lundi 23 janvier 2017

LOGEMENTS POUR SOCIALISTES, MIGRANTS ET SDF FRANÇAIS

LOGEMENTS POUR SOCIALISTES, MIGRANTS ET SDF FRANÇAIS
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LOGEMENTS POUR SOCIALISTES
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HLM «MISE EN EXAMEN DE L’EX-COMMISSAIRE RÉVÈLE UNE DÉRIVE ENTRE RÉSEAUX POLITIQUES, MAÇONNIQUES ET POLICIERS»
9 JUILLET 2016 LE MONDE
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[...] Le haut fonctionnaire en question est le préfet ALAIN GARDÈRE, 59 ans, proche de l’ancien PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, NICOLAS SARKOZY, ex-directeur de cabinet adjoint de CLAUDE GUÉANT au ministère de l’intérieur, directeur du CONSEIL NATIONAL DES ACTIVITÉS PRIVÉES DE SÉCURITÉ (CNAPS), organisme de contrôle de ces entreprises, jusqu’à sa mise en examen, en janvier, pour «CORRUPTION PASSIVE», «PRISE ILLÉGALE D’INTÉRÊTS», «RECEL D’ABUS DE BIENS SOCIAUX» et «DÉTOURNEMENT DE FONDS PUBLICS».
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Selon un article publié le 30 juin par MEDIAPART, M. GARDÈRE jouirait d’un salaire net mensuel de 9 800 euros, d’une prime annuelle de 18 000 euros et de 55 000 euros de revenus fonciers, qui le placent largement au-dessus des plafonds de ressources ouvrant droit à un logement social.
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L’appartement en cause, de 75 m2, avec un loyer de 2 000 euros, est l’un des treize logements sociaux, sur 65 au total, d’un ensemble flambant neuf, aux allures un peu kitsch, style DISNEY, du tout nouveau quartier du Théâtre, à PUTEAUX.
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9 JUILLET 2016 LE MONDE (pdf et page 8)
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13 JUIN 2016
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CHRISTIANE TAUBIRA, GARDE DES SCEAUX PS, HLM DE 80 m²
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2 JUIN 2016
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LE NOUVEAU SCANDALE DES HLM DE PARIS
02 JUIN 2016 MARIANNE
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«MARIANNE» a enquêté sur les graves dysfonctionnements internes de PARIS HABITAT, le premier bailleur social de PARIS (avec 111.000 logements) et d'ILE-DE-FRANCE. Fausses factures, passe-droits, absence de contrôle sur les travaux : 
l'office public censé appliquer la politique de la MAIRIE DE PARIS en matière de logements sociaux cumule les casseroles. recueillis par «MARIANNE», une enquête interne a été réclamée par la VILLE DE PARIS et des suites judiciaires ne sont pas exclues.
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La saga PARIS HABITAT n’en finit pas. Épingle fin janvier par LE PARISIEN pour les généreuses rémunérations de ses dirigeants – et le parachute doré de 500 000 € accordé à STÉPHANE DAMBRINE, son directeur général, qui émarge déjà à 14 000 € par mois, avec voiture de fonction et chauffeur –, le premier bailleur social d’ILE-DE-FRANCE a du souci à se faire. Sa façade de respectabilité risque encore de se lézarder au vu des documents et témoignages recueillis par MARIANNE. Voire, carrément, de s’écrouler. A croire que, depuis JACQUES CHIRAC et la tentaculaire affaire des HLM de la VILLE DE PARIS, le bien nommé OPAC – devenu, en 2008, PARIS HABITAT – se complaît dans l’occulte. [...]
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22 OCTOBRE 2015
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PHILIPPE KALTENBACH SÉNATEUR ET EX-MAIRE DE CLAMART PS ARGENT CONTRE HLM : PRISON FERME POUR CORRUPTION
22 OCTOBRE 2015 LE PARISIEN
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Deux ans de prison, dont un ferme, 20 000 € d’amende, et cinq ans d’inéligibilité : c’est la peine rendue ce jeudi par le TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE NANTERRE à l’encontre du sénateur PS PHILIPPE KALTENBACH, poursuivi pour «corruption».
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En l’occurrence, pour avoir accepté de l’argent contre une promesse de logement social. «Le tribunal ne peut que constater que les faits sont avérés», a indiqué la PRÉSIDENTE LE LA 15E CHAMBRE, ISABELLE PRÉVOST-DESPREZ, qui a fustigé le «comportement déplorable d’élus de la République».
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Le tribunal a d’ailleurs alourdi les réquisitions formulées par le parquet lors de l’audience, le 11 septembre dernier, puisque celui-ci n’avait pas demandé d’emprisonnement ferme. (…)
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Le «complot», le «piège» tendu à a lui aussi été évoqué par le tribunal. Car c’est au maire (LR) de la ville voisine du PLESSIS-ROBINSON, PHILIPPE PEMEZEC, ennemi notoire de KALTENBACH, que MOHAMED ABDELOUAHED a remis ses
VIDÉOS. Et en 2012, PHILIPPE PEMEZEC avait décidé d’alerter le parquet de NANTERRE.
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AVRIL 2015
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HLM À VOLONTÉ POUR LES ÉLUS SOCIALISTES
AVRIL 2015 BVOLTAIRE
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Une enquête exclusive du POINT révèle que des élus du XIIIe arrondissement se voient refiler des HLM en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire.
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Tandis que 150.000 demandeurs de logements sociaux s’accumulent sur les listes d’attente rien qu’à PARIS intra-muros, où ils végéteront en moyenne sept ans avant d’obtenir satisfaction, une enquête exclusive du POINT révèle que des élus du XIIIe arrondissement se voient refiler des HLM en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire. Pas moins de neuf collaborateurs du maire PS JÉRÔME COUMET bénéficient ainsi de ce privilège : ses ex-chefs de cabinet SÉBASTIEN ROY et SOPHIE CHOLLET-LEFEBVRE, l’ancien chargé de mission habitat BENJAMIN CROS, ainsi que SOPHIE ZEGHLACHE, chargée de mission aux affaires sociales, LAURE ROCHETTE, collaboratrice à la jeunesse et aux sports, DOMINIQUE PAINVAIN, responsable de la communication numérique, SEVAN BAGLA, en charge des affaires scolaires, SARAH DAMAGNEZ et SYLVESTRE PIRIOT.
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Mais rien d’illégal, s’empressent-ils de préciser. «Je n’ai jamais eu l’impression d’avoir bénéficié d’un passe-droit. Ce n’est pas illégal. Je respecte les critères d’attribution», plaide SYLVESTRE PIRIOT. Une affirmation contredite par YVES CONTASSOT, élu EELV du XIIIe, qui s’est ému de l’«opacité» ambiante et a fini par se retirer de la commission d’attribution. Un membre de l’opposition va même plus loin : «C’est simple, ils gardent tous les logements pour eux !»
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Décrocher un logement social est un parcours du combattant. L’emplacement géographique, le nombre de pièces et les dossiers prioritaires sont déterminés en fonction de critères précis. On serait donc curieux de connaître l’avis d’imposition de ces élus, la surface de leur appartement et le caractère d’urgence qui légitime une telle rapidité dans le traitement de leur requête. L’un d’eux a réussi l’exploit de se faire reloger dans trois HLM différents en l’espace de dix ans. Une performance qui laissera rêveur les nombreux locataires de HLM qui bataillent depuis des années pour être relogés parce qu’ils sont victimes de nuisances de voisinage ou parce que leur foyer s’est agrandi. Là aussi, il leur faudra patienter sept à dix ans. Et encore, la plupart des demandes seront rejetées ou enterrées dans les méandres administratifs.
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Parallèlement, dans certains immeubles sociaux, on assiste à un phénomène de remplacement progressif de population, y compris dans les arrondissements de droite. Il est de plus en plus fréquent que des locataires de longue date soient priés de décaniller, parce qu’ils dépassent un peu le plafond de revenus autorisé ou parce que leur logement est considéré sous-occupé quand ils n’ont plus d’enfants à charge. Les appartements libérés sont généralement réattribués à des familles allogènes, notamment des mères célibataires, dont le loyer sera en grande partie réglé par les caisses d’allocation. Une fois de plus, ce sont les Français de souche des classes populaires ou moyennes qui se retrouvent pénalisés. Mais il est vrai que cette catégorie-là n’existe pas aux yeux de la justice et des politiques…
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ANNE HIDALGO – et BERTRAND DELANOË avant elle – se targue de vouloir mettre fin à des pratiques de favoritisme que la gauche était la première à dénoncer sous l’ère TIBERI. Dans les faits, les procédés restent identiques. Seul le profil des pistonnés a changé. Et les amis bien placés continuent de se gaver des largesses du système. Le maire de Paris entend instaurer un barème sous forme de points pour rendre les attributions plus équitables. Dont acte.
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27 MARS 2015
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HLM PARIS : QUATRE COLLABORATEURS DU MAIRE DU XIIIe ET CINQ EX LOGÉS EN HLM
27 MARS 2015 LE PARISIEN
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Neuf collaborateurs actuels et anciens de JÉRÔME COUMET, le maire (PS) du XIIIe, dans le parc social. A l’heure où la Ville clame vouloir mettre fin aux «HLM de complaisance» et annonce un système juste et transparent d’attribution, l’information, révélée ce vendredi par le site du «POINT», fait tâche.
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Dans la liste des collaborateurs «actuels» de JÉRÔME COUMET épinglés par l’hebdomadaire, figurent SOPHIE ZEGHLACHE, chargée de mission aux affaires sociales, LAURE ROCHETTE, à la jeunesse et aux sports, DOMINIQUE PAINVAIN, à la communication et SEVAN BAGLA, aux affaires scolaires. «Seuls, deux d’entre eux ont obtenu leur logement alors qu’ils travaillaient dans mon cabinet», souligne JÉRÔME COUMET.
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Parmi les «ex», sont cités les noms de SÉBASTIEN ROY et SOPHIE CHOLLET-LEFEBVRE, ex-chefs de cabinet, BENJAMIN CROS, ex-chargé de mission habitat, SARAH DAMAGNEZ, ex-affaires sociales, et SYLVESTRE PIRIOT, cadre du PS parisien, au cabinet de 2005 à 2009.
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L’UMP RÉCLAME UNE ENQUÊTE ADMINISTRATIVE
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Sollicité par «LE PARISIEN», IAN BROSSAT, l’ADJOINT (PC) AU LOGEMENT DE LA MAIRE DE PARIS, n’a pas voulu s’étendre sur le sujet. «C’est le contingent d’arrondissement qui est concerné, pas celui de la Ville», botte-t-il en touche. «La loi ne donne aucun droit de regard sur les attributions des maires d’arrondissement, insiste-t-on au cabinet d’ANNE HIDALGO. Chaque mairie est souveraine». Même socialiste…
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Ces logements, construits et entretenus par les bailleurs de la VILLE DE PARIS, sont majoritairement des «PLI», le haut de gamme des HLM, mais loués jusqu’à 60 % moins cher que dans le privé. Ils sont destinés aux classes moyennes, justifiant de revenus annuels entre 41 629 € et 119 340 €.
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JÉRÔME DUBUS, CONSEILLER (UMP) DE PARIS, annonce d’ores et déjà qu’il va demander à ANNE HIDALGO de «saisir l’INSPECTION GÉNÉRALE DE LA VILLE afin de voir s’il n’y a pas eu de favoritisme».
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De son côté, la mairie centrale, qui tente d’en finir avec les petits arrangements entre amis, voudrait étendre, d’ici 2015, aux vingt arrondissements le système de points et l’anonymat des dossiers. La tâche pourrait être rude : pour l’instant, seuls cinq arrondissements ont accepté, dont… le XIIIe.
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LOGEMENTS POUR SDF
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20 JANVIER 2017
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LES MIGRANTS AU CHAUD LES FRANCAIS A LA RUE
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CHALLANS (85) : SANS TOIT, FRÉDÉRIC, SYLVIE ET LEUR FILLE VIVENT TOUJOURS SOUS DES TENTES
OUEST-FRANCE (27/06/2017) / OUEST-FRANCE (01/07/2017)
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«Tout ne s’est pas passé comme prévu» Venue en VENDÉE pour un CDI, cette famille a été mise à la rue par la personne qui les hébergeait. Ils vivent dans deux tentes, plantées dans un champ.
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Originaires de MAYENNE, ils voulaient venir en Vendée depuis quelque temps déjà : quand SYLVIE a obtenu un CDI comme assistante ménagère, à CHALLANS, en mars, elle n’a pas hésité. Un membre de sa famille l’a hébergée, puis a accepté que son mari, sa fille et leurs deux chiens viennent chez elle, à SAINT-ÉTIENNE-DU-BOIS. Mais cela n’a duré qu’un temps […]
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Dans l’urgence, ils ont donc démarché plusieurs associations de CHALLANS, des logements sociaux, la mairie… «On les a orientés vers le CCAS, confirme la Ville. Mais il n’y a pas de logements d’urgence disponibles. Leur demande est en cours d’étude.» Pour SYLVIE et FRÉDÉRIC, il n’y avait alors pas d’autre choix que ce camping sauvage. Après une première nuit sur un terrain vague, ils ont maintenant installé leur tente dans cette allée de terre. «Et avec ce que nous ont dit certains responsables, on ose plus aller vers certains organismes… On a trop peur qu’on nous enlève notre fille.» […]
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«On fait attention à la propreté, par respect et pour l’hygiène. Pour l’instant, ça va, mais ce n’est pas vivable à long terme. On ne mendie rien, on ne demande pas d’argent, répète FRÉDÉRIC. On veut juste qu’on nous laisse louer quelque chose, avoir un toit au-dessus de notre tête pour reprendre notre vie là où elle était.»
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Le MAIRE, SERGE RONDEAU, a réagi à cette situation en indiquant «être attentif, comme pour toutes les autres familles en situation d’urgence», tout en rappelant que CHALLANS ne dispose pas de logements d’urgences. «Une demande de logement social a été faite auprès de nos services et l’instruction suit son cours», décrit-il dans un communiqué.
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«Pour les demandes en CCAS, cela veut dire qu’on va attendre au moins un an », s’inquiète FRÉDÉRIC. La famille a reçu plusieurs visites et appels de personnes souhaitant les aider, mais sans réussir à trouver une situation convenable. Ils sont dans l’attente d’une grande tente d’événement, pour abriter leur campement qui a grandement pris l’eau avec ces deux jours de pluie.
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ÉLODIE 21 ANS, LOURDEMENT HANDICAPÉE, ÉTUDIANTE À SCIENCE-PO, LA MAIRIE LUI REFUSE UN LOGEMENT EN RAISON DE SON HANDICAP
14 JUILLET 2017 / FRANCE3 / LAGAUCHEMATUER /
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ÉLODIE LE SAOUT a 21 ans. Elle ne sait pas encore si elle pourra poursuivre ses études en master à SCIENCES-PO PARIS le mois prochain. Lourdement handicapée, la jeune fille, originaire d'HENVIC (29) ne trouve pas de logement dans la capitale
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«Si je ne trouve pas de logement à PARIS, je ne pourrai pas continuer mes études». ÉLODIE LE SAOUT se bat depuis plusieurs semaines pour trouver un logement adapté dans le VIIè arrondissement à PARIS, depuis qu'elle sait qu'elle est prise en master «POLITIQUES PUBLIQUES» à l'ÉCOLE D'AFFAIRES PUBLIQUES à SCIENCES PO PARIS. Mais, le handicap d'ELODIE nécessite la présence d'une tierce personne 24h sur 24 à ses côtés et c'est là le problème. Elle a besoin d'un logement adapté qui pourrait aussi lui permettre d'héberger une auxiliaire de vie.
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PAS DE SOLUTION
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Depuis mi-avril, ÉLODIE LE SAOUT a multiplié les démarches et les contacts auprès de la mission handicap du CENTRE RÉGIONAL DES OEUVRES UNIVERSITAIRES ET SCOLAIRES (CROUS), auprès de SCIENCES-PO, de la CITÉ INTERNATIONALE UNIVERSITAIRE, de la VILLE DE PARIS, du CONSEIL RÉGIONAL D'ILLE DE FRANCE, du SECRÉTARIAT AUX PERSONNES HANDICAPÉES... La MAIRIE DE PARIS nous a confirmé qu'un courrier d'ELODIE avait été réceptionné sans donner davantage d'informations pour le moment. Quant au CROUS de PARIS, il est fermé avant le week-end du 14 juillet, il se peut qu'une solution en externe soit cherchée.
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ÉLODIE crie à l'injustice, elle se bat depuis plusieurs années pour mener à bien sa scolarité et «tout peut s'arrêter à cause d'un problème de logement», dit-elle. Cette année, elle l'a passée en BRETAGNE, en télétravail, en raison de sa santé et du refus du CONSEIL DÉPARTEMENTAL de financer ses auxiliaires en dehors de l'UNION EUROPÉENNE, car la 3ème année à SCIENCES PO doit se passer à l'étranger.
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Cette première année de MASTER, elle aimerait qu'elle se déroule dans des conditions plus sereines. Mais le temps presse, dit-elle, les logements CROUS sont en cours d'attribution et la rentrée approche....
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NI MIGRANTE, NI MUSULMANE = AUCUN APPUI ET RÉDUITE À LA CLOCHARDISATION
5 JUILLET 2017 L'OBS /
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VAL-D'OISE : TONY, BIENTÔT EXPULSÉ DE LA VOITURE OÙ IL VIT DEPUIS TROIS ANS
13 JUIN 2017 LE PARISIEN /
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En panne, le monospace de ce SDF de 45 ans va être mis en fourrière à la demande de la ville, qui met en avant un problème lié au voisinage.
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Toute sa vie est rassemblée dans l’habitacle de sa voiture. TONY COSNIER vit dans un vieux RENAULT ESPACE garé sur un parking près de l’entrée de la CLINIQUE MIRABEAU, à EAUBONNE (VAL-D'OISE), depuis plus de trois ans. Ce sans domicile fixe de 45 ans a trouvé ses repères, entre le centre commercial où il fait sa toilette ou les associations qui lui apportent de l’aide. Un équilibre qui pourrait bientôt être remis en question par son expulsion.
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Le 8 juin dernier, TONY COSNIER a trouvé sur le pare-brise de son monospace une carte du CENTRE COMMUNAL D’ACTION SOCIALE (CCAS) lui demandant de se rendre «en urgence au CCAS». «Votre véhicule va être mis en fourrière, vous devez le déplacer», indique le billet. Des propos confirmés sur place, puis par des agents de la police municipale en début de semaine.
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Mais le véhicule ne peut plus rouler en raison d’un problème de direction. Et le SDF se retrouve donc dans une impasse. «Depuis qu’ils m’ont dit ça, je suis sur le qui-vive, souffle TONY COSNIER. Je n’arrive plus à rien. Cela fait quatre ans que je demande un logement. J’en ai ras le bol, je bataille comme un fou. Cette situation n’a que trop duré.»
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Ce Breton d’origine, arrivé en région parisienne il y a quelques années pour suivre une habitante d’EAUBONNE dont il était amoureux, s’est retrouvé à la rue après sa rupture. Il a bien fait des petits boulots, mais ses patrons ne l’ont pas gardé. Parce qu’il est sans-abri, selon lui. Aujourd’hui, il redoute de devoir vivre dehors. A un moment charnière de sa vie, puisque cet ancien artisan menuisier-plaquiste, qui vit aujourd’hui du RSA (REVENU DE SOLIDARITÉ ACTIVE), devrait être embauché en septembre prochain dans une entreprise d’ARGENTEUIL.
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«UN PROBLÈME LIÉ AU VOISINAGE» SELON LA MAIRIE
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«Tout est en train de s’enchaîner, souffle-t-il. Mais jusqu’au mois d’août, je vais me retrouver à la rue et planter ma tente je ne sais pas où. Vivre dehors, c’est l’enfer. Ici, je me suis organisé pour rester clean, j’ai tous mes repères. Il m’a fallu un an à un an et demi pour calculer toutes les combinaisons.»
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Le MAIRE (LR) GRÉGOIRE DUBLINEAU confirme la procédure d’expulsion. «Cette personne est suivie, notamment, par les services de la mairie, et nous sommes très attentifs à sa situation», précise l’élu, qui évoque «un problème lié au voisinage et aux différents troubles que ça apporte». «Il y a une occupation difficile de cet espace et une cohabitation qui n’est pas simple», souffle le premier magistrat.
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Un argument réfuté par TONY COSNIER. «Je n’ai jamais eu un mot avec le voisinage, glisse ce père de deux petits garçons, qui vivent dans le FINISTÈRE avec leur mère. Les gens savent que je suis sérieux.» «Des habitants m’ont même offert une thermos», précise-t-il, en montrant la bouteille isotherme posée sur le siège passager de sa voiture. Avant de désigner les espaces verts situés près du monospace, vierges de tout déchet. «Il n’y a rien qui traîne car je ramasse tout, prévient le sans-abri. Si quelque chose traîne, je ne veux pas qu’on dise que c’est moi.»
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VILLEFRANCHE (69) : DES PLACES POUR SDF RÉQUISITIONNÉES AU PROFIT DES MIGRANTS
13 NOVEMBRE 2016 LE PROGRES
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EMMANUEL BESSON, DIRECTEUR DE L’OASIS, centre d’hébergement communautaire à GLEIZÉ (RHÔNE), s’inquiète de la perte de places pour les sans domiciles fixe car un foyer les accueillant précédemment a été transformé en centre d’accueil pour réfugiés.
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Extrait de l’interview du directeur : «Ce qui est grave, c’est que le territoire de VILLEFRANCHE n’est pas en capacité d’accueillir les gens de la rue. Pas moins de 80 personnes chaque année, ajoute EMMANUEL BESSON. Le foyer NOTRE-DAME DES SANS-ABRI, qui proposait des places d’accueil pour le renfort hivernal, a été «réquisitionné» pour accueillir des migrants. Depuis juillet 2016, il est devenu centre d’accueil et d’orientation» [...]
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H.L.M. SDF FACE AUX MIGRANTS
FRANCE : DE PLUS EN PLUS DE FAMILLES SDF DÉNONCE LA FNARS
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27 JUILLET 2015 NOUVEL OBS
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Les SDF sont plus nombreux à avoir appelé le 115 en 2014. La FNARS s’inquiète : le nombre de familles concerné a augmenté.
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«Depuis le début du quinquennat de FRANÇOIS HOLLANDE, la situation des sans-abri s'est plutôt dégradée», déplore FLORENT GUEGUEN, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA FÉDÉRATION NATIONALE DES ASSOCIATIONS DE RÉINSERTION
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LA MOITIÉ DES DEMANDES SANS RÉPONSE
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Près de la moitié des sans-abri qui ont demandé un hébergement, soit «près de 48.000 personnes», n'ont jamais obtenu de solution malgré leurs sollicitations (+ 14 % par rapport à 2012). Un chiffre «énorme», qui ne concerne qu'une partie du territoire», HORS PARIS, souligne FLORENT GUEGUEN. Seule une minorité (17 %) a été systématiquement hébergée, et 34 % ont eu des réponses partielles. L'absence de places disponibles reste la principale cause (77 %) des réponses négatives.
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PÈRE SDF ET SON BÉBÉ À LA RUE PARCE QUE FRANÇAIS ET NON MIGRANTS
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SDF FRANÇAIS FACE AUX MIGRANTS PARIS QUAI
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GEORGES, 57 ANS, SANS-ABRI, MORT SUR LE BANC D’UN SQUARE
16 DÉCEMBRE 2016 SUD-OUEST
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AU MOINS 497 SONT MORTS DANS LA RUE EN 2015.
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GEORGES, 57 ans, est mort le 23 novembre sur le banc d’un square PARISIEN, comme des centaines de sans abri chaque année. Sa silhouette dégingandée, blouson de rocker, mains accrochées à ses béquilles, a laissé la place à de nombreux mots d’hommage.
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Selon le décompte annuel publié mercredi par le collectif Les morts de la rue, au moins 497 personnes sont décédées sans abri en 2015.
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LE DEUXIÈME BANC À GAUCHE
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«GEORGES dormait sur le deuxième banc à gauche», raconte CORINNE, une habitante du IXe arrondissement de PARIS, qui avait pris l’habitude de discuter avec lui. «Lorsque le square était fermé, il grimpait au-dessus de la barrière, alors qu’il était gravement handicapé»
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«CE QUI EST TRAGIQUE, C’EST QUE ÇA S’EST JOUÉ À RIEN»
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Depuis quelques semaines, elle se démenait pour le quinquagénaire dont la santé précaire l’alarmait. Elle l’aidait à refaire ses papiers d’identité perdus et avait alerté mairie et associations. Le 22 novembre, l’une d’elles lui répond finalement «on vient demain». Mais GEORGES meurt dans la nuit. «Ce qui est tragique, c’est que ça s’est joué à rien», enrage CORINNE.
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Né le 16 février 1959 à COMPIÈGNE, GEORGES était le fils d’un militaire belge, le troisième d’une fratrie de cinq. La famille connaît des difficultés financières puis des drames. A peine entré dans l’âge adulte, GEORGES perd ses deux parents et son jeune frère. Il part à PARIS puis en HAUTE-SAVOIE, travaille dans la restauration, devient majordome pour un particulier, puis se retrouve au chômage et tombe dans la précarité, il y a une quinzaine d’années.
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«C’était quelqu’un d’intelligent, adorable, qui avait de la conversation, mais je pense que notre histoire familiale nous a beaucoup fragilisés», témoigne son frère PATRICK, l’aîné de la famille. «Il était très fier, et très attaché à sa liberté», décrit son frère qui avait perdu sa trace depuis plusieurs années. Le sachant dans la précarité, il «attendait» autant qu’il «redoutait» d’en apprendre le décès.
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«TOUS MES COPAINS MEURENT»
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Dans le IXe arrondissement, CLAUDE PETRY, croisait régulièrement cet homme «grand, très mince, toujours avec son blouson en cuir, une grande mèche sur le côté». Arrivé il y a quelques mois seulement, il était devenu «une figure très attachante du quartier», selon une autre riveraine.
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«N’ATTENDEZ PAS UNE AUTRE TRAGÉDIE»
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Après avoir passé une dizaine d’années dans un centre d’hébergement et de réinsertion sociale, où il repassait régulièrement, GEORGES avait été pris en charge en avril dans une structure destinée aux sans domicile fixe nécessitant des soins infirmiers. Il y partageait une chambre double. Il avait quitté ce centre «de lui-même» en juillet, selon la directrice, et avait trouvé refuge dans un square du quartier.
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GEORGES a laissé sur son banc, parmi ses maigres biens, le livre de JEAN D’ORMESSON : «MON DERNIER RÊVE SERA POUR VOUS».
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Depuis sa mort, sur les grilles, des voisins ont laissé de pancartes : «N’attendez pas une autre tragédie», «ouvrez les gymnases», «déclenchez dès aujourd’hui le plan grand froid».
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Devant un autel improvisé, JACKIE regarde les bougies et petits mots laissés en hommage à son ami. «Tous mes copains meurent», dit d’une voix blanche ce sans-abri de 58 ans. Quelques jours avant, ClAUDE GAZEL, une riveraine, croise GEORGES une dernière fois, «plein d’espoir» :
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«Il m’a dit ça y est je vais avoir mes droits. Il allait toucher de l’argent. Il voulait retourner du côté de COMPIÈGNE, louer une maison, avoir des poules». «Il ne se plaignait pas. Il n’a pas su nous dire et nous n’avons pas su voir sa détresse»
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Et finalement, GEORGES est mort en laissant sur son banc son blouson en cuir, ses lunettes, une poignée de pièces jaunes et un livre de JEAN D’ORMESSON : «MON DERNIER RÊVE SERA POUR VOUS».
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ANTIBES (06) : JEAN-LOUIS, 76 ANS, VIT DANS SA VOITURE DEPUIS DEUX ANS
14 DÉCEMBRE 2016 FRANCE BLEU
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Pudique, JEAN-LOUIS ne tient pas à s’étendre sur son passé. Sur le décès de sa femme et la faillite de son entreprise de carrelage. Des événements qui l’ont conduit petit à petit à se retrouver sans toit. Avec sa voiture comme seul refuge. A 76 ans, ce sans-abri touche 700 euros par mois de retraite.
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Les services sociaux de la ville d’ANTIBES connaissent déjà ce septuagénaire. Ils vont à nouveau le rencontrer pour faire un point sur sa situation. Jean-Louis a sept enfants. Mais il ne tient pas à demander leur aide. Alors, il se débrouille, comme il peut. Depuis qu’il s’est retrouvé dans la rue, JEAN-LOUIS explique s’être tourné vers la religion. Il médite et prie beaucoup pendant ses longues journées d’errance. Dans le secret espoir d’un avenir meilleur.
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SERQUIGNY (26) LE CRI D'ALERTE D'UN JEUNE À LA RUE
31 OCTOBRE 2016 LEVEILNORMAND
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A la rue, un homme d'une trentaine d'années a manifesté son désarroi devant la mairie de SERQUIGNY, profitant, un peu, de l'annonce de l'arrivée de migrants pour plaider sa cause

Prêt à allumer un feu, devant le parvis de la mairie de SERQUIGNY, dans un braseros de fortune, MATHIEU (nom d’emprunt) manifeste, à sa façon, pour obtenir un logement. La trentaine passée, il dit vivre «sous une tente» depuis «quatre mois» et avoir trouvé refuge dans sa «voiture» depuis que les températures ont baissé.

Qui est MATHIEU ? Que cherche-t-il ainsi ? Rapidement, MATHIEU s’épanche. Il raconte qu’il vient de traverser des épreuves de vie difficiles. Une séparation compliquée, et le voilà qui bascule dans la précarité, et livré à lui-même.

Natif de SERQUIGNY, c’est tout naturellement qu’il se rend en mairie pour demander de l’aide et tenter ainsi de se réinscrire dans le circuit normal de la vie quotidienne : boulot-dodo (il n’y a toujours pas de métro du côté de SERQUIGNY).
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L’information a circulé à vitesse grand V. MATHIEU l’a interceptée et même utilisée. «Je ne veux pas rentrer dans un débat malsain ou quelque chose qui laisserait penser à une parole raciste. Je dis simplement que je veux que mes droits soient autant respectés que ceux des migrants qui fuient la guerre en SYRIE et vont être logés à SERQUIGNY. Mes parents sont d’ici, ont toujours payé leurs impôts et taxes ici et moi aussi je suis né ici», justifie l’homme à la rue.
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SALLAUMINES (62) UNE FAMILLE À LA RUE AVEC SES QUATRE ENFANTS
10 NOVEMBRE 2016 L'AVENIR
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La famille VEZILIER vit sous une tente depuis le mois d’août. Expulsée en juillet, elle attend des réponses pour être relogée, et pouvoir enfin être au chaud pour l’hiver. L’hiver approche, il gèle le matin. La petite famille continue à vivre son quotidien malgré tout. MAGALIE a 44 ans et elle fait des ménages
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«Je travaille, je fais le plus possible de remplacements. Je me lève à 5h pour partir à 6h à Lens et je rentre à 11h30. Le soir, je reprends pour deux heures à 17h, et parfois, je finis à 21h. » Son compagnon CHRISTIAN, âgé de 53 ans, travaille en intérim dans le BTP. Opéré du cœur il y a quelques années, il a désormais une valve. «Vous trouvez ça normal qu’ils vivent dehors ?», interpelle sa belle-sœur. [...]
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BRÉVIANDES (10) : UNE FAMILLE SANS LOGEMENT DEPUIS DEUX MOIS
22 OCTOBRE 2016 L'EST ECLAIR
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Hébergée ici ou là depuis la mi-septembre, la famille est à bout. Toutes ses demandes de logement social sont refusées malgré un salaire et un garant.

«Ne pas craquer et protéger les enfants», c’est le mantra que JUSTINE ROGÉ, 27 ans, maman de LILY-ROSE, 3 ans et de LIAM, 9 mois se répète, inlassablement, tous les matins, depuis deux mois [...]

Cette situation, JUSTINE et SULLIVAN ne l’avaient pas du tout envisagée. «On a quitté notre appartement pour une maison à BRÉVIANDES avec AUBE IMMOBILIER mais le locataire est finalement resté. Notre préavis était déposé et on a dû quitter notre appartement. On a fait des demandes chez tous les bailleurs sociaux : aucune réponse positive»
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TROUVILLE (14) : ILS VIVENT DANS UN CAMION AVEC LEURS ENFANTS
8 OCTOBRE 2016 OUEST FRANCE
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EMMANUELLE GUILET, JÉRÔME POIRIER et leurs enfants vivent depuis deux ans entre chambres d’hôtel, camping et… leur camionnette, faute de pouvoir trouver un logement stable. La galère pourrait prendre fin, mardi.
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Lui enchaîne les missions d’intérim. Elle multiplie les CDD. Les enfants, STEVEN, 8 ans, et MYLINA, 4 ans, vont à l’école comme tous les enfants de leur âge. À une différence près, leur maison est un camion, garé le long de la TOUQUES. «Ça fait deux ans qu’on est à la rue», racontent EMMANUELLE GUILET et JÉRÔME POIRIER.
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La galère, elle commence en mai 2014. Le couple habite alors un logement «insalubre» et «dangereux» à HONFLEUR. «Pour protester, j’avais décidé de ne plus payer la totalité du loyer, rapporte JÉRÔME POIRIER. Ça a été une erreur» «On a reçu un coup de téléphone nous disant qu’on avait quinze jours pour partir», poursuit sa compagne.
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Direction TROUVILLE. Mais avec l’équivalent d’un salaire et deux enfants, pas simple de trouver un logement dans le parc privé. «Quand on demande un studio, on nous répond que c’est trop petit pour une famille. Quand on visite un appartement plus grand, on nous dit qu’on n’a pas de CDI, pas de garant» Difficile également d’accéder à un logement social. «Leurs ressources sont trop faibles pour qu’ils accèdent à un logement HLM», explique CHRISTIAN CARDON, maire de TROUVILLE.
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La FÉE CÉCILIA, association qui vient en aide aux enfants, leur propose une aide. «Elle nous a donné une caravane financée grâce à des dons, reprend EMMANUELLE GUILET, et payé le camping», jusqu’à la fermeture hivernale de celui-ci. «Là, il a fallu se séparer de la caravane, parce qu’on ne pouvait pas la stationner en ville», complète JÉRÔME POIRIER. «On arrive en hiver, se lamente EMMANUELLE GUILET. S’il n’y avait que nous, ce ne serait déjà pas top. Mais il y a les enfants» Nouvelle mobilisation de la FÉE CÉCILIA qui leur trouve un appartement pour une semaine. Le temps pour eux de rencontrer à nouveau le centre communal d’action sociale (CCAS) de TROUVILLE, jeudi.«Ils nous ont trouvé un logement dans une location saisonnière. Mais c’est du temporaire»
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LOGEMENTS POUR LES MIGRANTS
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10 NOVEMBRE 2016
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DES ABRIS POUR LES MIGRANTS MAIS PAS POUR LES SDF
4 NOVEMBRE 2016 LIBERATION / INSEE
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40 000 LOGEMENTS POUR LES MIGRANTS, MAIS 36.000 FRANÇAIS RESTENT SDF
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Selon la dernière étude de l’INSEE datant de 2012, la FRANCE compte 36 000 SDF nés en FRANCE. Dans le même temps, l’État crée 40,000 places pour accueillir des migrants qui ont violé nos frontières !!??
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Selon LIBÉRATION qui rapporte les chiffres du gouvernement :
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A la fin de l’année, la FRANCE devrait compter moins de 40 000 places en CENTRE D’ACCUEIL POUR DEMANDEURS D’ASILE (CADA), alors qu’ils devraient être près de 100 000 à solliciter le statut de réfugié en 2016…
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UN PHÉNOMÈNE DÉNONCÉ PAR JEAN-FRÉDÉRICK POISSON
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NANTES (44) LE CHÂTEAU DU TERTRE OCCUPÉ POUR LES JEUNES MIGRANTS AU BORD DE L’ERDRE
27 NOVEMBRE 2017 OUEST FRANCE /
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Situé sur le campus, le CHÂTEAU DU TERTRE est, depuis dimanche 26 novembre, à NANTES, investi pour abriter des migrants.
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Après l’ÉCOLE DES BEAUX-ARTS RÉQUISITIONNÉE PUIS ÉVACUÉE, après des SALLES DE LA FAC À CENSIVE, c’est le CHÂTEAU DU TERTRE qui est désormais occupé pour l’accueil des jeunes migrants, à NANTES, depuis dimanche 26 novembre au soir. Le bâtiment, qui date de 1872, allait être mis en chantier. Il s’agit d’un château bien visible des promeneurs depuis les bords de l’ERDRE.
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La décision d’occuper le château a été votée, dimanche 26 novembre, en soirée, par les étudiants, des associations et des mineurs étrangers isolés. Pour l’instant, les mineurs n’y SONT pas hébergés : ils sont toujours dans les salles du bâtiment CENSIVE, appartenant à l’université.
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Une proposition a été faite, dimanche soir, à la présidence de l’université. Étudiants et associations demandent que les espaces occupés à CENSIVE servent de lieu de vie et d’activité. et que le château accueille les jeunes migrants pour la nuit.
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TROISVAUX (62) : UN CENTRE POUR MIGRANTS OUVERT DANS UN ANCIEN MONASTÈRE
6 SEPTEMBRE 2017 LE FIGARO /
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Les dernières sœurs de l’ABBAYE DE BELVAL, dans le NORD-PAS-DE-CALAIS, ont quitté les lieux en 2013. Une partie des bâtiments accueille désormais un centre d’hébergement d’urgence d’une centaine de lits, ouvert en août par le gouvernement pour faire baisser la pression migratoire à CALAIS.
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L'abbaye a été construite au début du XXe siècle pour recevoir 80 sœurs cisterciennes trappistines. Puis la communauté a vieilli, les vocations ont manqué et les religieuses ont quitté les lieux en 2012. Une association s'est alors montée pour pérenniser leur activité - notamment leur production de fromage -, développer des projets d'insertion et exploiter ce qui est devenu un patrimoine à valoriser. Le noviciat, jusqu'ici non utilisé, accueille désormais des lits superposés qui peuvent recevoir jusqu'à 100 migrants.
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CANTAL CHATEAU DE CHAMPAGNAC (1170 HABITANTS) CHAQUE MIGRANT AURA SON PORTABLE
22 JUIN 2017 LA MONTAGNE /
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31 JANVIER 2017 L'UNION
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«Je suis né à LA COLLINETTE, en août 1921. La pensée que des réfugiés logent sans doute dans ma maison et ma chambre natales m’émeut profondément. J’en suis fier pour ESSÔMES-SUR-MARNE»
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CLAUDE DUPONT écrit à JEAN-PAUL CLERBOIS, le maire d’ESSÔMES-SUR-MARNE, commune proche de CHÂTEAU-THIERRY. Il vient d’apprendre que vingt-deux migrants sont installés, depuis le démantèlement de la «JUNGLE» DE CALAIS, dans la villa commandée par son grand-père, un banquier parisien, à la sortie du bourg. La villa de LA COLLINETTE, une incroyable bâtisse inspirée par l’ART NOUVEAU et imaginée en 1902 par l’architecte LOUIS BERNARD BONNIER, l’ami de CLAUDE MONET et d’ANDRÉ GIDE (il lui a construit sa villa à MONTMORENCY). Elle est posée dans un parc de plusieurs hectares en bords de MARNE. Une villa située sur un site racheté par COALLIA, une association d’aide et d’accompagnement social pour l’hébergement en résidence sociale, et transformée en centre d’accueil d’urgence. [...]
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MARSEILLE : UNE RÉSIDENCE SOCIALE VIDÉE POUR Y ACCUEILLIR DES MIGRANTS DE CALAIS
2 OCTOBRE 2016
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VISITE DUN LOGEMENT POUR MIGRANTS QUI VA OUVRIR SES PORTES À COGNAC CHARENTE
DES JEUNES MIGRANTS ACCUEILLIS DANS LE CHATEAU DE BLOMARD (ALLIER)
3 NOVEMBRE 2016 FRANCE INFO
CHATEAU DE VERNAY (58) 31 OCTOBRE 2016 VALEURS ACTUELLES
DES RÉFUGIÉS AU CHÂTEAU DE PLUVY (69) 13 OCTOBRE 2016 LE PAYS
LA MAIRIE DE TALENCE SOUHAITE ACCUEILLIR DES MIGRANTS DE CALAIS AU CHÂTEAU DES ARTS
4 OCTOBRE 2016 INFOS BORDEAUX
MIGRANTS HÉBERGÉS AU CHÂTEAU DE TAILLÉ A FONDETTES
26 NOVEMBRE 2015 LA NOUVELLE REPUBLIQUE
MIGRANTS LOGÉS CHÂTEAU PRIVÉ DE TANTONVILLE EN MEURTHE-ET-MOSELLE 10 NOVEMBRE 2015 LORACTU
MIGRANTS LOGÉS AU CHÂTEAU DE PESSAT-VILLENEUVE (PUY DE DOME)
3 NOVEMBRE 2015 LA MONTAGNE
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