«DÉCLARATION INTERNATIONALE DES DROITS SEXUELS»
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La loi au service du sexe
Légaliser de se marier et d'avoir des relations sexuelles avec des enfants
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La LOI SCHIAPPA, votée par 92 députés et en l’absence de 477 autres, en pleine AFFAIRE BENALLA, laisse les familles totalement désarmées pour protéger leurs enfants contre les abus sexuels. Désormais, droits sexuels obligent, on va sexualiser les enfants dès la maternelle et un enfant abusé devra prouver qu’il n’était pas d’accord. On arrive au bout de l’horreur.
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11 AOUT 2018 PLANETE 360 GÉRARD LUÇON /
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Cette loi ne «légalise pas» la pédophilie !!! c’est bien plus pervers et dégueulasse : elle supprime la notion de discernement chez l’enfant de plus 5 ans, faisant de cet «enfant de 5 ans» et de l’adolescent un jeune responsable de ses actes.
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C’est la fin de la justice des mineurs telle qu’elle existait depuis la 1ère guerre mondiale ! À l’époque (en 1912) le parlement français avait jugé utile de créer une justice des mineurs, était dans la foulée créée la fonction de Juge pour Enfants : HENRI ROLLET devenant le 1er magistrat pour enfants.
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Vigoureusement opposé à la théorie du «criminel-né», de LOMBROSO, HENRI ROLLET inspira notamment deux lois :
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* la loi du 24 juillet 1889 qui permet de séparer l’enfant de ses parents, lorsque ces derniers sont reconnus «indignes» ;
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* la loi du 22 juillet 1912 qui fixe l’âge de la responsabilité pénale à treize ans et décide la création des tribunaux pour enfants.
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Le travail d’HENRI ROLLET sera largement complété par l’ORDONNANCE de 1945 créant l’EDUCATION SURVEILLÉE (devenue PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE) comme partie intégrante du MINISTÈRE DE LA JUSTICE, en en faisant une direction à part à l’intérieur de ce ministère au même titre que l’administration pénitentiaire, la magistrature, …
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13 ans donc, par cette loi de 1912, permet de définir l’âge de la responsabilité, donc l’âge de la capacité de «discernement» (pour ceux intéressés à une étude approfondie sur cette notion, VOICI UN LIEN
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Le discernement, c’est la capacité à séparer le bien du mal, à conscientiser non seulement la gravité de ses propres actes mais aussi de ceux que l’ont subit.
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Tout le monde se souvient, j’espère, de cette phrase de FINKIELKRAUT défendant son copain ROMAN POLANSKI, violeur et sodomiseur d’une gamine américaine de 13 ans et demi : «à 13 ans ce n’est plus une enfant». Effectivement, c’est choquant mais c’est un fait : à 13 ans passés elle était censée être en capacité de discerner, et donc de choisir.
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Dites vous bien que désormais l’âge du discernement est «tombé» à 5 ans puisque l’enfant «victime» va devoir prouver qu’il était réellement victime et non pas consentant, complice, voire provocateur !!!
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5 ANS … dans certains pays une jeune fille est pré-mariée dès qu’elle a ses premières règles, mais 5 ans …
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Il ne reste plus qu’à supprimer la direction de la protection judiciaire de la jeunesse, étonnamment absente (écartée ?) dans ce débat sur la course en avant vers la reconnaissance de la pédophilie comme un acte normal, dès lors que l’enfant ne s’y oppose pas…
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De fait nous pouvons désormais considérer que la «pédophilie» n’existe plus comme telle, il suffit désormais à NORDHAL LELANDAIS de déclarer que la petite MAÉLYS l’a provoqué, ce que ne manquera pas de défendre MAITRE IAKUBOVITCH, pour que LELANDAIS soit «blanchi». c’est immonde !!! C’est pour demain …
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Précision : je suis ancien directeur à la protection judiciaire de la jeunesse (23 ans d’expérience avec des victimes et des coupables) et je suis écœuré par une telle remise en cause de toutes nos valeurs.
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MARION SIGAUT HISTORIENNE
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Il semble que le trafic humain, tel que défini par «LA DÉCLARATION DES DROITS SEXUELS» de l'IPPF, ne sera plus illégal ou criminalisé si un enfant «consent» à s'unir à toute personne et ce, peu importe son âge et son orientation sexuelle (pédophile, transgenre...).
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L'obstruction des parents ne pourra plus faire obstacle à cette union puisque l'enfant aura la «capacité évolutive» de prendre seul ses décisions concernant sa vie. Les parents ne pourront pas non plus s'objecter à l'avortement ou à la prise de moyens contraceptifs puisque ce sera un droit sans restriction ni discrimination afin de respecter la «capacité évolutive de l'enfant» !
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25 OCTOBRE 2018 NORD ECLAIR /
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Depuis lundi, un habitant de ROUBAIX, âgé de 29 ans, était jugé devant la COUR D’ASSISES DU NORD, À DOUAI, pour une «tentative d’agression sexuelle imposée à un mineur de 15 ans» et pour «viol sur un mineur de 15 ans». En raison de l’âge de la victime, qui avait douze ans au moment des faits, le procès s’est déroulé à huis-clos.
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L’homme, de nationalité étrangère, est réfugié en FRANCE depuis 2013 après avoir été persécuté dans son pays. En 2015, il bénéficiait d’un titre de séjour. Il était accusé d’avoir agressé une mineure alors qu’il avait été recueilli dans une famille de ROUBAIX. Placé en détention provisoire depuis trois ans, cet homme n’a eu de cesse de clamer son innocence, évoquant des sentiments amoureux réciproques et une relation pleinement consentie avec l’adolescente. [...]
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14 DÉCEMBRE 2017 FRANCEINFO /
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Un homme de 21 ans a été condamné, mardi 12 décembre, à cinq ans de prison avec sursis pour une agression sexuelle et un viol sur une fillette de 4 ans commis en juillet 2014 à NARBONNE-PLAGE, dans l'AUDE, révèle L'INDÉPENDANT. La fillette faisait la sieste dans la chambre de l'accusé, alors âgé de 17 ans, dont la mère était assistante maternelle agréée. Il s'est alors livré à des attouchements avant de «lui mettre son sexe dans la bouche», rapporte le quotidien régional. Selon les informations de MIDI LIBRE, la fillette s'est confiée à une amie, ce qui a permis de révéler au grand jour cette affaire, jugée à huis clos par la COUR D'ASSISES DE L'AUDE DES MINEURS.
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«JE NE SUIS PAS SURPRISE», AVOUE SON AVOCATE
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«Il ne l'explique pas lui-même, il n'avait pas réellement conscience» de ce qu'il faisait, explique SYLVIE FERVAL, conseil de l'accusé, contactée par FRANCEINFO. L'avocate se contente d'évoquer un «jeune homme particulièrement perturbé, «addict» aux jeux vidéo et «plutôt» toxicomane au moment des faits». Elle précise que le jeune homme a été placé dans un centre éducatif fermé après les faits et ce jusqu'à sa majorité, tout en étant suivi par la protection judiciaire de la jeunesse.
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Tous les rapports d'expertise font état d'un trouble de la personnalité et insistent sur l'importance de son environnement.
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SYLVIE FERVAL À FRANCEINFO
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«Je ne suis pas spécialement surprise» par cette peine, poursuit l'avocate, mais «je ne considère pas cela comme une victoire, car cela heurte profondément toutes les sensibilités». L'accusé est soumis à un suivi socio-judiciaire de cinq ans pendant lequel il a l'interdiction d'entrer en contact avec la victime et ne pourra pas travailler dans un milieu en relation avec des enfants. «Tout ce qui m'importe aujourd'hui, c'est son suivi», assure encore SYLVIE FERVAL.
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La COUR D'ASSISES DE SEINE-ET-MARNE a acquitté un homme de trente ans, accusé d'avoir violé une fillette de onze ans, tombée enceinte à la suite du rapport. Les jurés ont estimé que le viol n'était pas caractérisé.
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Un homme de 30 ans, jugé pour le viol d'une fille de 11 ans en 2009 et contre lequel huit ans de prison avaient été requis, a été acquitté par la COUR D'ASSISES DE SEINE-ET-MARNE. La justice a estimé que le viol n'était pas caractérisé, a-t-on appris samedi de sources concordantes.
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Les jurés de la COUR D'ASSISES DE SEINE-ET-MARNE ont jugé mardi soir, au terme de deux jours d'audience, que les éléments constitutifs du viol, «la contrainte, la menace, la violence et la surprise, n'étaient pas établis» a expliqué la PROCUREURE DE MEAUX, DOMINIQUE LAURENS, confirmant une information du PARISIEN.
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L'avocat général avait requis huit ans d'emprisonnement assortis d'un suivi socio-judiciaire, a ajouté la procureure. Le parquet général a fait appel de l'acquittement vendredi 10 novembre, selon LE PARISIEN. Les faits se sont produits en août 2009, a raconté LAURE HABENECK, l'avocate de la jeune fille, aujourd'hui âgée de 20 ans.
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Elle s'était rendue dans un parc avec un homme, âgé de 22 ans à l'époque, Cap-Verdien vivant au PORTUGAL et présent en FRANCE pour des raisons familiales. Il l'avait abordée alors qu'elle jouait avec sa cousine à CHAMPS-SUR-MARNE (SEINE-ET-MARNE).
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Ils avaient eu une relation sexuelle, consentie selon l'accusé. Ce dernier affirme que la jeune fille avait menti sur son âge, en lui disant, selon son avocat, SAMIR MBARKI, «qu'elle avait 14 ans et qu'elle allait vers ses 15 ans», ce qu'elle conteste. Au PARISIEN, son éducatrice à NEVERS (NIÈVRE) s'étonne. «Quand je l’ai rencontrée, bien qu’elle soit enceinte, elle avait un physique de fillette. On ne pouvait pas la confondre avec une adolescente ou une femme. Elle était prostrée, inhibée»
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LA LOI POURRAIT CHANGER
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La famille de la jeune fille avait eu connaissance des faits en 2010, en découvrant sa grossesse. Son enfant, 7 ans aujourd'hui, avait été placé dans une famille d'accueil.
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Cette décision intervient alors qu'une affaire similaire, révélée en septembre, a suscité la controverse : le PARQUET DE PONTOISE (VAL-D'OISE) a décidé de poursuivre pour «atteinte sexuelle" et non pour «viol» un homme de 28 ans pour avoir eu une relation sexuelle avec une enfant de 11 ans.
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Les enquêteurs ont considéré que cette relation était consentie car aucune contrainte physique n'a été exercée sur la mineure, alors que la famille de la fillette a porté plainte pour viol, décrivant une enfant tétanisée, incapable de se défendre.
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Suite à cette affaire, de nombreuses voix se sont élevées pour demander qu'un âge minimal soit fixé et qu'en dessous de cet âge, on ne puisse présumer que le mineur a consenti à l'acte sexuel. Le HAUT CONSEIL À L'ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES propose d'établir ce seuil à 13 ans.
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29 OCTOBRE 2017 FRANCETVINFO /
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MICHAËL HAJDENBERG, journaliste à MEDIAPART, a critiqué le parquet pour ne pas avoir poursuivi un homme âgé de 28 ans pour viol, et ni même pour agression sexuelle, à la suite de la plainte d’une fille de 11 ans pour viol
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La plainte pour viol déposée par une mère et sa fille, qui a eu une relation sexuelle avec un homme de 28 ans, est une affaire qui mérite d’être ébruitée selon MICHAËL HAJDENBERG, journaliste à MEDIAPART.
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NI VIOLENCE, NI MENACE, NI SURPRISE, NI CONTRAINTE
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Juridiquement, il y a viol quand il y a violence, menace, surprise ou contrainte.
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L’audience, qui devait se tenir cette semaine, a été repoussée au mois de février. Le journaliste évoque sa «surprise» quant à la décision du PARQUET : «C’est ce qui fait l’intérêt de ce dossier, et l’effroi pour certains, (…) le parquet ne poursuit pas pour viol».
JUGEMENT AU CAS PAR CAS
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La jeune fille était ressortie paniquée d’une relation sexuelle qu’elle avait eu avec l’homme de 28 ans, qui l’avait suivie dans la rue et complimentée. «Elle le suit dans un immeuble du quartier», raconte le journaliste. «Ils montent dans l’ascenseur. Dans l’ascenseur, il l’embrasse, ils arrivent au 9ème étage, et là, ils ont une relation sexuelle, là dans la cage d’escalier, puis dans l’appartement».
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La question du discernement est centrale dans cette affaire. «Il y a une jurisprudence qui existe mais elle n’est pas très claire», annonce HAJDENBERG. En effet en FRANCE, l’âge du discernement n’est pas fixé par la loi. Seuls les enfants de moins de 5 ans sont protégés par la COUR DE CASSATION en cas de relation sexuelle. Entre 5 et 15 ans, «c'est à l'appréciation du juge, au cas par cas», déplore le journaliste.
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12 NOVEMBRE 2017 LE FIGARO /
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la SECRÉTAIRE D’ÉTAT À L’ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES ET ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES [Réflexe gauche tarée : pour qu'il y ait égalité entre les deux sexes, je les nomme une fois chacun à la première place. NDL], MARLÈNE SCHIAPPA n'en finit pas de surprendre :
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«L'âge de présomption de non-consentement des mineurs, seuil en dessous duquel un enfant ne pourrait être considéré comme sexuellement consentant, est «en train d'être débattu» et se situera entre «13 et 15 ans», a indiqué aujourd'hui la SECRÉTAIRE D’ÉTAT À L’ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES, MARLÈNE SCHIAPPA».
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Cela signifiera que par défaut, un enfant de plus de 13 ans - si c'est l'âge qui est retenu - pourra être reconnu consentant. Débauche pour tous et pédophilie voilée, voilà ce qui attend la jeunesse de demain.
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4 AVRIL 2012 L'HOMME NOUVEAU
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Ce sont les mêmes qui se battent contre l'hypersexualisation des enfants, leur exploitation sexuelle et militent pour une éducation sexuelle de ces mêmes bambins dès la naissance et pour LA RECONNAISSANCE DE DROITS SEXUELS DÈS 10 ANS. Ils se battent à grands coups de conférences, décrets, communiqués et directives efficaces car nourris des concepts magiques de droit, d'égalité et de développement, surtout s'il est durable. «Ils»… Ce sont la nébuleuse ORGANISATION DES NATIONS UNIES (ONU) et toutes ses ramifications, spécialement l'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ (OMS), la CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LA POPULATION ET LE DÉVELOPPEMENT (CIPD), l'ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L'ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE (UNESCO) et l'ASSOCIATION HUMANITAIRE POUR LA SURVIE ET LA PROTECTION DES ENFANTS DU MONDE (UNICEF).
. On pourrait faire remonter l’histoire bien loin, aux début de la «libération sexuelle». On pourrait faire remonter l’histoire aux CONFÉRENCES DU CAIRE en 1994 et de PÉKIN en 1995 qui avaient forgé et commencé de distiller dans les mentalités le concept aussi pervers qu’efficace de «santé reproductive». On pourrait lui trouver mille et une explications, causes et signes avant-coureurs. Arrêtons-nous simplement sur la publication de l’OMS le 20 octobre 2010 des «premières recommandations détaillées en vue d’aider les décideurs de la santé publique à élaborer des programmes appropriés d’éducation sexuelle», fruit de la RÉUNION EUROPÉENNE de l’OMS sur les défis à l’amélioration de la santé sexuelle qui s’était tenue à MADRID. Ces mesures devaient permettre de prévenir les enfants contre l’exploitation sexuelle, contre les grossesses précoces et/ou non désirées et contre les traumatismes liés à la vision d’images pornographiques choquantes si (et seulement si, bien entendu) l’enfant n’a pas reçu d’explications auparavant. Il s’agissait de ne pas attendre l’adolescence pour évoquer ces questions avec nos chères têtes blondes, de ne pas réduire l’éducation sexuelle à la seule explication des mécanismes biologiques pour l’inscrire dans le cadre plus large de valeurs. Valeurs ? Heureuse nouvelle… Peut-être s’agit-il de bonheur humain, de développement intégral, de respect, de complémentarité ? . Faux espoir. Les valeurs de l’OMS sont la lutte contre le SIDA, les grossesses non-désirées et les violences sexuelles. Ainsi placée dans cette étonnante énumération, la grossesse apparait, au choix, comme une maladie ou une violence faite à la personne. Non contents des aberrations susdites, l’OMS invitaient en outre les parents à commencer cette éducation sexuelle… dès la naissance. A encourager leurs enfants à découvrir et toucher leurs organes sexuels dès 5 ans pour découvrir les mécanismes du plaisir et mettre enfin aux oubliettes les principes archaïques qui voudraient réserver le plaisir sexuel aux seuls adultes. Que les enfants découvrent et touchent leur corps est une bonne chose, naturelle et constitutive de leur apprentissage. Que les parents incitent à la masturbation est d’un tout autre ordre. . Alors que l’OMS encourageait les parents à s’investir le plus tôt possible dans l’éducation sexuelle de leurs enfants, la FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU PLANNING FAMILIAL continue d’en inonder les bureaux de rapports et communiqués contre l’engagement des parents dans la santé sexuelle de leurs enfants. Avec d’autres lobbies du même acabit, la Fédération travaille activement à l’abrogation des «législations qui restreignent l'accès des jeunes aux services de santé sexuelle et procréative, et même celles qui prévoient un consentement obligatoire des parents ou du conjoint» et, de décrets en publications, obtient peu à peu gain de cause. . Le 4 octobre 2011, le RAPPORTEUR GÉNÉRAL DE L’ONU ANAND GROVER publiait un rapport qui n’a pas fini d’alimenter les revendications libertaires. Il y revendiquait l’accès à la santé sexuelle et reproductive non plus au nom de l’hygiène, massivement invoquée jusque-là, mais de «l’autonomie corporelle et des droits sexuels et reproductifs des femmes». . Le problème de santé publique se muait en droit. . Et au nom de quoi les enfants en seraient-ils privés ? . Les conséquences ne se sont pas fait attendre puisque l’ONU, encouragée notamment par son SECRÉTAIRE GÉNÉRAL BAN KI-MOON, discute actuellement un texte qui entend reconnaître des DROITS SEXUELS DES ENFANTS DÈS 10 ANS. Les conclusions devraient être rendues d’ici la fin du mois d’avril. . Pourquoi 10 ans et pas 7 ans et demi ou 5 ans et 4 mois ? Nul ne le sait. . Quelles raisons, quels arguments, quelles études scientifiques permettent d’affirmer que la différence entre adultes et enfants est obsolète ? Nul ne le sait. . Mais pendant ce temps, le militantisme pour la dépénalisation de la pédophilie et la suppression de la majorité sexuelle continue son petit bonhomme de chemin. Il choque encore l’opinion publique et reste minoritaire, mais l’avortement aussi, en son temps, choquait… Cette reconnaissance des droits sexuels des enfants serait du pain béni pour les pédophiles et pervers de tous poils, l’occasion, en toute légalité, de s’adonner à une énième transgression. Les relations sexuelles entre un adulte et un enfant auraient lieu sous réserve d’un consentement mutuel, assurent-ils. Outre l’horreur que représentent de telles relations, qui peut sérieusement affirmer que l’enfant n’est pas sous l’emprise de l’adulte qui pourra lui extorquer bien trop facilement un oui qui n’en est pas un ? En septembre 2011, le film TRUST de DAVID SCHWIMMER sortait sur les écrans. Un film parmi d’autres sur les dangers de la pédophilie mais qui avait le mérite de mettre en scène l’emprise psychologique que l’adulte peut avoir sur l’enfant ou l’adolescent. C’était l’histoire, sordide parce qu’atrocement réaliste, d’une jeune fille prise dans les filets d’un pédophile rencontré au hasard d’un forum de discussion sur Internet. La jeune adolescente, manipulée, est violée mais ne le réalise que bien plus tard avant de plonger dans le désespoir et de tenter de se suicider. . Un film inspiré d’une histoire vraie et qui pourrait devenir monnaie courante… . Parents, cachez vos enfants ! |
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ARTICLE 5 PAGE 11 LE DROIT À L’AUTONOMIE ET À LA RECONNAISSANCE DEVANT LA LOI
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Toute personne a le droit d’être reconnue devant la loi et à la liberté sexuelle. Cela implique pour chacun l’opportunité pour chacun d’exercer le contrôle sur ce qui touche à sa sexualité, de décider librement de ce qui touche à sa sexualité, de choisir ses partenaires sexuels, de rechercher à atteindre son plein potentiel et plaisir sexuels, ce dans un contexte non discriminatoire et en tenant pleinement compte des droits d’autrui et des CAPACITÉS ÉVOLUTIVES DE L’ENFANT.
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=> CAPACITÉ ÉVOLUTIVE : terme se référant spécifiquement à la capacité de l’enfant à pouvoir prendre seul des décisions concernant sa vie. Il s’agit également du concept selon lequel la capacité de l’enfant à prendre des décisions évolue lors de son passage de la petite enfance à l’enfance, et de l’enfance à l’adolescence.
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ARTICLE 6 PAGE 11 LE DROIT À LA LIBERTÉ DE PENSER, D’OPINION ET D’EXPRESSION ; ET LE DROIT À LA LIBERTÉ D’ASSOCIATION
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ARTICLE 6 PAGE 11 LE DROIT À LA LIBERTÉ DE PENSER, D’OPINION ET D’EXPRESSION ; ET LE DROIT À LA LIBERTÉ D’ASSOCIATION
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Toute personne a droit à la liberté de penser, de conscience et de religion, en tenant en compte de LA CAPACITÉ ÉVOLUTIVE DE L’ENFANT
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=> INTERDIT D'INTERDIRE CECI «DES NOTIONS DISCRIMINATOIRES D’ORDRE PUBLIC, DE MORALITÉ PUBLIQUE»
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31 AOUT 2015 BVOLTAIRE
. Le MINISTRE FLEUR PELLERIN A VISITE, enthousiaste, pendant deux heures, la FRICHE BELLE DE MAI au mois de juillet. A-t-elle pu ne pas voir l'exposition en question ?
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Un collectif d'auteurs internationaux a organisé une exposition de dessins représentant des scènes de pédophilie, de pédopornographie, de zoophilie et j'en oublie.
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ARTICLE 7 PAGE 11 LE DROIT À LA SANTÉ ET DE BÉNÉFICIER DES PROGRÈS DE LA SCIENCE
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Toute personne a le droit de jouir du meilleur état de santé physique et mentale qu’elle soit capable d’atteindre, ce qui comprend les déterminants de la santé et l’accès aux soins de santé sexuelle pour la prévention, le diagnostic et le traitement de toute prévention, problème ou pathologies sexuels.
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ARTICLE 7 PAGE 11 LE DROIT À LA SANTÉ ET DE BÉNÉFICIER DES PROGRÈS DE LA SCIENCE
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Toute personne a le droit d’accéder à la santé reproductive et à d’autres technologies médicales, ou de les refuser, ce sans discrimination. TOUTE RESTRICTION À CE DROIT ÉTANT FONDÉE SUR L’ÂGE NE DOIT PAS TRANSGRESSER LES PRINCIPES DE NON DISCRIMINATION ET DE CAPACITÉ ÉVOLUTIVE DE L’ENFANT
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=> CAPACITÉ ÉVOLUTIVE : terme se référant spécifiquement à la capacité de l’enfant à pouvoir prendre seul des décisions concernant sa vie. Il s’agit également du concept selon lequel la capacité de l’enfant à prendre des décisions évolue lors de son passage de la petite enfance à l’enfance, et de l’enfance à l’adolescence.
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ARTICLE 9 PAGE 11 LE DROIT DE CHOISIR DE SE MARIER OU NON, DE FONDER ET PLANIFIER UNE FAMILLE ET DE DÉCIDER D’AVOIR OU NON DES ENFANTS, QUAND ET COMMENT
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Toute personne a le droit de choisir de se marier ou non, de fonder ou non une famille, de décider d’avoir ou non des enfants, de décider librement et en toute responsabilité du nombre de ses enfants et de l’espacement des naissances, et ce dans un environnement où les lois et politiques reconnaissent la diversité des formes de famille, y compris celles non définies par la descendance ou le mariage.
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DÉCLARATION OFFICIELLE INTERNATIONAL PLANNED PARENTHOOD FEDERATION IPPF (LE PLANNING FAMILIAL MONDIAL)
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HEALTH ACCESS RIHTS (IPAS)
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PRINCIPE 7 PAGE 10 LES OBLIGATIONS DE RESPECTER PROTÉGER ET SATISFAIRE [LES DROITS SEXUELS] S’APPLIQUENT À TOUTES LES LIBERTÉS ET À TOUS LES DROITS SEXUELS
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Les droits et libertés sexuels comprennent des revendications juridiques fondamentales ainsi que l’accès aux moyens permettant de les satisfaire. Comme pour les autres droits humains, les états ont l’obligation de respecter, protéger et satisfaire les droits sexuels de tous.
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ARTICLE 10 PAGE 11 RESPONSABILITÉ ET RÉPARATION
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Toute personne a droit à des mesures et recours éducatifs, législatifs, judiciaires et autres, qui sont efficaces, adéquats, accessibles et appropriés afin de veiller et d’exiger que ceux qui ont le devoir de faire respecter les droits sexuels leur rendent des comptes. Ceci implique la capacité à surveiller la mise en œuvre des droits sexuels et l’accès à une réparation pleine et entière par restitution, compensation, réhabilitation, satisfaction, garantie de non-répétition et tout autre moyen.
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14 JUILLET 2015 YVES DAOUDAL
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LIFE SITE VIENT DE DIFFUSER UNE VIDÉO où l’on voit une DIRECTRICE DU PLANNING FAMILIAL discuter tranquillement de la façon dont on doit découper les fœtus dans le ventre de leurs mères pour pouvoir avoir des morceaux en bon état afin qu’ils soient vendables. Le morceau se vend entre 30 et 100$. C’est le foie qui est le plus demandé, bien que «beaucoup veuillent des cœurs intacts en ce moment». Elle reçoit des demandes pour des poumons, et aussi pour des «extrémités inférieures», et elle ne sait pas trop pourquoi, sans doute «pour les tissus musculaires».
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Le seul problème est qu’il faut le faire de façon à qu’on ne dise pas «la clinique vend des tissus et se fait de l’argent avec cela».
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Elle pratique elle-même des avortements à LOS ANGELES jusqu’à la 24e semaine. Elle explique qu’elle tient une petite réunion chaque matin pour déterminer quelles parties du corps sont demandées (les clients remplissent un formulaire) et quelles sont les «patientes» qui ce jour-là auront des bébés sur lesquels on pourra faire les prélèvements. Ainsi les avorteurs pourront adapter leurs gestes de façon à ne pas endommager les organes à vendre ce jour-là. «Pour cette raison, la plupart des fournisseurs – sic – se font guider par échographie, afin de déterminer où ils vont mettre les forceps. Ils se disent : «je ne vais pas écraser cette partie, je vais écraser en dessous, et au-dessus, et je vais voir si je peux avoir ça intact». Certains changent la façon dont le fœtus se présente, de sorte qu’il ne vienne pas par la tête, parce que vous ne pouvez pas obtenir la dilatation suffisante. Si vous le faites à partir de la présentation par le siège, par les jambes, alors vous pouvez finir par avoir le crâne intact».
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La LOI FÉDÉRALE AMÉRICAINE interdit l’avortement par démembrement depuis George Bush, et la vente d’organes. Mais, dit DEBORAH NUCATOLA, «les lois sont sujettes à interprétation. Si je vous dis d’emblée que je n’ai pas l’intention de faire cela, ce qui arrive après n’a pas d’importance».
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Il faut regarder cette vidéo, car on y voit DEBORAH NUCATOLA raconter cela comme elle raconterait ses vacances, sans l’ombre d’une hésitation, sans la moindre pudeur, entre une fourchetée de salade et une gorgée de vin… Il me semble que n’importe qui de normal ne peut que se demander comment c’est possible. Comment l’être humain peut en arriver à ce degré d’inconscience dans le mal.
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Le PLANNING FAMILIAL AMÉRICAIN n'a pas contesté l'authenticité de la vidéo, mais s'est défendu en affirmant qu'il s'agissait de dons de patientes pour faire avancer la recherche, les prix ne correspondant qu'aux frais médicaux et de transport vers les laboratoires. La plupart des journaux français se sont évidemment empressés de lui donner raison.
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«DÉCLARATION INTERNATIONALE DES DROITS SEXUELS»
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La loi au service du sexe
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La LOI SCHIAPPA, votée par 92 députés et en l’absence de 477 autres, en pleine AFFAIRE BENALLA, laisse les familles totalement désarmées pour protéger leurs enfants contre les abus sexuels. Désormais, droits sexuels obligent, on va sexualiser les enfants dès la maternelle et un enfant abusé devra prouver qu’il n’était pas d’accord. On arrive au bout de l’horreur.
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11 AOUT 2018 PLANETE 360 GÉRARD LUÇON /
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Cette loi ne «légalise pas» la pédophilie !!! c’est bien plus pervers et dégueulasse : elle supprime la notion de discernement chez l’enfant de plus 5 ans, faisant de cet «enfant de 5 ans» et de l’adolescent un jeune responsable de ses actes.
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C’est la fin de la justice des mineurs telle qu’elle existait depuis la 1ère guerre mondiale ! À l’époque (en 1912) le parlement français avait jugé utile de créer une justice des mineurs, était dans la foulée créée la fonction de Juge pour Enfants : HENRI ROLLET devenant le 1er magistrat pour enfants.
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Vigoureusement opposé à la théorie du «criminel-né», de LOMBROSO, HENRI ROLLET inspira notamment deux lois :
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* la loi du 24 juillet 1889 qui permet de séparer l’enfant de ses parents, lorsque ces derniers sont reconnus «indignes» ;
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* la loi du 22 juillet 1912 qui fixe l’âge de la responsabilité pénale à treize ans et décide la création des tribunaux pour enfants.
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Le travail d’HENRI ROLLET sera largement complété par l’ORDONNANCE de 1945 créant l’EDUCATION SURVEILLÉE (devenue PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE) comme partie intégrante du MINISTÈRE DE LA JUSTICE, en en faisant une direction à part à l’intérieur de ce ministère au même titre que l’administration pénitentiaire, la magistrature, …
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13 ans donc, par cette loi de 1912, permet de définir l’âge de la responsabilité, donc l’âge de la capacité de «discernement» (pour ceux intéressés à une étude approfondie sur cette notion, VOICI UN LIEN
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Le discernement, c’est la capacité à séparer le bien du mal, à conscientiser non seulement la gravité de ses propres actes mais aussi de ceux que l’ont subit.
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Tout le monde se souvient, j’espère, de cette phrase de FINKIELKRAUT défendant son copain ROMAN POLANSKI, violeur et sodomiseur d’une gamine américaine de 13 ans et demi : «à 13 ans ce n’est plus une enfant». Effectivement, c’est choquant mais c’est un fait : à 13 ans passés elle était censée être en capacité de discerner, et donc de choisir.
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Dites vous bien que désormais l’âge du discernement est «tombé» à 5 ans puisque l’enfant «victime» va devoir prouver qu’il était réellement victime et non pas consentant, complice, voire provocateur !!!
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5 ANS … dans certains pays une jeune fille est pré-mariée dès qu’elle a ses premières règles, mais 5 ans …
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Il ne reste plus qu’à supprimer la direction de la protection judiciaire de la jeunesse, étonnamment absente (écartée ?) dans ce débat sur la course en avant vers la reconnaissance de la pédophilie comme un acte normal, dès lors que l’enfant ne s’y oppose pas…
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De fait nous pouvons désormais considérer que la «pédophilie» n’existe plus comme telle, il suffit désormais à NORDHAL LELANDAIS de déclarer que la petite MAÉLYS l’a provoqué, ce que ne manquera pas de défendre MAITRE IAKUBOVITCH, pour que LELANDAIS soit «blanchi». c’est immonde !!! C’est pour demain …
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Précision : je suis ancien directeur à la protection judiciaire de la jeunesse (23 ans d’expérience avec des victimes et des coupables) et je suis écœuré par une telle remise en cause de toutes nos valeurs.
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MARION SIGAUT HISTORIENNE
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Il semble que le trafic humain, tel que défini par «LA DÉCLARATION DES DROITS SEXUELS» de l'IPPF, ne sera plus illégal ou criminalisé si un enfant «consent» à s'unir à toute personne et ce, peu importe son âge et son orientation sexuelle (pédophile, transgenre...).
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L'obstruction des parents ne pourra plus faire obstacle à cette union puisque l'enfant aura la «capacité évolutive» de prendre seul ses décisions concernant sa vie. Les parents ne pourront pas non plus s'objecter à l'avortement ou à la prise de moyens contraceptifs puisque ce sera un droit sans restriction ni discrimination afin de respecter la «capacité évolutive de l'enfant» !
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14 DÉCEMBRE 2017 FRANCEINFO /
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Un homme de 21 ans a été condamné, mardi 12 décembre, à cinq ans de prison avec sursis pour une agression sexuelle et un viol sur une fillette de 4 ans commis en juillet 2014 à NARBONNE-PLAGE, dans l'AUDE, révèle L'INDÉPENDANT. La fillette faisait la sieste dans la chambre de l'accusé, alors âgé de 17 ans, dont la mère était assistante maternelle agréée. Il s'est alors livré à des attouchements avant de «lui mettre son sexe dans la bouche», rapporte le quotidien régional. Selon les informations de MIDI LIBRE, la fillette s'est confiée à une amie, ce qui a permis de révéler au grand jour cette affaire, jugée à huis clos par la COUR D'ASSISES DE L'AUDE DES MINEURS.
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«JE NE SUIS PAS SURPRISE», AVOUE SON AVOCATE
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«Il ne l'explique pas lui-même, il n'avait pas réellement conscience» de ce qu'il faisait, explique SYLVIE FERVAL, conseil de l'accusé, contactée par FRANCEINFO. L'avocate se contente d'évoquer un «jeune homme particulièrement perturbé, «addict» aux jeux vidéo et «plutôt» toxicomane au moment des faits». Elle précise que le jeune homme a été placé dans un centre éducatif fermé après les faits et ce jusqu'à sa majorité, tout en étant suivi par la protection judiciaire de la jeunesse.
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Tous les rapports d'expertise font état d'un trouble de la personnalité et insistent sur l'importance de son environnement.
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SYLVIE FERVAL À FRANCEINFO
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«Je ne suis pas spécialement surprise» par cette peine, poursuit l'avocate, mais «je ne considère pas cela comme une victoire, car cela heurte profondément toutes les sensibilités». L'accusé est soumis à un suivi socio-judiciaire de cinq ans pendant lequel il a l'interdiction d'entrer en contact avec la victime et ne pourra pas travailler dans un milieu en relation avec des enfants. «Tout ce qui m'importe aujourd'hui, c'est son suivi», assure encore SYLVIE FERVAL.
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La COUR D'ASSISES DE SEINE-ET-MARNE a acquitté un homme de trente ans, accusé d'avoir violé une fillette de onze ans, tombée enceinte à la suite du rapport. Les jurés ont estimé que le viol n'était pas caractérisé.
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Un homme de 30 ans, jugé pour le viol d'une fille de 11 ans en 2009 et contre lequel huit ans de prison avaient été requis, a été acquitté par la COUR D'ASSISES DE SEINE-ET-MARNE. La justice a estimé que le viol n'était pas caractérisé, a-t-on appris samedi de sources concordantes.
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Les jurés de la COUR D'ASSISES DE SEINE-ET-MARNE ont jugé mardi soir, au terme de deux jours d'audience, que les éléments constitutifs du viol, «la contrainte, la menace, la violence et la surprise, n'étaient pas établis» a expliqué la PROCUREURE DE MEAUX, DOMINIQUE LAURENS, confirmant une information du PARISIEN.
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L'avocat général avait requis huit ans d'emprisonnement assortis d'un suivi socio-judiciaire, a ajouté la procureure. Le parquet général a fait appel de l'acquittement vendredi 10 novembre, selon LE PARISIEN. Les faits se sont produits en août 2009, a raconté LAURE HABENECK, l'avocate de la jeune fille, aujourd'hui âgée de 20 ans.
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Elle s'était rendue dans un parc avec un homme, âgé de 22 ans à l'époque, Cap-Verdien vivant au PORTUGAL et présent en FRANCE pour des raisons familiales. Il l'avait abordée alors qu'elle jouait avec sa cousine à CHAMPS-SUR-MARNE (SEINE-ET-MARNE).
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Ils avaient eu une relation sexuelle, consentie selon l'accusé. Ce dernier affirme que la jeune fille avait menti sur son âge, en lui disant, selon son avocat, SAMIR MBARKI, «qu'elle avait 14 ans et qu'elle allait vers ses 15 ans», ce qu'elle conteste. Au PARISIEN, son éducatrice à NEVERS (NIÈVRE) s'étonne. «Quand je l’ai rencontrée, bien qu’elle soit enceinte, elle avait un physique de fillette. On ne pouvait pas la confondre avec une adolescente ou une femme. Elle était prostrée, inhibée»
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LA LOI POURRAIT CHANGER
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La famille de la jeune fille avait eu connaissance des faits en 2010, en découvrant sa grossesse. Son enfant, 7 ans aujourd'hui, avait été placé dans une famille d'accueil.
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Cette décision intervient alors qu'une affaire similaire, révélée en septembre, a suscité la controverse : le PARQUET DE PONTOISE (VAL-D'OISE) a décidé de poursuivre pour «atteinte sexuelle" et non pour «viol» un homme de 28 ans pour avoir eu une relation sexuelle avec une enfant de 11 ans.
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Les enquêteurs ont considéré que cette relation était consentie car aucune contrainte physique n'a été exercée sur la mineure, alors que la famille de la fillette a porté plainte pour viol, décrivant une enfant tétanisée, incapable de se défendre.
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Suite à cette affaire, de nombreuses voix se sont élevées pour demander qu'un âge minimal soit fixé et qu'en dessous de cet âge, on ne puisse présumer que le mineur a consenti à l'acte sexuel. Le HAUT CONSEIL À L'ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES propose d'établir ce seuil à 13 ans.
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29 OCTOBRE 2017 FRANCETVINFO /
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MICHAËL HAJDENBERG, journaliste à MEDIAPART, a critiqué le parquet pour ne pas avoir poursuivi un homme âgé de 28 ans pour viol, et ni même pour agression sexuelle, à la suite de la plainte d’une fille de 11 ans pour viol
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La plainte pour viol déposée par une mère et sa fille, qui a eu une relation sexuelle avec un homme de 28 ans, est une affaire qui mérite d’être ébruitée selon MICHAËL HAJDENBERG, journaliste à MEDIAPART.
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NI VIOLENCE, NI MENACE, NI SURPRISE, NI CONTRAINTE
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Juridiquement, il y a viol quand il y a violence, menace, surprise ou contrainte.
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L’audience, qui devait se tenir cette semaine, a été repoussée au mois de février. Le journaliste évoque sa «surprise» quant à la décision du PARQUET : «C’est ce qui fait l’intérêt de ce dossier, et l’effroi pour certains, (…) le parquet ne poursuit pas pour viol».
JUGEMENT AU CAS PAR CAS
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La jeune fille était ressortie paniquée d’une relation sexuelle qu’elle avait eu avec l’homme de 28 ans, qui l’avait suivie dans la rue et complimentée. «Elle le suit dans un immeuble du quartier», raconte le journaliste. «Ils montent dans l’ascenseur. Dans l’ascenseur, il l’embrasse, ils arrivent au 9ème étage, et là, ils ont une relation sexuelle, là dans la cage d’escalier, puis dans l’appartement».
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La question du discernement est centrale dans cette affaire. «Il y a une jurisprudence qui existe mais elle n’est pas très claire», annonce HAJDENBERG. En effet en FRANCE, l’âge du discernement n’est pas fixé par la loi. Seuls les enfants de moins de 5 ans sont protégés par la COUR DE CASSATION en cas de relation sexuelle. Entre 5 et 15 ans, «c'est à l'appréciation du juge, au cas par cas», déplore le journaliste.
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12 NOVEMBRE 2017 LE FIGARO /
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la SECRÉTAIRE D’ÉTAT À L’ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES ET ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES [Réflexe gauche tarée : pour qu'il y ait égalité entre les deux sexes, je les nomme une fois chacun à la première place. NDL], MARLÈNE SCHIAPPA n'en finit pas de surprendre :
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«L'âge de présomption de non-consentement des mineurs, seuil en dessous duquel un enfant ne pourrait être considéré comme sexuellement consentant, est «en train d'être débattu» et se situera entre «13 et 15 ans», a indiqué aujourd'hui la SECRÉTAIRE D’ÉTAT À L’ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES, MARLÈNE SCHIAPPA».
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Cela signifiera que par défaut, un enfant de plus de 13 ans - si c'est l'âge qui est retenu - pourra être reconnu consentant. Débauche pour tous et pédophilie voilée, voilà ce qui attend la jeunesse de demain.
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4 AVRIL 2012 L'HOMME NOUVEAU
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Ce sont les mêmes qui se battent contre l'hypersexualisation des enfants, leur exploitation sexuelle et militent pour une éducation sexuelle de ces mêmes bambins dès la naissance et pour LA RECONNAISSANCE DE DROITS SEXUELS DÈS 10 ANS. Ils se battent à grands coups de conférences, décrets, communiqués et directives efficaces car nourris des concepts magiques de droit, d'égalité et de développement, surtout s'il est durable. «Ils»… Ce sont la nébuleuse ORGANISATION DES NATIONS UNIES (ONU) et toutes ses ramifications, spécialement l'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ (OMS), la CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LA POPULATION ET LE DÉVELOPPEMENT (CIPD), l'ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L'ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE (UNESCO) et l'ASSOCIATION HUMANITAIRE POUR LA SURVIE ET LA PROTECTION DES ENFANTS DU MONDE (UNICEF).
. On pourrait faire remonter l’histoire bien loin, aux début de la «libération sexuelle». On pourrait faire remonter l’histoire aux CONFÉRENCES DU CAIRE en 1994 et de PÉKIN en 1995 qui avaient forgé et commencé de distiller dans les mentalités le concept aussi pervers qu’efficace de «santé reproductive». On pourrait lui trouver mille et une explications, causes et signes avant-coureurs. Arrêtons-nous simplement sur la publication de l’OMS le 20 octobre 2010 des «premières recommandations détaillées en vue d’aider les décideurs de la santé publique à élaborer des programmes appropriés d’éducation sexuelle», fruit de la RÉUNION EUROPÉENNE de l’OMS sur les défis à l’amélioration de la santé sexuelle qui s’était tenue à MADRID. Ces mesures devaient permettre de prévenir les enfants contre l’exploitation sexuelle, contre les grossesses précoces et/ou non désirées et contre les traumatismes liés à la vision d’images pornographiques choquantes si (et seulement si, bien entendu) l’enfant n’a pas reçu d’explications auparavant. Il s’agissait de ne pas attendre l’adolescence pour évoquer ces questions avec nos chères têtes blondes, de ne pas réduire l’éducation sexuelle à la seule explication des mécanismes biologiques pour l’inscrire dans le cadre plus large de valeurs. Valeurs ? Heureuse nouvelle… Peut-être s’agit-il de bonheur humain, de développement intégral, de respect, de complémentarité ? . Faux espoir. Les valeurs de l’OMS sont la lutte contre le SIDA, les grossesses non-désirées et les violences sexuelles. Ainsi placée dans cette étonnante énumération, la grossesse apparait, au choix, comme une maladie ou une violence faite à la personne. Non contents des aberrations susdites, l’OMS invitaient en outre les parents à commencer cette éducation sexuelle… dès la naissance. A encourager leurs enfants à découvrir et toucher leurs organes sexuels dès 5 ans pour découvrir les mécanismes du plaisir et mettre enfin aux oubliettes les principes archaïques qui voudraient réserver le plaisir sexuel aux seuls adultes. Que les enfants découvrent et touchent leur corps est une bonne chose, naturelle et constitutive de leur apprentissage. Que les parents incitent à la masturbation est d’un tout autre ordre. . Alors que l’OMS encourageait les parents à s’investir le plus tôt possible dans l’éducation sexuelle de leurs enfants, la FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU PLANNING FAMILIAL continue d’en inonder les bureaux de rapports et communiqués contre l’engagement des parents dans la santé sexuelle de leurs enfants. Avec d’autres lobbies du même acabit, la Fédération travaille activement à l’abrogation des «législations qui restreignent l'accès des jeunes aux services de santé sexuelle et procréative, et même celles qui prévoient un consentement obligatoire des parents ou du conjoint» et, de décrets en publications, obtient peu à peu gain de cause. . Le 4 octobre 2011, le RAPPORTEUR GÉNÉRAL DE L’ONU ANAND GROVER publiait un rapport qui n’a pas fini d’alimenter les revendications libertaires. Il y revendiquait l’accès à la santé sexuelle et reproductive non plus au nom de l’hygiène, massivement invoquée jusque-là, mais de «l’autonomie corporelle et des droits sexuels et reproductifs des femmes». . Le problème de santé publique se muait en droit. . Et au nom de quoi les enfants en seraient-ils privés ? . Les conséquences ne se sont pas fait attendre puisque l’ONU, encouragée notamment par son SECRÉTAIRE GÉNÉRAL BAN KI-MOON, discute actuellement un texte qui entend reconnaître des DROITS SEXUELS DES ENFANTS DÈS 10 ANS. Les conclusions devraient être rendues d’ici la fin du mois d’avril. . Pourquoi 10 ans et pas 7 ans et demi ou 5 ans et 4 mois ? Nul ne le sait. . Quelles raisons, quels arguments, quelles études scientifiques permettent d’affirmer que la différence entre adultes et enfants est obsolète ? Nul ne le sait. . Mais pendant ce temps, le militantisme pour la dépénalisation de la pédophilie et la suppression de la majorité sexuelle continue son petit bonhomme de chemin. Il choque encore l’opinion publique et reste minoritaire, mais l’avortement aussi, en son temps, choquait… Cette reconnaissance des droits sexuels des enfants serait du pain béni pour les pédophiles et pervers de tous poils, l’occasion, en toute légalité, de s’adonner à une énième transgression. Les relations sexuelles entre un adulte et un enfant auraient lieu sous réserve d’un consentement mutuel, assurent-ils. Outre l’horreur que représentent de telles relations, qui peut sérieusement affirmer que l’enfant n’est pas sous l’emprise de l’adulte qui pourra lui extorquer bien trop facilement un oui qui n’en est pas un ? En septembre 2011, le film TRUST de DAVID SCHWIMMER sortait sur les écrans. Un film parmi d’autres sur les dangers de la pédophilie mais qui avait le mérite de mettre en scène l’emprise psychologique que l’adulte peut avoir sur l’enfant ou l’adolescent. C’était l’histoire, sordide parce qu’atrocement réaliste, d’une jeune fille prise dans les filets d’un pédophile rencontré au hasard d’un forum de discussion sur Internet. La jeune adolescente, manipulée, est violée mais ne le réalise que bien plus tard avant de plonger dans le désespoir et de tenter de se suicider. . Un film inspiré d’une histoire vraie et qui pourrait devenir monnaie courante… . Parents, cachez vos enfants ! |
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ARTICLE 5 PAGE 11 LE DROIT À L’AUTONOMIE ET À LA RECONNAISSANCE DEVANT LA LOI
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Toute personne a le droit d’être reconnue devant la loi et à la liberté sexuelle. Cela implique pour chacun l’opportunité pour chacun d’exercer le contrôle sur ce qui touche à sa sexualité, de décider librement de ce qui touche à sa sexualité, de choisir ses partenaires sexuels, de rechercher à atteindre son plein potentiel et plaisir sexuels, ce dans un contexte non discriminatoire et en tenant pleinement compte des droits d’autrui et des CAPACITÉS ÉVOLUTIVES DE L’ENFANT.
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=> CAPACITÉ ÉVOLUTIVE : terme se référant spécifiquement à la capacité de l’enfant à pouvoir prendre seul des décisions concernant sa vie. Il s’agit également du concept selon lequel la capacité de l’enfant à prendre des décisions évolue lors de son passage de la petite enfance à l’enfance, et de l’enfance à l’adolescence.
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ARTICLE 6 PAGE 11 LE DROIT À LA LIBERTÉ DE PENSER, D’OPINION ET D’EXPRESSION ; ET LE DROIT À LA LIBERTÉ D’ASSOCIATION
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ARTICLE 6 PAGE 11 LE DROIT À LA LIBERTÉ DE PENSER, D’OPINION ET D’EXPRESSION ; ET LE DROIT À LA LIBERTÉ D’ASSOCIATION
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Toute personne a droit à la liberté de penser, de conscience et de religion, en tenant en compte de LA CAPACITÉ ÉVOLUTIVE DE L’ENFANT
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=> INTERDIT D'INTERDIRE CECI «DES NOTIONS DISCRIMINATOIRES D’ORDRE PUBLIC, DE MORALITÉ PUBLIQUE»
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31 AOUT 2015 BVOLTAIRE
. Le MINISTRE FLEUR PELLERIN A VISITE, enthousiaste, pendant deux heures, la FRICHE BELLE DE MAI au mois de juillet. A-t-elle pu ne pas voir l'exposition en question ?
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Un collectif d'auteurs internationaux a organisé une exposition de dessins représentant des scènes de pédophilie, de pédopornographie, de zoophilie et j'en oublie.
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ARTICLE 7 PAGE 11 LE DROIT À LA SANTÉ ET DE BÉNÉFICIER DES PROGRÈS DE LA SCIENCE
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Toute personne a le droit de jouir du meilleur état de santé physique et mentale qu’elle soit capable d’atteindre, ce qui comprend les déterminants de la santé et l’accès aux soins de santé sexuelle pour la prévention, le diagnostic et le traitement de toute prévention, problème ou pathologies sexuels.
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ARTICLE 7 PAGE 11 LE DROIT À LA SANTÉ ET DE BÉNÉFICIER DES PROGRÈS DE LA SCIENCE
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Toute personne a le droit d’accéder à la santé reproductive et à d’autres technologies médicales, ou de les refuser, ce sans discrimination. TOUTE RESTRICTION À CE DROIT ÉTANT FONDÉE SUR L’ÂGE NE DOIT PAS TRANSGRESSER LES PRINCIPES DE NON DISCRIMINATION ET DE CAPACITÉ ÉVOLUTIVE DE L’ENFANT
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=> CAPACITÉ ÉVOLUTIVE : terme se référant spécifiquement à la capacité de l’enfant à pouvoir prendre seul des décisions concernant sa vie. Il s’agit également du concept selon lequel la capacité de l’enfant à prendre des décisions évolue lors de son passage de la petite enfance à l’enfance, et de l’enfance à l’adolescence.
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ARTICLE 9 PAGE 11 LE DROIT DE CHOISIR DE SE MARIER OU NON, DE FONDER ET PLANIFIER UNE FAMILLE ET DE DÉCIDER D’AVOIR OU NON DES ENFANTS, QUAND ET COMMENT
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Toute personne a le droit de choisir de se marier ou non, de fonder ou non une famille, de décider d’avoir ou non des enfants, de décider librement et en toute responsabilité du nombre de ses enfants et de l’espacement des naissances, et ce dans un environnement où les lois et politiques reconnaissent la diversité des formes de famille, y compris celles non définies par la descendance ou le mariage.
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DÉCLARATION OFFICIELLE INTERNATIONAL PLANNED PARENTHOOD FEDERATION IPPF (LE PLANNING FAMILIAL MONDIAL)
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HEALTH ACCESS RIHTS (IPAS)
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PRINCIPE 7 PAGE 10 LES OBLIGATIONS DE RESPECTER PROTÉGER ET SATISFAIRE [LES DROITS SEXUELS] S’APPLIQUENT À TOUTES LES LIBERTÉS ET À TOUS LES DROITS SEXUELS
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Les droits et libertés sexuels comprennent des revendications juridiques fondamentales ainsi que l’accès aux moyens permettant de les satisfaire. Comme pour les autres droits humains, les états ont l’obligation de respecter, protéger et satisfaire les droits sexuels de tous.
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ARTICLE 10 PAGE 11 RESPONSABILITÉ ET RÉPARATION
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Toute personne a droit à des mesures et recours éducatifs, législatifs, judiciaires et autres, qui sont efficaces, adéquats, accessibles et appropriés afin de veiller et d’exiger que ceux qui ont le devoir de faire respecter les droits sexuels leur rendent des comptes. Ceci implique la capacité à surveiller la mise en œuvre des droits sexuels et l’accès à une réparation pleine et entière par restitution, compensation, réhabilitation, satisfaction, garantie de non-répétition et tout autre moyen.
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14 JUILLET 2015 YVES DAOUDAL
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LIFE SITE VIENT DE DIFFUSER UNE VIDÉO où l’on voit une DIRECTRICE DU PLANNING FAMILIAL discuter tranquillement de la façon dont on doit découper les fœtus dans le ventre de leurs mères pour pouvoir avoir des morceaux en bon état afin qu’ils soient vendables. Le morceau se vend entre 30 et 100$. C’est le foie qui est le plus demandé, bien que «beaucoup veuillent des cœurs intacts en ce moment». Elle reçoit des demandes pour des poumons, et aussi pour des «extrémités inférieures», et elle ne sait pas trop pourquoi, sans doute «pour les tissus musculaires».
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Le seul problème est qu’il faut le faire de façon à qu’on ne dise pas «la clinique vend des tissus et se fait de l’argent avec cela».
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Elle pratique elle-même des avortements à LOS ANGELES jusqu’à la 24e semaine. Elle explique qu’elle tient une petite réunion chaque matin pour déterminer quelles parties du corps sont demandées (les clients remplissent un formulaire) et quelles sont les «patientes» qui ce jour-là auront des bébés sur lesquels on pourra faire les prélèvements. Ainsi les avorteurs pourront adapter leurs gestes de façon à ne pas endommager les organes à vendre ce jour-là. «Pour cette raison, la plupart des fournisseurs – sic – se font guider par échographie, afin de déterminer où ils vont mettre les forceps. Ils se disent : «je ne vais pas écraser cette partie, je vais écraser en dessous, et au-dessus, et je vais voir si je peux avoir ça intact». Certains changent la façon dont le fœtus se présente, de sorte qu’il ne vienne pas par la tête, parce que vous ne pouvez pas obtenir la dilatation suffisante. Si vous le faites à partir de la présentation par le siège, par les jambes, alors vous pouvez finir par avoir le crâne intact».
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La LOI FÉDÉRALE AMÉRICAINE interdit l’avortement par démembrement depuis George Bush, et la vente d’organes. Mais, dit DEBORAH NUCATOLA, «les lois sont sujettes à interprétation. Si je vous dis d’emblée que je n’ai pas l’intention de faire cela, ce qui arrive après n’a pas d’importance».
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Il faut regarder cette vidéo, car on y voit DEBORAH NUCATOLA raconter cela comme elle raconterait ses vacances, sans l’ombre d’une hésitation, sans la moindre pudeur, entre une fourchetée de salade et une gorgée de vin… Il me semble que n’importe qui de normal ne peut que se demander comment c’est possible. Comment l’être humain peut en arriver à ce degré d’inconscience dans le mal.
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Le PLANNING FAMILIAL AMÉRICAIN n'a pas contesté l'authenticité de la vidéo, mais s'est défendu en affirmant qu'il s'agissait de dons de patientes pour faire avancer la recherche, les prix ne correspondant qu'aux frais médicaux et de transport vers les laboratoires. La plupart des journaux français se sont évidemment empressés de lui donner raison.
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