jeudi 29 mai 2014

FÊTE DES MÈRES, FÊTE DES PÈRES SUPPRIMÉES


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FÊTE DES PÈRES SUPPRIMÉES


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LA «MANIF POUR TOUS» AVAIT VU JUSTE
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RAPPEL :
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ÉCOLE ÉLÉMENTAIRE JEAN-MOULIN D'ANGOULINS (CHARENTE MARITIME)
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25 MAI 2014 SUD OUEST.FR
LES ENSEIGNANTS DES ÉCOLES PUBLIQUES DE LA VILLE D'ANGOULINS ONT DÉCIDÉ DE NE PLUS PRÉPARER LA FÊTE DES MÈRES
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Pas de collier de nouilles ou de personnage en pâte à sel à l'horizon. Car cette année, aucun cadeau de FÊTE DES MÈRES n'a été confectionné par les élèves des écoles maternelle et élémentaire publique d'ANGOULINS.
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Une décision prise par les directrices des deux établissements suite aux conseils des maîtres, et portée à la connaissance des parents jeudi par un mot explicatif agrafé dans le carnet de liaison des élèves. «Le modèle de la famille française […] a beaucoup évolué. Aujourd'hui, de plus en plus de familles sont séparées, recomposées, monoparentales, homoparentales. Les situations parfois complexes ne permettent plus aux enseignants d'aborder ces manifestations dans la sérénité d'un modèle unique»
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DES PARENTS PARTAGÉS
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Du côté des parents d'élèves, nombreux sont ceux qui regrettent une telle décision. «Je suis hyper déçue», indique cette mère de famille dont l'enfant est scolarisé en maternelle et qui a souhaité rester anonyme. «Personne ne nous a demandé notre avis. Nous sommes mis devant le fait accompli. C'est dommage et bien triste car les enfants se font toujours une joie de ramener ces petits cadeaux de l'école à la maison», poursuit cette maman qui se souvient encore du bonheur de son fils l'an dernier quand il lui a offert un pendentif pour la Fête des mères. «Je suis tombée des nues», affirme cette autre maman dont le petit garçon est en classe maternelle moyenne section. Une décision qu'elle trouve d'autant plus incohérente que son fils est rentré hier du centre de loisirs avec un cadeau de FÊTE DES MÈRES.
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Certains parents pointent par ailleurs du doigt ce «formalisme» excessif et estiment que c'est une manière détournée de jeter la pierre aux parents divorcés ou homosexuels. «À vouloir trop prôner l'égalité, on en arrive à la double peine. Non seulement, je n'aurai pas de cadeau de FÊTE DES MÈRES cette année mais en plus, j'ai le sentiment, en tant que mère divorcée, d'être responsable de cette situation, explique cette autre maman d'un petit garçon âgé de 5 ans.
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DES SUJETS MOINS TABOUS
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Certes, les parents divorcés ou homosexuels sont beaucoup plus nombreux qu'autrefois mais le sujet est aussi beaucoup moins tabou aujourd'hui. Ces évolutions de notre société devraient justement être l'occasion pour les enseignants d'expliquer les différences aux enfants» «Cela veut-il dire que l'école d'ANGOULINS défend le concept de famille dite «normale ?», interroge ce papa. Tout en reconnaissant que les enseignants se trouvent parfois confrontés à des situations délicates, certains parents estiment que la question de la multiplicité des situations familiales n'est pas un argument recevable. «Les enseignants de l'école d'ANGOULINS ont déjà eu à faire face ces deux dernières années à un enfant qui avait perdu un de ses parents. Et ce sera, je crois, le cas d'un autre enfant l'an prochain. C'est compliqué pour eux, mais le corps enseignant a été confronté à ces situations depuis la nuit des temps, ce n'est pas nouveau», assure une maman.
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DES FAMILLES «DIFFÉRENTES»
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«Les situations douloureuses ont toujours existé. Quand j'étais petite, un de mes petits camarades avait perdu son papa. Mais ces questions de familles différentes, nos instituteurs ne se les posaient pas. Certes, c'est peinant mais décider de ne plus faire de cadeau pour les FÊTES DES MÈRES ou des PÈRES ne leur enlèvera pas leur chagrin et pénalisera tous les autres enfants.»
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Contactée vendredi par téléphone, la directrice de l'école maternelle, Madame TARGET, n'a pas souhaité s'exprimer sur le sujet. Elle a simplement indiqué qu'elle interdisait à «SUD OUEST» de s'en faire l'écho. Quant à la directrice de l'école élémentaire JEAN-MOULIN d'ANGOULINS, elle précise que cela fait déjà plusieurs années que les cadeaux de FÊTES DES MÈRES et des pères ne se font plus régulièrement. «Cela dépend des classes et des enseignants», précise Madame COUSIN, avant d'ajouter que «cette pratique n'est plus adaptée à notre société». Quant à l'INSPECTEUR D'ACADÉMIE, contacté hier après-midi, il n'a pas donné suite à nos appels.
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Pour mettre tout le monde d'accord, certaines écoles en FRANCE ont décidé d'instaurer une FÊTE DES PARENTS. «Je trouve que c'est une bonne idée qui règle pas mal de problèmes et permet de noyer le poisson», assure ce papa angoulinois qui se prépare déjà à l'idée de ne pas avoir de cadeau pour la FÊTE DES PÈRES cette année.
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ÉCOLE MATERNELLE SIMONE SIGNORET À MONTPELLIER (HÉRAULT)
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24 MAI 2014 MIDI LIBRE
MONTPELLIER : CETTE ÉCOLE MATERNELLE QUI DIT NON À LA FÊTE DES MÈRES !
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Il n’y aura ni poème, ni collier de nouilles, ce matin, pour les mamans des enfants scolarisés à la maternelle SIGNORET à MONTPELLIER (HÉRAULT).
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DIDIER, le papa, ne s’en cache pas : il est un peu nostalgique du collier de pâtes. Anne, la maman, approuve plutôt : «Je trouve ça très bien. La famille d’aujourd’hui est un peu compliquée. Avoir papa et maman à la maison, ce n’est pas la situation de la majorité des enfants.» Ce matin, OCTAVE, cinq ans, et CÉLESTE, trois ans et demi, ne lui réciteront pas, hésitants, pressés et un peu tremblants, le poème appris à l’école. Elle ne recevra pas davantage le mythique collier de pâtes ou le pot de yaourt revisité décoré pendant l’atelier de travail manuel.
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«L’ÉQUIPE PÉDAGOGIQUE A DÉCIDÉ DE NE PAS CÉLÉBRER LA FÊTE DES MÈRES ET DES PÈRES»
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À MONTPELLIER, l’école maternelle SIMONE-SIGNORET boycotte la manifestation. Le couple «surpris mais pas choqué», résume le papa, l’a découvert jeudi soir dans le cahier de correspondance des enfants avec le mot suivant : «L’équipe pédagogique a décidé de ne pas célébrer la FÊTE DES MÈRES et des PÈRES. Nous ne sommes pas opposés à ces fêtes mais nous considérons que l’école n’a pas vocation à participer à ces événements.»
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«On a estimé qu’on faisait beaucoup de choses pour les parents, on a voulu passer à autre chose»
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C’est la deuxième année que SIMONE-SIGNORET, une école installée au cœur du quartier populaire SAINT-MARTIN, raye la fête de son calendrier. Motif : «La fête des mères est une fête commerciale, on fait le choix de ne pas y participer», indique ERIC BARRAT, le directeur de l’école. À la différence des écoles d’ALLINGES (HAUTE-SAVOIE) et d’ANGOULINS (CHARENTE-MARITIME), qui ont fait le même choix, ce n’est pas la désagrégation de la famille dite «classique» autour d’un papa et d’une maman biologique qui a le plus joué : «Bien sûr, la question a été soulevée par certains collègues, mais ce n’est pas ce qui a pesé», témoigne l’enseignant.
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OBTENIR LE CONSENSUS
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Globalement, les parents n’ont pas bronché : «On a juste le retour de trois ou quatre mamans qui ont trouvé que c’était dommage», rapporte ERIC BARRAT. Les enfants, tout petits, n’ont pas d’avis tranché. CÉLESTE est trop jeune pour en parler. OCTAVE, lui, voulait quand même bien «faire un truc pour maman». Chez les maîtres d’école, la décision a été débattue : «On a fini par obtenir le consensus pour les six classes de maternelle, alors que l’an dernier, l’une d’elles avait choisi de maintenir la fête», se souvient ERIC BARRAT.
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ANNE, ELLE, NE DÉSESPÈRE PAS D’AVOIR SON COLLIER DE NOUILLES
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Ce qui a fait basculer les récalcitrants ? «L’équipe a changé, avec des départs à la retraite. Et on a estimé qu’on faisait beaucoup de choses pour les parents avec les enfants... On a voulu passer à autre chose.» Après avoir un temps tâtonné : «Il y a trois ans, on faisait la fête de ceux qu’on aime», se souvient ERIC BARRAT.
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L’harmonie n’a pas été complètement trouvée : l’école élémentaire attenante perpétue la tradition du cadeau de la fête des mères. Du coup, ce matin, des mamans vont se retrouver avec un cadeau de leur grand, mais pas celui du petit dernier. ANNE, elle, ne désespère pas d’avoir son collier de nouilles. Réalisé à la maison avec la complicité du papa.
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LYON (RHONE)
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HAUTE SAVOIE
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23 MAI 2014 LE POINT
Cette année, les mères des élèves d’une école de HAUTE-SAVOIE n’auront pas droit au traditionnel collier de pâtes ou à l’empreinte de main en pâte à sel. Les enseignants de l’école d’ALLINGES ont en effet pris la décision de ne pas faire préparer à leurs élèves de cadeaux pour la FÊTE DES MÈRES, qui a lieu ce dimanche.
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Pour «éviter les situations délicates», les enseignants de l'école d'ALLINGES ont décidé de ne pas faire fabriquer de cadeaux pour les mamans à leurs élèves.
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Cette année, les mères des élèves d'une école de HAUTE-SAVOIE n'auront pas droit au traditionnel collier de pâtes ou à l'empreinte de main en pâte à sel. Les enseignants de l'école d'ALLINGES ont en effet pris la décision de ne pas faire préparer à leurs élèves de cadeaux pour la FÊTE DES MÈRES, qui a lieu ce dimanche, comme le rapporte le site FRANCETVINFO. Et la FÊTE DES PÈRES, prévue cette année le 15 JUIN, n'est pas épargnée.
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Motif ? «Éviter les situations délicates», autrement dit ne pas mettre dans l'embarras des enfants qui auraient perdu un de leurs parents, vivraient dans une famille d'accueil ou une famille recomposée. Selon LE PARISIEN, à l'origine de l'information, 15 des 17 enseignants de l'école se sont montrés favorables à la mesure, dont les parents ont été informés par un mot dans le carnet de liaison des élèves.
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«Madame, Monsieur. Afin d'éviter les situations délicates pour de nombreux élèves dans l'école, à l'évocation de la FÊTE DES MÈRES ou de la FÊTE DES PÈRES, le conseil de maîtres a décidé que ces événements ne seraient plus l'occasion d'un travail en classe, quel que soit l'âge des enfants, y compris en maternelle. (...) Nous laisserons donc le soin aux familles de traiter le sujet elles-mêmes si elles le souhaitent», précise le texte.
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«UNE DÉCISION DÉBILE»
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L'initiative n'a en tout cas pas manqué de faire réagir plusieurs pères et mères qui ont eu visiblement du mal à comprendre. «Cette décision est débile. Se voir remettre par son enfant un petit cadeau réalisé à l'école, c'est un moment merveilleux», indique au PARISIEN une mère de deux enfants.
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«Sur ce coup-là, je trouve que les enseignants ne sont pas très pédagogues ni psychologues. C'est à eux d'expliquer les choses aux enfants en difficulté. Ils n'ont qu'à dire à l'enfant que le cadeau peut être offert à une tante, une grand-mère, une maman d'accueil. Mais il ne faut pas pour autant priver tous les autres enfants de la joie de réaliser un cadeau à l'école», renchérit une autre.
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Certains parents sont même allés jusqu'à signer une pétition. La directrice de l'école d'ALLINGES s'est dite prête à les recevoir, mais rappelle qu'«aucun texte de l'ÉDUCATION NATIONALE n'oblige les enseignants à célébrer la FÊTE DES MÈRES ou des PÈRES.» D'autres parents se montrent d'ailleurs plus compréhensifs : «Les enfants qui n'ont plus de papa ou de maman souffrent suffisamment. Il ne faut pas les traumatiser encore plus en leur faisant réaliser un cadeau qui leur rappellerait cruellement leur situation.»
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19 MAI 2014
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LOI FAMILLE : PARENTS = CO-PARENTS...
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AUTORITÉ PARTAGÉE JUSQU'À COMBIEN DE CO-PARENTS ?
A force d'amendements dans le débat sur la loi sur la famille, les députés UMP ont poussé le gouvernement à reporter sine die le vote solennel de la, loi prévu le 28 mai. Mais la SECRÉTAIRE D'ETAT À LA FAMILLE, LAURENCE ROSSIGNOL, n'en démord pas : fustigeant l'attitude des députés de l'opposition, elle promet que la loi «sera adoptée».
ERIC ZEMMOUR :
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«Un prétexte à la PMA GPA»
Les élus de l’Entente pour la famille ont fustigé un texte «dangereux», rédigé dans l’intérêt des adultes et non dans celui des enfants et qui, sous prétexte d’apaiser la vie des familles séparées, risque au contraire de crisper les relations.

LE CO-ACCORD DES PARENTS EN DÉBAT

Ainsi, lundi soir, LES DÉBATS SE SONT FOCALISÉS sur l’article 4. Celui-ci propose que «tout acte de l’autorité parentale, qu’il ait un caractère usuel ou important, requière l’accord de chacun des parents lorsqu’ils exercent en commun l’autorité parentale». Une dispense d’accord devrait être votée en cas de violences conjugales.
Le but de cette disposition est de permettre de renforcer le lien entre les deux parents et qu’ils puissent, à égalité, exercer leur autorité. Cela éviterait que certains parents prennent des décisions unilatérales puis placent leur ancien conjoint devant le fait accompli.

VERS DAVANTAGE DE CONTENTIEUX ?

Mais pour les députés de l’opposition, cet article «extrêmement dangereux» devrait être supprimé. Il risque, selon eux, d’entraîner une multiplication des contentieux et de paralyser les parents dans leurs prises de décision quotidiennes.
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22 JANVIER 2014
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L’EXPRESSION «EN BON PÈRE DE FAMILLE» SUPPRIMÉE DES TEXTES DE LOI
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PROPOSÉ LE 20 JANVIER 2014 ASSEMBLÉE NATIONALE
ADOPTÉ LE 21 JANVIER 2014 ASSEMBLÉE NATIONALE
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Issu du latinisme «bonus pater familias», l’expression «en bon père de famille» est contenue 15 fois dans les parties législatives des codes en vigueur. C’est une expression désuète qui remonte au système patriarcal. Régulièrement incomprise par les citoyennes et les citoyens, elle pourrait pourtant être facilement remplacée..
Cet amendement propose que l’expression «soins d’un bon père de famille» soit remplacée par «soins raisonnables», tandis que l’expression «en bon père de famille» serait remplacée par « raisonnablement ». La notion de «raisonnable» est en effet identique à la notion de «bon père famille».
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5 AVRIL 2013
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LAURENCE ROSSIGNOL, SECRÉTAIRE D'ÉTAT CHARGÉE DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES ÂGÉES, «LES ENFANTS N'APPARTIENNENT PAS A LEURS PARENTS»
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FÉVRIER 2013
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DÉBAPTISER LES ÉCOLES «MATERNELLES» : APPELLATION TROP SEXISTE
SANDRINE MAZETIER, DÉPUTÉE PS VEUT DÉBAPTISER LES MATERNELLES : APPELLATION TROP SEXISTE
«Cette dénomination institutionnelle, qui figure dans le CODE DE L'ÉDUCATION, laisse entendre que l'univers de la petite enfance serait l'apanage des femmes et véhicule l'idée d'une école dont la fonction serait limitée à une garderie, a avancé la parlementaire socialiste. À l'heure où se prépare une loi de programmation et d'orientation pour la REFONDATION DE L'ÉCOLE, et où le gouvernement s'engage fortement en faveur de l'égalité entre les femmes et les hommes et la lutte contre les stéréotypes, remplacer ce nom «GENRE» par un nom neutre redonnerait symboliquement aux pères la place qui leur revient dans l'éducation de leur enfant, et repositionnerait l'école dans son rôle éducatif différent de celui des parents»
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