LES GILETS JAUNES ACTE XI
25 JANVIER 2018
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24 JANVIER 2019 VALEURS ACTUELLES /
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Le MINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR a demandé aux policiers du SERVICE CENTRAL DU RENSEIGNEMENT TERRITORIAL (SCRT) de repérer «les personnalités exerçant une réelle influence sur le mouvement» des «GILETS JAUNES», d’après LE CANARD ENCHAÎNÉ.
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Il semble que le rebond récent des «GILETS JAUNES» inquiète l’exécutif. Selon LE CANARD ENCHAÎNÉ, début janvier, «une instruction secrète» a été transmise aux policiers du SERVICE CENTRAL DU RENSEIGNEMENT TERRITORIAL (SCRT) par leur ministère de tutelle. Il s’agit pour ces derniers de recenser systématiquement et de façon nominative les «meneurs du mouvement des «GILETS JAUNES». L’hebdomadaire satirique, se basant sur le document en question, assure que les fonctionnaires de police doivent repérer «les personnalités exerçant une réelle influence sur le mouvement ou se signalant par des discours ou des commentaires vindicatifs ou subversifs trouvant de l’écho sur les réseaux sociaux. Des individus qui, aujourd’hui, jouent un rôle réel par le caractère de leurs actions, par le fait qu’ils ont un potentiel pour être des interlocuteurs des pouvoirs publics ou, au contraire, sont entrés dans une forme de radicalité».
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FOULE DE RENSEIGNEMENTS SUR LES «MENEURS»
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Identité complète (pseudo inclus), photographie, numéros de téléphone, adresse, profession, type de véhicule et immatriculation… Le formulaire sur ces meneurs est très détaillé. LE CANARD ENCHAÎNÉ rapporte aussi que les «antécédents et procédures judiciaires», l’«influence et son activité sur les réseaux sociaux», l’«implication associative» et «médiatique», les «liens avec des éléments ou mouvements radicaux», ainsi que le «financement» du mouvement doivent être renseignés. Pour l’hebdomadaire, cette mesure consiste en un «fichage qui ne dit pas son nom». D’autant qu’il n’a fait l’objet d’aucune déclaration à la COMMISSION NATIONALE DE L’INFORMATIQUE ET DES LIBERTÉS (CNIL). Le MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, interrogé par le titre de presse, a fait savoir que «les services font leur travail avec les moyens juridiques autorisés par la loi».
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Début janvier, la proposition de «ficher les manifestants violents», formulée par plusieurs syndicats de police et responsables politiques, et évoquée par le Premier ministre, avait fait débat.
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25 JANVIER 2018 LE FIGARO /
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Le TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE PARIS a refusé aujourd’hui de suspendre l’usage du lanceur de balles de défense dans les prochaines manifestations de «GILETS JAUNES», en invoquant notamment l’expérimentation samedi par les forces de l’ordre de caméras destinées à filmer les tirs. LA LIGUE et la CGT comptent désormais porter l’affaire devant le CONSEIL D’ÉTAT.
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En pleine polémique sur les violences policières, la CGT et la LIGUE DES DROITS DE L’HOMME (LDH) avaient tenté jeudi lors de l’audience de convaincre les juges administratifs d’interdire en urgence cette arme controversée, craignant de nouveaux blessés voire «des morts» parmi les manifestants. Le syndicat et l’association souhaitaient interdire le LBD-40 lors des manifestations des «GILETS JAUNES» et de la grève générale prévue le 5 février, à PARIS et sur l’ensemble du territoire.
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Dans sa décision, le TRIBUNAL s’est estimé incompétent pour donner des instructions au MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR et «prendre des mesures qui auraient valeur réglementaire» dans toute la FRANCE. «Cette requête relève de la compétence (…) du CONSEIL D’ÉTAT», a-t-il expliqué. […]
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