérite une analyse plus approfondie car il décrit la façon d'implanter une population avec des capteurs biologiques «furtifs», de pistage et d'attaque, qui sont «plus minces qu'un cheveu humain», le tout en pulvérisant ces machines dans l'approvisionnement alimentaire, l'eau et l’air ou en utilisant des agents humains pour commettre cet acte (23). Les technologies psychotroniques (de contrôle mental) sont mentionnées dans cette étude, mais pas en grands détails parce que cette information est classée. Le rapport explore la façon dont le système d'armes doit être en mesure d'accéder à ce qui devrait être privé. nous lisons : Le système d'acquisition de la cible doit fournir aux décideurs la capacité de détecter les changements dans les valeurs personnelles d'un adversaire. Les changements dans les émotions, les pensées ou le cadre de référence d’un dirigeant présentent un intérêt pour le système d’attaque stratégique. les techniques qui rentrent dans la «tête» d'un adversaire afin d’obtenir de précieuses informations exigent des progrès révolutionnaires. Trouver des méthodes de recherche plausibles pour accomplir cette tâche est l'objectif du dossier classifié «INFORMATION ATTACK» (24). L'ARMÉE DE L'AIR ne classifierait une arme qui peut lire vos pensées, émotions et intentions que si notre pays avait déjà cette arme en 1995 ou projetait de la développer. Les bio-implants pulvérisés et autres dispositifs d’espionnage sont décrits ci-dessous : Les plates-formes terrestres en 2025 comptent beaucoup sur la micromécanique et les nanotechnologies pour rétrécir ces plates-formes à une taille microscopique. Ces plates-formes pourraient être insérées par des agents humains, via l'eau ou l'approvisionnement alimentaire, ou par l'intermédiaire d'opérations d’ensemencement aérien en utilisant des drones. Des micro-capteurs plus fins que des cheveux humains pourraient transmettre des données à la base de données DELPHI par drone ou par relais satellite. Un essaim de micro-capteurs terrestres pourrait assurer une transmission de données constante des conditions locales et des niveaux d'activité près de et à l'intérieur d’un LOV (25). Un LOV (LOCUS OF VALUES) signifie un «lieu de valeurs». un LOV peut être une cible dure : quelque chose de physique, ou un lieu de valeurs peut être une cible douce. «le LOV est ce qui est cher à un adversaire… les LOV doux sont des choses intangibles : des systèmes, la connaissance ou des façons de penser» (26). Un drone est un véhicule aérien sans pilote. Dans le document, tous les capteurs sont appelés «capteurs au sol sans surveillance», même les bio-implants. dans un des graphismes (du document «HIT'EM WHERE IT HURTS»), les flèches pointent très ouvertement vers des capteurs au sol sans surveillance qui sont situés dans la zone de l’entrejambe de deux hommes (27). Dans un autre graphisme (du document «HIT'EM WHERE IT HURTS»), les flèches pointent vers des capteurs placés dans l'épaule et dans le poignet d'un homme. Lorsque j’ai lu cela, mon esprit s’est remémoré en un flash DENZEL WASHINGTON enlevant une puce de son épaule dans le film «the manchurian candidate» (titre français de ce film : «un crime dans la tête»). Outre les bio-implants, l'étude de l’AIR FORCE examine la dissémination de capteurs «de la taille de grains» depuis le ciel afin de former un réseau de surveillance sur le sol, et des micro-capteurs peuvent être placés subrepticement dans les maisons ou les appareils. La microminiaturisation des capteurs sonores s'est améliorée depuis que le rapport AIR FORCE 2025 a été écrit. En 2003, les militaires ont révélé qu'ils avaient un réseau de capteurs qui pourraient être largués par voie aérienne : Lors des essais, ils ont largué des tubes contenant 10 à 20 capteurs depuis un avion. Une fois qu’ils heurtent le sol, ces tubes explosent, faisant voler les capteurs dans tous les sens. Ensuite, ils (les capteurs) établissent des connexions entre eux et surveillent un véhicule ennemi ou les mouvements de troupes, envoyant les données par système sans fil à des avions (28 ). Nous sommes à présent cinq ans plus tard, et les capteurs dans un réseau de ce genre sont à peu près de la taille d'un jeu de cartes à jouer. Des capteurs qui ne sont pas classés, pour précision. La «SMART DUST» «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» n'est pas un capteur sonore, mais elle est tres petite ; elle possède la taille de particules. Les particules de «SMART DUST» possèdent à peu près la largeur d'un cheveu humain. Elles peuvent être programmées chimiquement afin de cibler une substance spécifique et de s'auto-assembler ou de s'y coller. La «POUSSIÈRE INTELLIGENTE» change de couleur pour indiquer qu'elle a trouvé la substance ciblée. On peut l’utiliser pour des tags presque microscopiques placés dans des articles, ou la coller sur les vêtements des gens (29). MIKE BLAIR et d'autres personnes conscientes des dangers des chemtrails ont remarqué que les fibres des chemtrails montraient souvent des crochets sur leur surface (30). Dans «HIT'EM WHERE IT HURTS» («frappez-les là où ça fait mal»), nous lisons : Tels des graines de lampourde épineuse, de minuscules capteurs s'accrocheraient à certains humains, les taguant de manière efficace pour un suivi continu par l'intermediaire des plates-formes aeriennes (31). Les compagnies de sécurité intérieure pourraient bientôt utiliser des capteurs terrestres de pointe qui peuvent sentir une molécule présente dans l'air et peuvent goûter et identifier une molécule – des «NANO-NEZ» et «NANO-LANGUES» (32). Ceux-ci peuvent être utiles pour renifler des bouffées de molécules de cocaïne ou de marijuana provenant des gens lorsqu’ils retournent à la maison ou entrent dans les bâtiments. Les nano-nez et nano-langues peuvent être scannés via la lumière ou l'énergie, et changeront de couleur tout comme les capteurs terrestres décrits (dans le document pour) 2025 : «Lorsqu’ils sont irradiés par de l’énergie ultraviolette ou des rayons x, ces changements organiques peuvent être lus et analysés par les capteurs (dans les avions), au-dessus» (33). Les experts travaillent afin de tenter de developper des capteurs qui permettent d'identifier et de pister les personnes via leur odeur unique et personnelle (34). Les auteurs de «HIT'EM WHERE IT HURTS» voudraient que les capteurs deviennent assez petits dans le futur que pour pouvoir vous les envoyer par la poste (35) et utiliser des «hordes» de capteurs acoustiques pour extrapoler les images des structures via la cartographie sismique, en conjonction avec l'imagerie par résonance magnétique (IRM) (36). …L'importance des capteurs visuels pourrait diminuer en 2025 puisque le processus d’attaque stratégique se fonde davantage sur des méthodes d'attaque non mortelles. Dans ce cas, les capteurs non-traditionnels qui peuvent entendre, sentir ou goûter deviennent essentiels, fournissant d’importants segments de données… afin d’assembler (les différents éléments garantissant) l'efficacité d'une attaque (37). Comment l'ARMÉE DE L'AIR pourrait-elle «les frapper là où ça fait mal» ? Un système éloigné qui rode… à 50.000 pieds peut regarder fixement à 230 milles de distance un LOV (LIEU DE VALEURS) et fournir une résolution continue au mètre près… De plus, un drone volant bas et observable qui s’attarde directement au-dessus d’une zone spécifique transportera des capteurs qui fournissent une résolution continue au centimètre près (38 ). Ces drones sont le maillon de la chaîne qui se connecte aux avions transatmosphériques, aux plates-formes spatiales et aux satellites. Ces ressources spatiales enverraient et recevraient (des informations) à partir de et vers des superordinateurs qui sont situés dans des stations relais au sol ou en orbite. Un nouveau satellite radar appelé MIRIAH (39) peut voir à travers la plupart des bâtiments, la nuit, et sous toutes les conditions météo, renvoyant une image en 3 dimensions, sous n'importe quel angle, et pratiquement en temps réel. Les drones peuvent ressembler à des libellules (40), à des oiseaux (41), à des hélicoptères (42), à des avions (43) ou même à des cubes (44). Des militants à WASHINGTON DC ont récemment repéré des drones libellules surveillant une manifestation. Ils peuvent être alimentés par hydrogène (45), par énergie solaire (46), par piles à combustible, par batteries, ou par une combinaison de ces différents moyens (47). Ils peuvent s’accrocher sur une ligne électrique pour se recharger (48) ou être alimentés via micro-ondes par système WI-FI (49). Ils peuvent vous voir, mais ils peuvent également transmettre des données. Il existe même une technologie qui peut les couvrir, afin que vous, les satellites ou les radars ne puissent pas les voir (50). En tant que modèle plus économique, des miroirs placés dans l’espace peuvent être utilisés pour faire rebondir les données provenant des drones vers des stations terrestres (51). Un miroir plasma peut également être créé par une station à faisceau qui chauffe les micro-ondes et qui chauffe l'atmosphère, et cette zone de plasma peut être utilisée comme un miroir. Un certain docteur EASTLUND a été le pionnier de cette technologie. Son travail avec le chauffeur de l’ionosphère HAARP a été parrainé par ARCO, un grand producteur d'aluminium qui est détenu par BRITISH PETROLEUM (52). Curieusement, les chemtrails possèdent un grand nombre de particules d'aluminium. Le système d'armes utilise des informations provenant : des bases de données DELPHI compilées à partir de documents gouvernementaux et de sources ouvertes ; de l’intelligence humaine au sol (HUMINT) ; des données en temps réel provenant des bio-implants et des grilles de capteurs au sol qui sont dispersées ; des clichés visuels provenant des capteurs placés sur les satellites, avions et drones ; et des archives sur l'histoire et la culture. Il utilise des compilations sur les croyances psychologiques, des informations sur les événements actuels et internationaux, la connaissance provenant d’experts dans leur domaine, les expériences passées dans la résolution de problèmes associés, et c'est un système qui peut apprendre. Il peut «jouer» des scénarios jusqu'à ce qu'il présente ce qu'il considère comme la meilleure solution pour un opérateur humain, et est un réseau informatique qui est largement dispersé à travers le monde, bien mis à jour, et «entraîne le licenciement de personnel» (53). L'opérateur humain pourrait choisir «d'engager immédiatement (le combat) ou de ne jamais l’engager», ou d'utiliser «des tactiques directes ou indirectes» (54). Il déterminerait s’il faut déployer des armes «laser, à radiofréquence, ou à rayon de particules énergétiques» contre des personnes, des objets physiques, des usines, des villes ou des soldats cibles (55). Ces armes à énergie dirigée peuvent être déployées à partir de l'espace, depuis la terre ou la mer à partir d’une variété de plates-formes, ou on peut les faire rebondir via les miroirs spatiaux ou plasma précédemment mentionnés. La nanotechnologie permettra la création d’armes plus petites pour une utilisation sur les drones (56). Les armes à énergie dirigée» … peuvent être «réglées» pour une plus large gamme d'effets, depuis un bas ordre d’intervention jusqu’a un ordre de destruction élevé»... et elles sont «rentables». Comme c’est sympathique (57). Les systèmes et techniques d’engagement futuristes tels que la projection holographique, les champs sonores et de gravité, les opérations biomédicales, les opérations psychologiques, la tromperie militaire et l’attaque de l'information sont tous possibles. Ces nouveaux moyens indirects et novateurs sont examinés dans les dossiers classés c2 et INFORMATION ATTACK. En complément à ces techniques indirectes, le présent document se concentre sur des objectifs de missions qui utilisent des attaques directes ayant une puissance mortelle et non mortelle (58 ). Avez-vous compris ? que veulent-ils dire par «opérations biomédicales», «projection holographique», «champs sonores et de gravité», ou certains des autres termes ? Ces termes renvoient à des informations classifiées visant à «entrer dans la tête» d'une personne, et relatives au commandement et au controle (c2). Les attaques modernes sur le document c2 dégradent la capacité des ennemis à prendre les meilleures decisions et leur font changer de décision sans qu'ils réalisent qu’ils ont été manipulés (59). Il y a un dicton : la vie reflète l’art. Revenons à présent au chapitre dont nous avons discuté au début. Si les opérations de pulvérisation décrites dans le document «WEATHER AS A FORCE MULTIPLIER» («La météo en tant que multiplicateur de force») ne sont que de la science-fiction ou des rêveries de militaire, alors pourquoi y a-t-il des tableaux à l'intérieur de ce document qui peuvent seulement être décrits comme des horaires de pulvérisation ? Ces tableaux indiquent au lecteur exactement quelles substances seront pulvérisées et au cours de quelles années. Par exemple, des capteurs avec la «SMART DUST» (nanotechnologie) seront pulvérisés dans le ciel a partir du moment de l'étude, 1995, et augmenteront fortement jusqu'en 2025 (60). Saviez-vous que les batteries de nanofils seront bientôt utilisées en médecine pour fournir en énergie de plus grand implants biologiques ? Comme les stimulateurs cardiaques… ou peut-être des nano-dispositifs dans le cerveau (61,62) ? Vous remarquerez combien la technologie dont il est question dans le document «WEATHER AS A FORCE MULTIPLIER» effectue bien la transition avec la technologie abordée dans le document «hit'em where it hurts». Une arme de ce type peut être utilisée pour la guerre clandestine et la micro-gestion d'une population. Une arme non mortelle utilisée sans arrêt sur une personne devient une arme mortelle. Mais nous pouvons faire confiance aux hommes qui pensent que ce n'est pas grand-chose de glisser subrepticement des implants électromagnétiques dans les organes sexuels des autres, pas vrai ? Le manque de respect pour les droits inaliénables affiché par les officiers de l'ARMÉE DE L'AIR qui ont écrit ce rapport est choquant. HITLER fantasmerait concernant cette technologie digne des escadrons de la mort. Des armes telles que celles-là seront toujours mal utilisées par quelqu'un. C'est pourquoi ces armes ne devraient même pas exister. Quelqu'un dira : «Eh bien, elles sont seulement conçues pour être utilisées contre l'ennemi». Comment pulvérisez-vous seulement une maison ? Comment pulvérisez-vous uniquement une seule alimentation en air ? Ne devrait-il pas y avoir une sorte d'interdiction de transformer les gens en CYBORGS ? Modifier l'environnement va à l'encontre des traités pour les militaires. Certains gars de L’AIR FORCE pensent que mettre des capteurs dans des non-combattants et dans des ennemis à la fois, par l'intermédiaire de leur nourriture, de leur eau et de l'air, est tout simplement épatant. Par une étrange coïncidence, ce scénario ressemble fort à l’épidémie nanotechnologique des chemtrails et de la MALADIE DE MORGELLONS qui se développe dans les organismes des américains en ce moment. Je ne suis pas sûr de vouloir dédier mon amour à l'ARMÉE DE L'AIR. 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