lundi 19 février 2018

VACCINS Amis ou ennemis ?

VACCINS
Amis ou ennemis ?
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PROCÈS
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ALUMINIUM DANS LES VACCINS : L'ÉTAT CONDAMNÉ À INDEMNISER UNE FEMME VACCINÉE
26 DÉCEMBRE 2017 SUD OUEST /
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LA COUR ADMINISTRATIVE D’APPEL DE NANTES A CONDAMNÉ L’ÉTAT À INDEMNISER UNE SECRÉTAIRE MÉDICALE APRÈS SA VACCINATION CONTRE L’HÉPATITE B.
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L’Etat a été condamné par la COUR ADMINISTRATIVE D’APPEL DE NANTES à verser plus de 190 000 euros à une secrétaire médicale qui a présenté des troubles physiques à la suite d’une vaccination contre l’HÉPATITE B.
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La secrétaire médicale, âgée de 64 ans, a été soumise à une vaccination obligatoire en mai 1994, avec trois rappels. Elle a présenté, à partir du mois de juillet 1994, des troubles physiques, notamment des douleurs musculaires et une fatigue généralisée. ELLE DEMANDAIT RÉPARATION DEPUIS 2007.
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UNE CAUSALITÉ ENTRE VACCINATION ET HÉPATITE B ÉTABLIE
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Le TRIBUNAL ADMINISTRATIF D’APPEL DE NANTES a imposé «la somme mise définitivement à la charge de l’OFFICE NATIONAL D’INDEMNISATION DES ACCIDENTS MÉDICAUX, DES AFFECTIONS IATROGÈNES ET DES INFECTIONS NOSOCOMIALES (ONIAM) au profit de Mme L. (…) fixée à 190 751,19 euros», selon la décision rendue vendredi. L’ONIAM devra verser également 1 500 euros de frais de justice.
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Lors de procédures antérieures, le CONSEIL D’ÉTAT avait estimé en mai 2016 que «le lien de causalité entre la vaccination contre l’HÉPATITE B subie par Mme L. dans le cadre de l’obligation vaccinale liée à son activité professionnelle et la myofasciite à macrophages dont elle souffre doit être regardé comme établi et de nature à ouvrir droit à réparation à son profit au titre de la solidarité nationale».
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SCLÉROSE EN PLAQUE
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SCLÉROSE EN PLAQUES ET VACCIN HÉPATITE B : LA COUR D’APPEL DE BORDEAUX DONNE RAISON À UN PATIENT ET CONDAMNE SANOFI
7 FÉVRIER 2018 SUD OUEST / COPIE D'ÉCRAN /
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Un arrêt de la COUR D’APPEL DE BORDEAUX qui reconnaît la responsabilité du laboratoire SANOFI dans l’apparition d’une SCLÉROSE EN PLAQUES relance le débat.
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A une époque où la suspicion relative aux vaccinations ne cesse de grandir, l’arrêt rendu le 23 janvier dernier par la 1re chambre civile de la COUR D’APPEL DE BORDEAUX est sans doute appelé à avoir un retentissement national. La juridiction présidée par ÉLISABETH LARSABAL a jugé que la société SANOFI PASTEUR, l’un des leaders mondiaux des vaccins, était responsable de la SCLÉROSE EN PLAQUES dont souffre un ancien peintre chaudronnier de 53 ans domicilié à GOURDON…
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VACCIN CONTRE L’HÉPATITE B : LA COUR DE LUXEMBOURG RECONNAÎT LE LIEN AVEC LA SCLÉROSE EN PLAQUES !
22 JUIN 2017 ENTREPRISE.NEWS
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Le vaccin contre l'HÉPATITE B peut-il causer la SCLÉROSE EN PLAQUES et ouvrir droit à une réparation du préjudice ? La COUR DE CASSATION hésitait à le dire... LA COUR DE JUSTICE DE L'UNION EUROPÉENNE VIENT DE LUI CONFIRMER QU'ELLE AVAIT LE DROIT DE LE RECONNAÎTRE. Une décision qui va compliquer l'entrée en vigueur de la vaccination obligatoire annoncée par la MINISTRE BUZYN...
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AGNÈS BUZYN se serait probablement bien passée de cette décision qui va compliquer la mise en œuvre de sa POLITIQUE de vaccination obligatoire. La COUR DE JUSTICE DE L'UNION EUROPÉENNE vient de considérer, dans le cadre d'une question préjudicielle, qu'il était conforme au droit de l'Union Européenne de reconnaître un lien de causalité entre un vaccin de SANOFI PASTEUR contre l'HÉPATITE B et la SCLÉROSE EN PLAQUES.
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L'affaire visait un cas français. Un homme en parfaite santé avait déclaré une SCLÉROSE après une vaccination. Il est décédé en 2011.
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Jusqu'ici, la directive de l'UNION sur le sujet imposait aux plaignants d'établir la preuve de la causalité entre la vaccination et la maladie. La CJUE vient de reconnaître que cette preuve ne supposait pas forcément un consensus scientifique, mais pouvait simplement s'appuyer sur des présomptions fortes et sérieuses. Il appartiendra à chaque juridiction nationale de vérifier ce sérieux.
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Cette réponse ouvre la voie à une indemnisation des victimes par les fabricants de vaccins incriminés.
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Une très mauvaise nouvelle pour SANOFI... et pour AGNÈS BUZYN.
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AUTISME
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VERDICT D’UN TRIBUNAL ITALIEN : L’AUTISME DU PETIT GARÇON A ÉTÉ CAUSÉ PAR LE VACCIN
7 JUIN 2017 DANSQUELMONDEVITON /
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UNE INDEMNITÉ À VIE A ÉTÉ ACCORDÉE À UN ENFANT AUTISTE QUI AVAIT PRÉCÉDEMMENT REÇU LE VACCIN HEXAVALENT.
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MILAN – LE MINISTÈRE ITALIEN DE LA SANTÉ devra verser une somme de dédommagement bimensuelle à un petit garçon atteint d’autisme, et ce, pour le restant de sa vie.
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C’est en 2006 que le petit garçon a été vacciné avec le vaccin HEXAVALENT de routine fabriqué par la multinationale GLAXOSMITHKLINE. Il s’agit du verdict émis par le TRIBUNAL INDUSTRIEL DE MILAN présidé par le juge NICOLA DI LEO. Selon ce juge, l’existence d’un lien causal entre la vaccination et la maladie a été établi. Qui plus est, en se référant au RAPPORT DE L’EXPERT JUDICIAIRE ET MÉDICAL ALBERTO TORNATORE désigné par le tribunal : «Le petit garçon a probablement été sensible à la toxicité d’un ou de plusieurs ingrédients du vaccin. Il est donc probable que son autisme ait été provoqué par le VACCIN INFANRIX HEXA»
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INTERVIEW «DÉCISION INCROYABLE» AFFIRME L’EXPERT
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VACCIN HEXAVALENT : UNE HISTOIRE DE FRIC
Le VACCIN HEXAVALENT est administré en trois injections au cours de la première année de vie. Il protège contre la POLIO, la DIPHTÉRIE, le TÉTANOS, l’HÉPATITE B, la COQUELUCHE et les infections du type HAEMOPHILUS INFLUENZA TYPE B.
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En 2011, avant d’aller au tribunal, la famille du petit garçon de neuf ans qui avait été diagnostiqué autiste en 2010 avait introduit une requête auprès du MINISTÈRE, mais leur requête fut rejetée. Dans la suite, les parents ont porté plainte. «Le MINISTÈRE avait 60 jours pour faire appel après le prononcé du 23 septembre. Mais aucun appel n’a été déposé» affirme ALESSANDRA GENOVÉSI, l’avocate du petit garçon. Le jugement a donc été considéré comme res judicata (= ayant force de la chose jugée). La famille a émis le souhait que dans le futur, on se soucie de prendre plus de précautions avec ces vaccins. L’enfant va recevoir un dédommagement bimestriel (= tous les deux mois) de 1.683 euros plus un payement ponctuel.
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Le rapport de 18 pages de l’expert médical désigné par la COUR se réfère à «UN DOCUMENT CONFIDENTIEL DE POIDS DE GLAXOSMITHKLINE» traitant des «soi-disant effets secondaires de l’INFANRIX HEXA, signalés pendant les essais cliniques et après la pré-autorisation, entre octobre 2009 et octobre 2011. Selon le témoignage de l’expert, il y a apparemment eu «cinq cas d’autisme rapportés au cours des essais, mais ces cas sont restés non cotés ou ont été omis de la liste des effets indésirables remise aux autorités avant l’autorisation de mise sur le marché»
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Le verdict a aussi précisé – en conformité avec les conclusions de l’expert médical – que le vaccin avait «une propension spécifique à provoquer l’autisme, quoique théoriquement faible si elle est calculée sur la base des essais cliniques pré-autorisation, mais qui en réalité était sous-estimé, en raison de l’existence récemment confirmée par les autorités sanitaires australiennes, de lots de vaccins contenant un désinfectant à base de mercure, désormais interdit en raison de sa neurotoxicité démontrée»
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Rien n’indique que l’AGENCE ITALIENNE DU MÉDICAMENT ait dans la suite lancé des contrôles sur le vaccin HEXAVALENT de GLAXOSMITHKLINE. «Aucune enquête particulière n’est en cours sur ce médicament qui, comme tous les vaccins, doit subir une surveillance post-marketing», explique l’AGENCE, ajoutant : «Il n’existe aucune preuve à l’heure actuelle qu’un changement soit intervenu dans la situation : les avantages de ce produit l’emportent encore sur les risques»
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Les liens présumés entre la vaccination et l’autisme ont fait l’objet d’un débat international considérable pendant un certain nombre d’années. En 2012, UNE PEINE PRONONCÉE PAR LA COUR DE RIMINI A ÉTABLI UN LIEN ENTRE LE VACCIN TRIVALENT ROR (ROUGEOLE-OREILLONS-RUBÉOLE) ET LE SYNDROME DE KENNER (AUTISME).
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À l’époque, le CONSEIL SCIENTIFIQUE DU CALENDARIO VACCINALE DE LA VITA – un groupe rassemblant médecins de famille, pédiatres et associations spécialisées de santé publique a publié cette déclaration : «Ce verdict pourrait déclencher une perte de confiance en un outil de prévention qui protège la santé de nos enfants et l’ensemble de la population italienne !», encourageant le MINISTÈRE DE LA SANTÉ à faire appel. Le verdict de la COUR DE RIMINI se référait à une étude publiée dans le LANCET en 1998, et établissant un lien entre le vaccin contre la rougeole et l’autisme. Quelques années plus tard, cette recherche a été retirée du journal, car elle était considérée comme peu fiable. Une enquête similaire à celle de RIMINI à nouveau sur le lien présumé entre le VACCIN ROR et l’AUTISME a été lancée par le bureau du PROCUREUR DE TRANI.
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Au cours des trois dernières années, l’alarmisme ambiant – que les autorités de la santé estiment injustifié – a provoqué une diminution du nombre d’enfants vaccinés. En mars dernier, MOVIMENTO 5 STELLE (le Mouvement des cinq étoiles) DE LOMBARDIE a déposé un projet de loi en vue de suspendre la vaccination obligatoire, «compte tenu des niveaux de vaccination déjà élevés en LOMBARDIE. Ce mouvement précise qu’il est temps de permettre le consentement libre et éclairé à propos de la vaccination» La réponse de la SOCIÉTÉ DE SANTÉ PUBLIQUE a été assez sèche : «Il s’agit d’une perspective dangereuse pour la santé publique»
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 AGNÈS BUZYN MINISTRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ
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AGNÈS BUZYN MINISTRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ : CONFLIT D'INTÉRÊTS
LE MARI DE LA NOUVELLE MINISTRE DE LA SANTÉ DIRIGE L’INSERM
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19 MAI 2017 VALEURS ACTUELLES / LE MONDE /
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C'ÉTAIT BIEN LA PEINE DE PRENDRE 24H POUR VÉRIFIER LES ÉVENTUELS CONFLITS D'INTÉRÊT :
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«La nomination du tout premier GOUVERNEMENT PHILIPPE devait avoir lieu mardi 16 mai. Ce fut finalement fait le lendemain. Le nouveau PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE voulait donner plus de temps à la HAUTE AUTORITÉ POUR LA TRANSPARENCE DE LA VIE PUBLIQUE afin de vérifier les déclarations fiscales des futurs ministres et anticiper tout conflit d’intérêt. Raté. Comme le souligne LE MONDE, AGNÈS BUZYN, nouvelle MINISTRE DE LA SANTÉ [
FAVORABLE À L'EUTHANASIE], est mariée à YVES LÉVY, DIRECTEUR DE L’INSTITUT NATIONAL DE LA SANTÉ ET DE LA RECHERCHE MÉDICALE (INSERM). Or, le MINISTÈRE DE LA SANTÉ exerce une cotutelle sur cet organisme public. [...]».
L'INSTITUT NATIONAL DE LA SANTÉ ET DE LA RECHERCHE MÉDICALE (ou INSERM) est un établissement public à caractère scientifique et technologique français spécialisé dans la recherche médicale, placé sous la double tutelle du MINISTÈRE DE LA RECHERCHE ET DU MINISTÈRE DE LA SANTÉ.
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AGNÈS BUZYN «EN MARCHE» CONFLITS D'INTÉRÊT LOBBYS INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE
15 JUIN 2017 LE PARISIEN / LIBRE ACTU /
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11 VACCINS CONFLITS D’INTÉRÊT AGNÈS BUZIN 17 JUIN 2017
AGNÈS BUZYN, LA NOUVELLE MINISTRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ, DÉCLARE AU PARISIEN :
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«Aujourd'hui, seuls trois vaccins infantiles sont obligatoires (DIPHTÉRIE, TÉTANOS, et POLIO). Huit autres, dont la COQUELUCHE, l'HÉPATITE B, la ROUGEOLE, sont seulement recommandés. Ce double système est une exception française. Cela pose un vrai problème de santé publique. Aujourd'hui, en FRANCE, la ROUGEOLE réapparaît. Il n'est pas tolérable que des enfants en meurent : dix sont décédés depuis 2008. Comme ce vaccin est seulement recommandé et non obligatoire, le taux de couverture est de 75 % alors qu'il devrait être de 95 % pour prévenir cette épidémie. On a le même problème avec la méningite. Il n'est pas supportable qu'un ado de 15 ans puisse en mourir parce qu'il n'est pas vacciné. Nous réfléchissons donc à rendre obligatoires les onze vaccins pour une durée limitée, qui pourrait être de cinq à dix ans. L'ITALIE L'a fait la semaine dernière.
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[...] Je déteste la coercition, ce n'est pas dans mon tempérament. Mais là, il y a une urgence. Une quinzaine d'enfants sont hospitalisés à cause de la rougeole, cela m'inquiète. Il y a des fois où l'obligation est une bonne chose pour permettre à la société d'évoluer. Je pense à l'égalité hommes-femmes. On n'aurait jamais réussi à progresser dans la parité sans l'imposer dans les conseils d'administration.
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NE CRAIGNEZ-VOUS PAS DE FAIRE LA PART BELLE À L'INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE ?
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Je refuse qu'on me colle cette étiquette. Oui, les industriels gagnent de l'argent, mais on ne peut pas réduire la question de la vaccination à l'intérêt des laboratoires.
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CETTE OBLIGATION POURRAIT-ELLE ÊTRE ÉTENDUE À LA GRIPPE QUI A ENCORE TUÉ 21 000 PERSONNES CET HIVER ?
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Je me pose la question tous les jours pour les professionnels de santé. Je ne comprends pas ceux qui ne s'immunisent pas, ils font courir un risque à leurs patients. On réfléchit à ce que cela devienne obligatoire pour eux. J'en discuterai avec l'ordre des médecins et des pharmaciens»
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ADDENDUM «AGNÈS BUZYN A ÉTÉ RÉMUNÉRÉE PAR LES LABOS PENDANT AU MOINS 14 ANS !» : on apprend ce soir qu'elle a été directement rémunérée pour diverses activités par le LABORATOIRE GENZYME, désormais filiale de SANOFI, de 1998 à 2011 ! Et ce n’est pas tout, entre 2005 et 2011 elle était aussi rémunérée par les LABORATOIRES BRISTOL MEYERS-SQUIBB et NOVARTIS. Ces deux laboratoires ainsi que PIERRE FABRE et SCHERING-PLOUGH (filiale de MERCK) ont aussi financé entre 2005 et 2011 l’ASSOCATION ROBERT DEBRÉ que dirigeait AGNÈS BUZYN. Peut-on accepter qu’une MINISTRE DE LA SANTÉ présente de tels conflits d’intérêts avec le «BIG PHARMA» ?
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MISE EN GARDE CONTRE LES DANGERS DES VACCINATIONS MULTIPLES
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VACCINS : UN RAPPORT POINTE LES RISQUES LIÉS À LA PRÉSENCE D’ALUMINIUM
22 SEPTEMBRE 2017 SUD-OUEST / LE PARISIEN / SCIENCE ET AVENIR /
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Le CONSEIL SCIENTIFIQUE DE L’AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ DU MÉDICAMENT plaide pour que les pistes de recherche soient «poursuivies» et «approfondies».
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Un rapport du CONSEIL SCIENTIFIQUE DE L’AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ DU MÉDICAMENT (ANSM), réalisé en mars dernier mais jamais rendu public, pointe les risques induits par la présence d’aluminium dans les vaccins, rapporte LE PARISIEN.
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L’équipe du CHEF DU SERVICE NEUROMUSCULAIRE À L’HÔPITAL HENRI MONDOR DE CRÉTEIL explique l’adjuvant aluminique, y compris à «faible dose», peut conduire à «une accumulation d’aluminium à long-terme et des effets neurotoxiques», tests sur des souris à l’appui.
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PRÉDISPOSITION GÉNÉTIQUE
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L’étude se penche aussi sur une éventuelle prédisposition génétique à développer une maladie provoquant fatigue, troubles musculaires et mêmes neurologiques après un vaccin : sept gènes sont «surrepresentés», selon les auteurs du rapport, chez les patients affectés.
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Ces experts médicaux plaident pour que ces pistes de recherche soient «poursuivies» et «approfondies». Le MINISTÈRE DE LA SANTÉ, interrogé par le journal, y est favorable mais martèle que malgré ce rapport, «il n’y a aucun argument scientifique" pour remettre en cause «l’innocuité des vaccins» et «rien ne démontre une dangerosité».
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La MINISTRE AGNÈS BUZYN a récemment annoncé que 11 NOUVEAUX VACCINS SERONT OBLIGATOIRES dès le 1er janvier pour les enfants.
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UNE NOUVELLE ÉTUDE MET EN GARDE CONTRE LES DANGERS DES VACCINATIONS MULTIPLES
8 SEPTEMBRE 2016 VACTRUTH / INITIATIVECITOYENNE.BE
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Maintes et maintes fois VAC TRUTH a publié des histoires déchirantes impliquant des nourrissons qui ont reçu des vaccins multiples au cours d’une seule visite médicale. Beaucoup de ces enfants ont subi des lésions cérébrales irréversibles ou sont décédés dans la suite.
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A l’heure actuelle, un enfant de huit semaines peut recevoir jusqu’à dix doses de vaccins au cours d’une seule visite, et dans un cas particulier, un enfant a reçu treize doses qui malheureusement l’ont conduit à la mort. [1]

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Jusqu’à récemment, il y a eu très peu d’études pour permettre aux parents d’examiner les faits concernant les dangers des vaccinations multiples. Toutefois, ceci serait sur le point de changer.

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Des études montrent que les vaccinations multiples sont dangereuses pour les bébés

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Il y a quelques semaines, NEIL Z. MILLER a publié un document intitulé La combinaison de plusieurs vaccins pour enfants au cours d’une seule visite n’est pas sans danger. [2] En utilisant les données du VAERS (VACCINE ADVERSE EVENT REPORTING SYSTEM), MILLER a été en mesure de prouver que plus un enfant recevait de vaccins à un moment donné, plus il y avait de risques qu’une réaction indésirable se produise.

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EN PLUS DES DONNÉES PRÉSENTÉES DANS LE TABLEAU CI-DESSOUS BASÉ SUR 38.801 RAPPORTS DU VAERS, MILLER DÉCLARE :
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«Parmi les 38.801 rapports du VAERS que nous avons analysés, il y a d’abord eu 969 nourrissons qui ont reçu deux doses de vaccin avant qu’ils ne fassent des effets indésirables et 107 nourrissons ont dû être hospitalisés : soit un taux d’hospitalisation de 11%.

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Parmi les 1959 nourrissons qui ont reçu 3 doses de vaccin, 243 ont dû être hospitalisés, soit 12,4%.

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Pour 4 doses de vaccins, 561 des 3.909 nourrissons ont dû être hospitalisés, soit 14,4%. Il est facile de remarquer que sur base des rapports du VAERS, les nourrissons qui ont eu un effet indésirable ont été davantage susceptibles d’être hospitalisés quand ils ont reçu trois doses de vaccin au lieu de deux, ou quatre doses de vaccin au lieu de trois»

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MILLER POURSUIT :
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«Des 10.114 nourrissons qui ont reçu 5 doses de vaccin avant l’événement indésirable, 1463 ont dû être hospitalisés, soit 14,5%. Pour 6 doses de vaccin, 1.365 des 8.454 nourrissons ont dû être hospitalisés, soit 16,1%. Pour 7 doses, 1051 des 5.489 nourrissons ont dû être hospitalisés, soit 19,1%. Et pour 8 doses de vaccins, 661 des 2.817 nourrissons ont dû être hospitalisés, soit 23,5%. Le taux d’hospitalisation a augmenté linéairement de 11,0% pour deux doses à 23,5% pour huit doses»

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En d’autres termes, plus un nourrisson reçoit de vaccins, plus il est susceptible de faire des réactions indésirables.

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MILLER EXPLIQUE QUE :

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«A partir des 38.801 rapports du VAERS que nous avons analysés, 11.927 nourrissons ont reçu une, deux, trois ou quatre doses de vaccin à la suite desquelles ils ont présenté un effet secondaire ; 423 de ces nourrissons sont décédés : un taux de mortalité de 3,6%.

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Les autres 26.874 nourrissons ont reçu cinq, six, sept ou huit doses de vaccin à la suite desquelles ils ont présenté un effet secondaire ; 1458 de ces nourrissons sont décédés, soit un taux de mortalité de 5,4%.

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Le taux de mortalité des nourrissons qui ont reçu de cinq à huit doses de vaccin (5,4%) est significativement plus élevé que le taux de mortalité des nourrissons qui ont reçu une à 4 doses de vaccin (3,6%) […]

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Parmi les nourrissons signalés au VAERS, ceux qui avaient reçu le plus de vaccins présentaient un taux de mortalité de 50% statistiquement et significativement plus élevé comparativement aux nourrissons qui avaient reçu moins de vaccins»

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Selon MILLER, les enfants de moins de six semaines et qui recevaient plus d’un vaccin étaient davantage susceptibles de souffrir de réactions indésirables que des enfants âgés de plus de six mois.

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Au cours de son étude, MILLER a découvert que non seulement l’âge des enfants déterminait si oui ou non ils couraient un risque supplémentaire de souffrir d’un effet secondaire indésirable, mais il déterminait aussi le risque de les voir mourir prématurément.

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APRÈS AVOIR EXAMINÉ LE CHIFFRE COLOSSAL DE 38.801 RÉACTIONS INDÉSIRABLES RAPPORTÉES AU VAERS, MILLER ET SON ÉQUIPE DÉCLARENT QUE :

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«… Des 38.801 rapports du VAERS que nous avons analysés, 765 concernaient des nourrissons de six semaines ou plus jeunes, et qui avaient reçu une ou plusieurs doses de vaccin avant l’événement indésirable, et 154 de ces nourrissons ont dû être hospitalisés, soit un taux d’hospitalisation de 20,1%.
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Parmi les 5.572 nourrissons âgés de six mois au moment de la vaccination, 858 ont dû être hospitalisés, soit un taux de 15,4%.

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Parmi les 801 enfants qui étaient âgés de près d’un an quand ils furent vaccinés, 86 durent être hospitalisés, soit un taux de 10,7%. Le taux d’hospitalisation diminue de façon linéaire de 20,1% pour les nouveau-nés à 10,7 pour les nourrissons plus âgés. […]

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Parmi les 38.801 rapports du VAERS que nous avons analysés, 26.408 nourrissons n’avaient pas encore six mois. Après avoir reçu une ou plusieurs doses de vaccin, 1623 nourrissons sont décédés, soit un taux de mortalité de 6,1%. Les 12.393 nourrissons restants avaient entre six mois et un an d’âge. Après avoir reçu une ou plusieurs doses de vaccin, 258 sont morts, soit un taux de 2,1%.

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Le taux de mortalité des nourrissons vaccinés à moins de six mois était significativement plus élevé que le taux de mortalité des nourrissons âgés de six mois à un an…

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Les nourrissons qui ont souffert d’un événement indésirable rapporté au VAERS étaient davantage susceptibles d’être hospitalisés ou de mourir s’ils étaient plus jeunes au moment de la vaccination»

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Comme tout chercheur, scientifique ou professionnel de la Santé, MILLER n’a pu travailler qu’avec les statistiques disponibles à l’époque. Cependant, comme beaucoup d’entre nous sont conscients, le nombre des réactions indésirables rapportées au VAERS représente une simple fraction des véritables chiffres [3,4] […]

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CONCLUSION
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NEIL Z. MILLER a décrit quelques faits extrêmement alarmants. La situation pourrait cependant être bien pire, étant donné le fait que de nombreux effets indésirables ne sont pas déclarés. Cependant malgré tous ses efforts, aucun des grands médias n’a fait écho à ce document factuel fondé sur des preuves.

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Les faits sont les faits, et nous à VACTRUTH, nous pensons que le temps est venu de mettre un terme à cette folie. Nous demandons aux parents de faire parvenir une copie de l’article de MILLER à tous ceux qui s’occupent de la santé, ainsi qu’aux membres du gouvernement avant qu’il ne soit trop tard.

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RÉFÉRENCES :

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* https://vactruth.com/2015/04/23/baby-dies-after-13-vaccines/
* http://www.jpands.org/vol21no2/miller.pdf
* http://www.harpocratesspeaks.com/2013/11/vaers-few-things-we-need-to-discuss.html
* http://www.vaccinesafety.edu/VAERS.htm
* http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0264410X16002036
* http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27421722
* http://sanevax.org/cdc-hpv-vaccines-science-shameless-promotion/
* http://www.immunize.org/laws/
* http://healthimpactnews.com/2015/there-are-271-new-vaccines-in-big-pharmas-pipeline/
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VACCINS TÉMOIGNAGES DE PROFESSEURS EN MÉDECINE
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OBLIGATION VACCINALE : LE PRIX NOBEL LUC MONTAGNIER JOINT SA VOIX À CELLE DES OPPOSANTS
7 NOVEMBRE 2017 MIDI LIBRE /
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Le PRIX NOBEL DE MÉDECINE LUC MONTAGNIER a joint sa voix ce mardi 7 novembre à celle du controversé PROFESSEUR HENRI JOYEUX pour dénoncer la «dictature vaccinale» que représente selon eux l'extension du nombre de vaccins obligatoires pour les enfants, lors d'une conférence à PARIS.
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«Nous ne sommes pas ici pour créer des polémiques mais pour lancer une alerte : nous risquons, avec une bonne volonté au départ, d'empoisonner petit à petit toute la population», a dit M. MONTAGNIER, PRIX NOBEL 2008 pour la découverte du VIRUS DU SIDA. Le PROFESSEUR MONTAGNIER a estimé que certains vaccins pourraient être liés à des «risques de mort subite du nourrisson» en raison de la présence d'un adjuvant, l'ALUMINIUM, ce qui n'est corroboré par aucune étude. Cette conférence était organisée dans un théâtre, devant des journalistes et un public acquis au discours anti-vaccin. «Nous ne sommes pas contre les vaccins mais pour qu'ils soient utilisés à bon escient et qu'il n'y ait pas d'abus», a affirmé le PROFESSEUR JOYEUX.
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Ce cancérologue a été radié de l'ORDRE DES MÉDECINS en première instance en 2016 après une pétition sur les dangers de certaines vaccinations mais fait valoir que cette radiation est suspendue par des procédures d'appel. L'ASSEMBLÉE NATIONALE a voté le 27 octobre l'extension de 3 à 11 du nombre de vaccins obligatoires pour les enfants qui naîtront à partir du 1er janvier 2018. L'argument premier de la MINISTRE DE LA SANTÉ AGNÈS BUZYN est la baisse du taux de couverture vaccinale et la réapparition de certaines maladies, dans un contexte de défiance grandissante envers la vaccination. «Le meilleur de tous les vaccins, c'est le lait maternel», a lancé le PROFESSEUR JOYEUX.
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L'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ (OMS) recommande l'allaitement au sein de façon exclusive jusqu'à l'âge de six mois, puis complété par une autre alimentation jusqu'à au moins deux ans. Faute d'allaitement maternel, le PROFESSEUR JOYEUX préconise que chaque médecin juge quel vaccin administrer aux enfants en fonction des cas, sans caractère obligatoire. «Vous devez dire au médecin : «mon enfant a telle allergie», et le médecin doit prendre ses responsabilités», a-t-il poursuivi.
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«Des allergies, chez les enfants, il y en a beaucoup. Je ne dis pas (aux parents) qu'il faut dire que les enfants ont des allergies s'ils n'en ont pas, mais face aux allergies, les médecins ont la trouille» de vacciner, a-t-il dit. «Rentrons en résistance, pas une résistance violente mais intelligente et scientifique», a-t-il ajouté, en dénonçant pêle-mêle «une dictature vaccinale», «une manipulation de la population» et «des experts dans les ministères qui sont extrêmement proches des labos».
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ENQUÊTE SUR LES VACCINS
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ADJUVANTS DES VACCINS : «COMPRENDRE QU’EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ TOUT ÉTAIT FAUX FUT UN CHOC»
10 FÉVRIER 2017 LE MONDE
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À une époque de profondes mutations, le rapport au temps est chamboulé. Nous avons invité des personnalités et des anonymes à se confier sur ce sujet. Cette semaine, le professeur et lanceur d’alerte ROMAIN GHERARDI.
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CHEF DU SERVICE DU CENTRE EXPERT DE PATHOLOGIE NEUROMUSCULAIRE DE L’HÔPITAL HENRI-MONDOR À CRÉTEIL (VAL-DE-MARNE), ROMAIN GHERARDI A SIGNÉ, FIN 2016, UN OUVRAGE (TOXIC STORY, ACTES SUD) DANS LEQUEL IL NARRE SON ODYSSÉE DE LANCEUR D’ALERTE CONCERNANT LES EFFETS DES ADJUVANTS ALUMINIQUES PRÉSENTS DANS LES VACCINS. DE QUOI REVENIR SUR LE TEMPS MÉDICAL ET LA RECHERCHE FONDAMENTALE.
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VOUS FAITES PARTIE DES PREMIERS À AVOIR DÉTECTÉ LA MYOFASCIITE À MACROPHAGES ET AVEZ DÉBUTÉ VOS RECHERCHES SUR LES EFFETS DES ADJUVANTS À LA FIN DES ANNÉES 1990. QUAND VOUS REGARDEZ LE CHEMIN PARCOURU, QUE RESSENTEZ-VOUS ?
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On a vu apparaître cette lésion musculaire inconnue en 1993, et c’est ensuite que nous avons compris qu’elle est induite par l’aluminium. On est allé de surprise en surprise, en découvrant l’origine vaccinale de cet ALUMINIUM [depuis 1926, 60 % des vaccins contiennent des ADJUVANTS ALUMINIQUES pour renforcer la réponse immunitaire] puis en comprenant que l’innocuité de ces adjuvants ne repose sur aucune base expérimentale solide. On a longtemps cru qu’ils étaient rapidement évacués dans les urines sous forme d’atomes d’aluminium, mais les toxicologues n’avaient pas compris que les microparticules d’adjuvants sont capturées par les cellules immunitaires et ont un comportement très différent de celui des atomes d’aluminium.

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«L’AFSSAPS, bastion de l’industrie pharmaceutique, s’évertuait à temporiser et à empêcher que la lumière soit faite sur les questions dérangeantes»
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Comprendre que, en matière de sécurité des adjuvants, tout était faux, fragmentaire et non pensé fut un choc. Découvrir le fonctionnement des agences sanitaires fut un second choc. Je pensais, par exemple, que l’agence du médicament était la police du médicament, avec pour rôle de comprendre, de mettre en demeure, etc. Mais non :
APRÈS LE SCANDALE DU MEDIATOR, le rapport de l’IGAS [l’INSPECTION GÉNÉRALE DES AFFAIRES SOCIALES] a parfaitement décrit l’AFSSAPS [L’AGENCE FRANÇAISE DE SÉCURITÉ SANITAIRE DES PRODUITS DE SANTÉ] comme un bastion de l’industrie pharmaceutique, s’évertuant à temporiser et à empêcher que la lumière soit faite sur les questions dérangeantes. L’AFSSAPS, dissoute en 2012, a été remplacée par l’ANSM [l’AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ DU MÉDICAMENT ET DES PRODUITS DE SANTÉ] mais il demeure une profonde réticence à remettre en question l’industrie pharmaceutique.

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VOTRE LIVRE RETRACE VOTRE COMBAT, UN CHEMIN DE CROIX QUI N’EST PAS TERMINÉ. ON NE PEUT S’EMPÊCHER DE PENSER À IRÈNE FRACHON, QUI A DÉNONCÉ L’AFFAIRE DU MEDIATOR ET À D’AUTRES LANCEURS D’ALERTE. COMMENT FAIT-ON POUR TENIR, DANS LE TEMPS, SEUL CONTRE TOUS ?
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Il y a plusieurs explications. D’abord, les sous. Comme je ne travaille pas uniquement sur ce sujet, mon laboratoire a obtenu de bons financements pour étudier, entre autres, les cellules souches musculaires. Sans compter la petite dotation récurrente du laboratoire et les moyens grappillés à droite et à gauche. Tout cela nous a permis de ne jamais lâcher complètement les recherches sur les ADJUVANTS ALUMINIQUES.

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Ensuite, il y a les malades : on les voit quotidiennement, on fait des biopsies, on détecte sans cesse de nouveaux cas. Ces patients souffrent un calvaire personnel (douleurs, fatigue, troubles cognitifs) doublé d’une profonde sensation d’injustice liée à la difficulté de faire reconnaître leur maladie. Cela nous rappelle en permanence la nécessité de continuer les recherches. Et ces recherches ont souvent donné des résultats plus stimulants que les hypothèses de départ… C’est devenu passionnant. Un scientifique ne peut résister à cela.

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CE COMBAT A-T-IL CHANGÉ VOTRE REGARD SUR LE TEMPS EN MÉDECINE ET LE TEMPS DE LA RECHERCHE ?
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Oui, et je retiens trois éléments. Les effets secondaires tout d’abord : le temps long n’a jamais été pris en compte dans l’étude des adjuvants, si bien que le problème n’a pas été clairement formulé avant nos travaux. Plusieurs années peuvent s’écouler avant que les effets ne se manifestent. L’adjuvant se déplace lentement du site d’injection vers des organes distants, où il persiste. Longtemps, très longtemps. Ce temps long doit absolument être pris en compte dans l’étude des toxiques environnementaux biopersistants.

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«Notre premier article sur l’origine vaccinale de la myofasciite à macrophages a été envoyé à treize journaux différents avant qu’il y en ait un qui accepte enfin de se saisir de la question»
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Deuxième leçon : le temps est capital dans la stratégie des agences sanitaires face à des signaux sanitaires inattendus, complexes, ou embarrassants. Elles espèrent toujours que le problème se résoudra spontanément avec le temps. Effectivement, le signal s’atténue souvent progressivement, comme ce fut le cas pour les effets secondaires signalés après la campagne de vaccination massive contre l’HÉPATITE B des années 1990. Douter, relativiser, faire durer les procédures jusqu’à l’usure permet de noyer le bruit initial dans le bruit de fond général. Les responsables éventuels peuvent alors tranquillement partir à la retraite… voire au cimetière.

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Troisième point : le temps de la recherche est toujours beaucoup plus long que l’imagine le public. Mener une étude sur la toxicité des particules d’adjuvant prend au minimum deux ans : il faut trouver les chercheurs prêts à effectuer un travail fastidieux et mal payé, mener l’étude, analyser les résultats, écrire l’article, le soumettre pour publication et ce n’est pas fini pour autant ! Notre premier article sur l’origine vaccinale de la MYOFASCIITE À MACROPHAGES a été envoyé à treize journaux différents avant qu’il y en ait un qui accepte enfin de se saisir de la question et de le soumette pour avis à ses experts. C’est maintenant plus facile, le sujet s’est installé : notre dernier article a été accepté par retour de courrier.

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ON EN EST AUJOURD’HUI À LA PRISE DE CONSCIENCE. ET CE GRÂCE À VOTRE OUVRAGE, AU TRAVAIL DE JOURNALISTES ET À LA MOBILISATION DES ASSOCIATIONS. CELA VOUS SOULAGE-T-IL ?
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Oui bien sûr ! C’est très important. Mais qu’il est difficile de faire comprendre qu’il faut à la fois maintenir une couverture vaccinale protectrice de la population et faire les recherches nécessaires sur la sécurité des adjuvants… D’un côté,
LA FRANCE EST LE PAYS OÙ LA DÉFIANCE ANTIVACCIN EST LA PLUS FORTE et, de l’autre, les industriels ont beau jeu de disqualifier toute recherche susceptible de nuire à leurs intérêts de court terme.

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Je dis aux personnes réticentes face aux vaccins que l’être humain est constitué pour faire face en permanence à un très grand nombre d’antigènes, et que le principal problème à régler est celui de la susceptibilité particulière de certains individus à des ADJUVANTS ALUMINIQUES hors d’âge. Je dis aux grands industriels, comme SANOFI, qu’au-delà de l’objectif de croissance de leur segment, visant à faire passer le chiffre d’affaires mondial du vaccin de 7 milliards en 2005 à 100 milliards en 2025, leur intérêt est de réduire dès à présent l’exposition globale des populations aux ADJUVANTS ALUMINIQUES, de travailler la question des facteurs de susceptibilité individuelle et d’optimiser continûment la sécurité de leurs produits comme le fait l’industrie aéronautique. À défaut, ils seront rapidement suspectés d’être des pourvoyeurs de maladies environnementales chroniques.
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MICHEL GEORGET
Professeur de biologie à la retraite et écrivain, MICHEL GEORGET est auteur de plusieurs ouvrages sur la vaccination (L’apport des vaccinations à la santé publique ; Vaccination, les vérités indésirables
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JEAN-FRANÇOIS BERGMAN
Le professeur JEAN-FRANÇOIS BERGMANN est le chef du service de médecine interne de l'HÔPITAL LARIBOISIÈRE et fut pendant de nombreuses années vice-président de la commission de mise sur le marché de l’AGENCE FRANÇAISE DU MÉDICAMENT.
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Il a aussi été consultant occasionnel pour des études menées par des laboratoires pharmaceutiques privés.
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HENRI JOYEUX
Le professeur HENRI JOYEUX est un cancérologue, conférencier et un écrivain engagé dans différents combats sociétaux autours de la santé. Il est par ailleurs à l'origine de plusieurs pétitions médiatiques sur le sujets de la vaccination.
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YVON CAUCHOIS
YVON CAUCHOIS s'est vacciné contre la grippe H1N1 et a développé une maladie auto-immunitaire dont les symptômes sont apparus 15 jours à peine après la prise du vaccin.
Après avoir passé une série de test, il a été conclu qu'il souffrait d'une encéphalomyélite myalgique (syndrome de fatigue chronique) dont les symptômes rappellent ceux du SYNDROME DE LA GUERRE DU GOLFE.
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Pour YVON, cela ne fait aucun doute, c'est le SQUALEN, adjuvant utilisé contre la grippe H1N1 et contre l'ANTHRAX, donné à l'époque aux soldats américains, qui est la cause de cette inflammation du tronc cérébral.
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ÉCHEC DE VACCINS
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NOUVELLE REVUE COCHRANE : LES VACCINS ANTIGRIPPAUX ÉCHOUENT À 99 %
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Depuis plus de 20 ans, j’écris et je donne des conférences sur la façon dont le vaccin contre la grippe échoue chez presque tous ceux qui le reçoivent. J’ai parlé de l’échec du VACCIN ANTIGRIPPAL dans des blogues et dans mon bulletin d’information, NATURAL WAY TO HEALTH DU DR BROWNSTEIN.
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COCHRANE est un réseau mondial indépendant de chercheurs dans plus de 130 pays qui s’efforcent de produire des informations crédibles et accessibles sur la santé, sans parrainage commercial ni autres conflits de maladies. Ils ne reçoivent pas d’argent des grandes entreprises pharmaceutiques. Par conséquent, leurs études méritent une attention particulière lorsqu’elles sont publiées.
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Le 1er février 2018, le groupe COCHRANE a publié ses dernières découvertes sur le VACCIN CONTRE LA GRIPPE. (1) Les scientifiques ont étudié des essais randomisés et contrôlés comparant le VACCIN ANTIGRIPPAL avec placebo ou sans intervention. Ils comprenaient 52 essais cliniques portant sur plus de 80 000 personnes qui évaluaient l’innocuité et l’efficacité des VACCINS ANTIGRIPPAUX chez des adultes en bonne santé. Les études ont été réalisées entre 1969 et 2009.
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Les auteurs ont découvert que les VACCINS ANTIGRIPPAUX réduisaient probablement le taux de GRIPPE chez les adultes en bonne santé de 2,3 % sans vaccination à 0,9 % avec.
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Cela signifie que la différence entre le vacciné et le non vacciné est de 1,4% ou 0,014. Par conséquent, 71 personnes devraient être traitées avec le VACCIN ANTIGRIPPAL pour prévenir un seul cas (1/1,4 %). Autrement dit, le VACCIN ANTIGRIPPAL n’a rien fait pour 70 des 71 personnes qui l’ont reçu. Cela signifie que cette étude a révélé que le vaccin contre la grippe a échoué à 99 % (71/72).
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Il y avait d’autres mauvaises nouvelles pour le VACCIN CONTRE LA GRIPPE dans cette étude. On prétend que le VACCIN ANTIGRIPPAL diminue le risque d’hospitalisation dû à la grippe. Je ne sais pas trop comment cela se produit puisque le vaccin n’a jamais prouvé son efficacité contre la grippe. Dans cette étude, ils ont constaté que le risque d’hospitalisation chez ceux qui ont reçu le VACCIN ANTIGRIPPAL est passé de 14,7 % à 14,1 %. C’est une baisse de 0,6 p. 100. Cela signifie que le vaccin contre la grippe échoue à plus de 99 % (165/166) dans la prévention des hospitalisations.
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De plus, les chercheurs indépendants ont découvert que le VACCIN ANTIGRIPPAL «… peut entraîner une réduction minime, voire nulle, des absences du travail». Pour ne rien arranger, il a été démontré que le vaccin antigrippal causait une augmentation de la fièvre de 1,5 % à 2,3 %. OY VEY.
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Pourquoi quelqu’un se ferait-il vacciner contre la GRIPPE alors qu’il échoue à 99 % ?
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Pourquoi un médecin prescrirait-il une thérapie, associée à des effets indésirables graves, qui échoue à 99 % ?
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Pourquoi les professionnels de la santé sont-ils forcés de se faire vacciner contre la grippe alors qu’il est constamment démontré que près de 99 % des personnes qui se font vacciner échouent ? De plus, il n’y a pas une seule étude bien menée qui démontre que la vaccination du personnel de santé par le vaccin antigrippal protège contre la propagation de la grippe.
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Le vaccin contre la grippe est un désastre. Je comprends pourquoi le PRÉSIDENT TRUMP ne se fait pas vacciner contre la grippe. Je ne comprends pas pourquoi quelqu’un voudrait se faire injecter un vaccin contre la grippe inefficace.
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(1) COCHRANE DATABASE SYST. REV. 2018. FEB. 1,2:CD001269
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PHILIPPINES : UN VACCIN DE SANOFI À L’ORIGINE DE TROIS DÉCÈS ?
2 FÉVRIER 2018 FRANCETVINFO / REUTERS /
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Les autorités soupçonnent un vaccin controversé contre la DENGUE d’avoir fait trois morts.
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Le laboratoire français SANOFI est dans la tourmente. Les autorités philippines soupçonnent son vaccin controversé contre la DENGUE d’être à l’origine de trois décès, selon un rapport gouvernemental, publié vendredi 2 février. Début décembre, Manille a suspendu son programme national de vaccination après la recommandation du laboratoire français de réserver son VACCIN DENGVAXIA aux personnes ayant déjà été exposées à la maladie dans le passé.
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«Les trois cas ont montré un lien de causalité. Ils sont morts de la DENGUE bien qu’ils aient reçu du DENGVAXIA. Deux d’entre eux sont morts à cause de l’échec de la vaccination», a déclare le SOUS-SECRÉTAIRE À LA SANTÉ ENRIQUE DOMINGO lors d’une conférence de presse. Selon lui, «Le DENGVAXIA n’est pas prêt pour être utilisé dans des campagnes de VACCINATION et il faudrait trois à cinq ans pour observer et superviser si le vaccin produit d’autres effets indésirables».
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DEUX ENFANTS MEURENT DANS LES MINUTES QUI ONT SUIVI L’ADMINISTRATION DU VACCIN ROR
9 JUILLET 2018 AVN /
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LE PREMIER MINISTRE DE SAMOA ÉVOQUE LE DÉCÈS DE CES DEUX ENFANTS ET PARLE DE SA PROPRE EXPÉRIENCE AVEC SON PETIT-FILS
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TUILAEPA LUPESOLIAI NEIOTI AIONO SAILELE MALIEGAOI, PREMIER MINISTRE DE SAMOA :
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«En tant que père et grand-père, je puis comprendre le chagrin causé dans ces familles par la perte de leur enfant. J’ai aussi, il y a plusieurs années, et dans des circonstances similaires, failli perdre mon petit fils. Mais par la grâce de DIEU, il a pu survivre. Il ne sera cependant jamais plus le même enfant car il ne sait plus parler»
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Tuilaepa Lupesoliai Neioti Aiono Sailele Maliegaoi, Premier Ministre de Samoa. (rapporté par J.B. Handley)
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE L’ AUSTRALIAN VACCINATION-SKEPTICS NETWORK (AVN)
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9 JUILLET 2018
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Après le décès ces deux enfants, le MINISTÈRE DE LA SANTÉ a ordonné la saisie de tous les vaccins ROR et a ordonné une enquête immédiate.
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Deux enfants sont morts dans les minutes qui ont suivi la vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole dans les villages de SAFATOU et de SASINA au SAMOA. Les décès se sont produits le 6 juillet 2018.
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La famille du premier enfant a déclaré aux journalistes que leur petite fille, LANNACALLYSTAH SAMUELU est décédée dans les 3 minutes après que l’infirmière ait administré le vaccin.
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La famille d’un autre enfant, LAMEKO SIU, âgé d’un an, ayant appris la mort de LANNACALLYSTAH qui était survenue deux heures plus tôt a poussé la maman à refuser la vaccination pour son fils de peur qu’il ne subisse un sort similaire.
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Ignorant les souhaits de cette famille, l’infirmière de l’hôpital a administré le vaccin. Cet enfant est mort dans la minute qui a suivi.
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Les vaccins ont été saisis dans le pays et une enquête fut immédiatement ordonnée.
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Cette tragédie met en évidence les risques réels que peuvent présenter les vaccinations pour les enfants et les adultes.
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TASHA DAVID, PRÉSIDENTE D’AVN et d’origine samonane, est horrifiée par cette situation :
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«Il est bien écrit dans la littérature médicale que les communautés autochtones peuvent être beaucoup plus vulnérables aux dommages causés par les vaccinations. La santé de six de mes huit enfants a été endommagée, et la situation de ma famille n’est pas rare ! Pourtant le gouvernement australien veut nous forcer à mettre nos enfants en danger, tout comme l’HÔPITAL DE SAMOA a porté préjudice à ces deux pauvres enfants.
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Nous espérons sincèrement que l’enquête sera honnête, se déroulera rapidement et que la justice prévaudra. L’AVN est très soucieuse de la santé des enfants et de leurs familles. Tout ce que nous demandons c’est de pouvoir exercer nos propres choix éclairés en matière de santé et que ces droits soient respectés»
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CONVULSIONS APRÈS VACCIN ROR: 5700 ENFANTS TOUCHÉS CHAQUE ANNÉE AUX ÉTATS-UNIS, SELON UNE NOUVELLE ÉTUDE
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Selon, l’association des MÉDECINS POUR LE CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ, 5700 enfants américains développent chaque année des convulsions après le vaccin ROR
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LOS ANGELES, CALIFORNIE- L’association californienne sans but lucratif PHYSICIANS FOR INFORMED CONSENT a récemment rapporté dans le BRITISH MEDICAL JOURNAL (BMJ)que 5700 enfants américains souffrent chaque année de convulsions suite au VACCIN CONTRE LA ROUGEOLE, LES OREILLONS ET LA RUBÉOLE (ROR).
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Ce chiffre dérive des résultats de l’étude statistique la plus puissante jamais réalisée pour étudier l’association entre le VACCIN ROR et la survenue de convulsions fébriles. Plus d’un demi million d’enfants furent évalués, à la fois ceux vaccinés et ceux non vaccinés, au sein d’une population danoise sur laquelle on se fonde dans le monde entier pour examiner la sécurité des vaccins. Les résultats ont montré que les convulsions se produisent environ chez 1 enfant sur 640 vaccinés avec le ROR. L’extrapolation de ce risque aux 3,64 millions d’enfants américains vaccinés chaque année par le ROR porte ce chiffre à 5700.
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«Pour prendre des décisions de Santé publique précises et éthiques, les risques d’un vaccin doivent être comparés aux risques de la maladie que l’on tente de prévenir», a déclaré le Dr SHIRA MILLER, PRÉSIDENT FONDATEUR du PIC. «En considérant le VACCIN ROR pour prévenir la ROUGEOLE, les risques de ce vaccin doivent être comparés aux risques de la ROUGEOLE»
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Le risque de convulsions fébriles avec le ROR est cinq fois plus élevé que le risque de convulsions fébriles de la ROUGEOLE. Un nombre important de convulsions avec le VACCIN ROR provoquent des dommages permanents. Par exemple, 5% des crises fébriles entraînent une épilepsie, un trouble cérébral chronique qui entraîne des crises récurrentes. Chaque année, on relève environ 300 cas de convulsions dues au VACCIN ROR (5% de 5700) conduiront à l’épilepsie.
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En outre, le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), conçu pour être un système d’avertissement par rapport aux effets secondaires des vaccins, ne reçoit que 90 rapports annuels de convulsions en rapport avec la première dose du ROR, soit seulement 1,6% des 5700 cas de convulsions qui font suite au VACCIN ROR. Il est également facile de réaliser que d’autres événements indésirables graves liés au vaccin, y compris des séquelles neurologiques permanentes et des décès peuvent également être sous-déclarés.
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«AUX ÉTATS-UNIS, la ROUGEOLE est généralement une infection virale bénigne à court terme ; 99,99% des cas de rougeole se rétablissent complètement», a déclaré le Dr MILLER. «Comme il n’a pas été prouvé que le VACCIN ROR soit plus sûr que la rougeole, il n’y a pas suffisamment de preuves pour démontrer que la vaccination de masse antirougeoleuse obligatoire entraîne un bénéfice net pour la santé publique aux ÉTATS-UNIS»
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CANCER DE L'UTÉRUS CHEZ UNE JEUNE FEMME VACCINÉE CONTRE (GARDASIL)
6 JUILLET 2016 DEEPROOTSATHOME
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Le vaccin GARDASIL contre le HPV a été mis sur le marché pour empêcher le cancer. Dans le cas de cette jeune femme, au lieu d’empêcher le cancer, le vaccin l’a provoqué. Les parents et les jeunes-filles ont réellement besoin de comprendre les dangers que présente de vaccin. Pour les aider à comprendre, cette vidéo constitue une information des plus précieuses.
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L’expérience a appris à cette jeune-fille qu’il n’était parfois pas approprié de faire une confiance aveugle aux conseils médicaux actuels souvent basés sur la cupidité.

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Pour son cancer, cette jeune-femme a refusé la chimiothérapie et la radiothérapie qui lui avaient été proposées. En lieu et place elle a eu recours à des méthodes alternatives intensives. Dix ans plus tard, elle est là pour nous raconter son histoire !

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J’ose espérer qu’un maximum de personnes pourront écouter son témoignage passionnant de 10 minutes !

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ERIN CRAWFORD a fréquenté l’UNIVERSITÉ DE LOUISVILLE qui avait réalisé un contrat avec MERCK pour la recherche et le développement du GARDASIL. C’est, par hasard, à l’université que le vaccin lui fut proposé. Elle a accepté de se faire vacciner pour se protéger du cancer du col de l’utérus.

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Au cours de la vidéo (9.33) la jeune femme explique qu’après son amygdalectomie d’urgence et après l’ablation du col de l’utérus cancéreux, un pathologiste indépendant a examiné les tissus des amygdales, du col de l’utérus, et a constaté que les types 16 et 18 du HPV y étaient présents. Les deux souches du vaccin GARDASIL étaient présentes dans les tissus biopsiés.
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EXTRAITS DE LA VIDEO :

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C’est quand j’étais à l’université que j’ai reçu la première dose du vaccin GARDASIL. Un professionnel de santé m’a expliqué qu’il existait un vaccin contre le cancer du col de l’utérus et le lui a proposé.

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Au moment où on m’a proposé ce vaccin, j’avais bien en tête que 3 membres de ma famille étaient décédés de cancer. Cette situation a évidemment joué dans ma peur, et c’est comme cela que j’ai accepté la première injection, croyant bien faire. La nuit qui a suivi, je me suis réveillée pour vomir. Je me sentais terriblement faible. Je ne parvenais plus à bouger ni mes jambes, ni mes bras qui me semblaient peser des tonnes. J’avais aussi de la fièvre. Dans les jours qui ont suivi, les ganglions de mon cou sont devenus énormes. Une semaine plus tard, mes amygdales avaient tellement gonflé que j’ai dû être transportée aux urgences.

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J’ai ainsi été malade pendant 6 mois. Finalement on a dû m’enlever les amygdales en urgence. Mes règles avaient aussi complètement disparu. On finit par me diagnostiquer un cancer du col de l’utérus stade 3, cette maladie que j’avais précisément voulu éviter.

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Trois mois avant de me faire vacciner, j’avais fait mon frottis annuel et tout était parfait ; bilan de santé parfaite.

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Après la vaccination, chaque fois que je me fâchais ou m’énervais, je m’évanouissais.

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J’ai aussi commencé à mal réagir à plusieurs aliments qui auparavant ne m’avaient jamais causé le moindre problème.

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Pendant un an et demi, j’ai suivi plusieurs traitements pour mon cancer. Le diagnostic de cancer a été posé 3 fois à différents intervalles jusqu’au jour où il fut décidé de m’enlever le col de l’utérus.

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Plusieurs mois plus tard, alors même que je n’avais plus de col de l’utérus, je reçus le 4ème diagnostic de cancer. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que la communauté médicale ne pouvait guère m’aider.

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Mon cancérologue m’expliqua que j’allais mourir si je n’acceptais pas la chimiothérapie et la radiothérapie. C’est alors que je me suis rappelé que la santé des 3 membres de ma famille qui avaient été traités par chimiothérapie et radiothérapie, n’avait fait que se dégrader. – J’ai alors refusé les traitements qui m’étaient proposés.- Malgré le fait que j’étais dans la peur, j’ai commencé à faire mes propres recherches, à étudier. – J’ai finalement découvert le protocole du Dr M. GERSON (jeûne avec jus de fruits et de légumes, et lavement au café). J’y ai ajouté plusieurs autres thérapies alternatives. C’est ainsi que j’ai eu recours à la chiropraxie, à la chambre hyperbare, à l’acupuncture. J’ai aussi appris à méditer. J’ai ainsi pendant 6 mois, et de manière intense eu recours à différentes thérapies alternatives.

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Dans mon alimentation, j’ai eu l’attention particulièrement attirée par les aliments ayant des propriétés anti-inflammatoires.- Ma nourriture était essentiellement bio ; pas de pesticides.

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J’ai aussi pris des doses importantes de vitamine C. Je veillais à prendre des aliments sans gluten, sans produits à base de soja. J’avais aussi supprimé tous les produits laitiers. Des graisses comme l’huile de coco m’ont redonné de l’énergie car, pendant environ 2 ans je m’étais sentie très fatiguée, ne voulant pratiquement plus quitter mon lit. Ce régime à base de bonnes graisses est aussi favorable au bon fonctionnement du cerveau. J’ai aussi pris beaucoup D’OMÉGA 3.

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Une chose qui m’a beaucoup aidée : l’exercice (yoga et marche) Sur le plan de l’exercice, il me fallait aussi être très prudente.

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J’ai aussi essayé d’éviter toutes les formes possibles d’aluminium, de fluor.

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D’une certaine manière, je me rends compte que c’est une chance de n’avoir eu qu’une seule injection. C’est peut-être grâce à cela que je suis encore là aujourd’hui. C’est en effet après la première injection que j’ai de suite été malade. – Il y a maintenant 9 ans que je n’ai plus de cancer.

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Je ne sais personnellement pas si c’est le vaccin qui a causé tout cela ; je ne suis pas compétente en la matière. Ce que je puis dire cependant c’est que la maladie contre laquelle je voulais me protéger, je l’ai finalement contractée, et ce fut une longue et dure bataille.

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Je veux aussi dire aux victimes du GARDASIL qu’il y a de l’espoir grâce à l’alimentation et au style de vie.
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ÉPIDÉMIE D'OREILLONS À L'UNIVERSITÉ D'HARVARD ... 99% DES PERSONNES INFECTÉES ÉTAIENT VACCINÉES !
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29 AVRIL 2016 EL ROBOT PESCADOR
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D'après plusieurs articles publiés aux ÉTATS-UNIS, au cours des deux derniers mois, quarante membres du corps étudiant de HARVARD ont contracté les OREILLONS.
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La maladie virale s'est apparemment également propagée à l'UNIVERSITÉ voisine de TUFTS et l'UNIVERSITÉ DE BOSTON.

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Mais curieusement, le département de la santé publique a déterminé que tous les étudiants de HARVARD infectés jusqu'alors avaient reçu le vaccin contre les OREILLONS avant d'être infectés.

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En fait, à HARVARD, 99% des universitaires avaient satisfait aux exigences de la vaccination de l’État.

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Comment cela se peut-il qu'une épidémie apparaisse parmi des personnes qui ont reçu le controversé VACCIN ROR, le même vaccin qui a été lié à l'augmentation des cas d'AUTISME ?

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QU'EST-CE QUI NE VA PAS ?
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Pour répondre à cette question, les médias qui pourraient être considérés comme «officiels» utilisent les arguments suivants, comme nous le voyons sur le site SELF.COM ...

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L'UNIVERSITÉ DE HARVARD est confrontée à une épidémie d'oreillons, qui est maintenant devenue si grave qu'elle peut compromettre les diplômes des étudiants. HARVARD a envoyé un avertissement en Février leur indiquant qu'ils avaient détecté deux cas d'oreillons, mais l'université a annoncé mardi que cela a depuis augmenté à 40 cas.

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PAUL J. BARREIRA, DIRECTEUR DES SERVICES DE SANTÉ À HARVARD a dit qu'il est «préoccupé», ajoutant : «Je désespère que les élèves prennent ces avertissements au sérieux».

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Les OREILLONS sont une maladie virale contagieuse qui se propage par la salive et le mucus, selon le CENTERS FOR DISEASE CONTROL AND PREVENTION (CDC). Cela commence habituellement avec quelques jours de fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires, de la fatigue et une perte d'appétit, suivi par un gonflement des glandes salivaires, et cela peut également provoquer un gonflement douloureux dans les organes génitaux.

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Selon les données publiées le mois dernier par le MINISTÈRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE DE CAMBRIDGE, tous les élèves infectés ont été vaccinés contre les oreillons par le VACCIN ROR, qui immunise contre la ROUGEOLE, les OREILLONS et la RUBÉOLE (ROR).

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ALORS, COMMENT ONT-ILS ÉTÉ INFECTÉS ?
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Bien que cela semble étrange que les gens contractent une maladie contre laquelle ils sont vaccinés, RICHARD WATKINS, un spécialiste des maladies infectieuses au CLEVELAND HOSPITAL CLINIC GÉNÉRAL d'AKRON dans l'OHIO, affirme que «Le vaccin n'est pas à 100% efficace. Les deux doses recommandées offrent 88% d'efficacité et une dose unique, 78% d'efficacité».
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Eh bien, voila le message officiel et pro-gouvernemental : les vaccins ne sont pas efficaces à 100% et cela expliquerait l'épidémie. «Sujet résolu, continuez à vous faire vacciner».

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Mais cela explique t-il vraiment l'apparition de cette épidémie, qui affecte tant de personnes vaccinées ?

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QUE NOUS CACHENT DONC LES MÉDIAS OFFICIELS À CE SUJET ?
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Eh bien, ce qu'ils cachent est que, derrière cette épidémie il peut y avoir un responsable très puissant : BIG PHARMA qui pendant des années a fourni des vaccins contre les OREILLONS.

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Cette flambée inattendue confirmerait les allégations formulées depuis des années contre le géant pharmaceutique MERCK, fabricant du VACCIN ROR livré aux ÉTATS-UNIS, et qui a été accusé à plusieurs reprises de fraude.

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Dans une affaire datant de fin 2014 rapporté pas aucun des grands médias classiques, un juge fédéral en PENNSYLVANIE a statué en faveur des plaignants qui ont accusé MERCK d'avoir menti sur l'efficacité du vaccin contre les OREILLONS (actuellement disponible uniquement en combinaison avec le VACCIN ROR).

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Le scandale avait déjà éclaté en 2012, comme en témoigne cet article, à partir duquel nous obtenons l'extrait suivant :

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MERCK sait depuis une décennie que son vaccin contre les oreillons est «beaucoup moins efficace» que ce que le laboratoire affirme au gouvernement, a des résultats de tests falsifiés et a vendu des millions de doses qui ont une «efficacité douteuse», inondant et monopolisant le marché avec ces vaccins.

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Le centre de premiers soins ALABAMA CHATOM PRIMARY CARE a poursuivi MERCK une semaine après qu'une plainte déposée par deux lanceurs d'alerte de la firme ait été déclassifiée en 2010.

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STEPHEN KRAHLING et JOAN WLOCHOWSKI étaient des virologues qui ont travaillé pour MERCK et qui affirment dans leur plainte qu'ils «ont été témoin des tests abusifs et de la falsification des données avec laquelle MERCK avait gonflé artificiellement les résultats de l'efficacité du vaccin»

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KRAHLING et WLOCHOWSKI ont dit que la manipulation de MERCK a fait que le gouvernement américain a payé «des centaines de millions de dollars pour un vaccin qui ne fournit pas une immunisation adéquate».

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Telle est la réalité de la médecine moderne et de l'industrie pharmaceutique qui a pris le contrôle sur elle.

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Nous parlons d'une manipulation et d'une fraude scientifique à grande échelle au détriment de la santé de millions de personnes et dans le seul but d'accumuler des quantités obscènes de bénéfices pour ces grandes sociétés pharmaceutiques.

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Le cas du vaccin contre les OREILLONS de MERCK et le cas de cette épidémie qui surgi parmi les gens vaccinés est un exemple clair et évident du niveau de corruption dans l'industrie pharmaceutique en collusion avec les États.

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Nous ne disons pas que les médicaments et les vaccins sont une mauvaise chose en soi.

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Ce que nous disons est que les médicaments et les vaccins doivent sauver des vies et nous aider à combattre la maladie, mais lorsqu'ils sont entre les mains d'institutions pharmaceutiques corrompues et criminelles, ils sont devenus un nouveau et terrible danger pour la santé publique.

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En ce moment, beaucoup de médicaments et de vaccins sont tout autant ou plus dangereux que les maladies elles-mêmes et il s'agit d'une chose que le monde de la science, qui a grandement contribué au progrès humain, ne devrait pas tolérer.

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Cependant, nous avons de nombreux scientifiques qui, au lieu de remplir leurs obligations, se prostituent pour l'argent, mentent à la population et collaborent dans ces crimes à grande échelle.


Le niveau de corruption qui a été installé dans le monde de la science, et en particulier dans le monde de la médecine et de la pharmacie, est l'une des plus grandes hontes de notre époque...

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RÉFÉRENCES :

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* http://www.activistpost.com/2016/04/current-harvard-mumps-outbreak-occurs-in-99-percent-vaccinated.html
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http://www.courthousenews.com/2012/06/27/47851.htm
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http://www.forbes.com/sites/gerganakoleva/2012/06/27/merck-whistleblower-suit-a-boon-to-anti-vaccination-advocates-though-it-stresses-importance-of-vaccines/#1ef89460caf7
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http://www.cambridgepublichealth.org/news/article.php?id=171
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http://www.self.com/trending/2016/04/how-40-harvard-students-got-the-mumps-despite-being-vaccinated/
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https://www.yahoo.com/news/42-harvard-students-infected-mumps-180200306.html
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http://www.nbcnews.com/feature/college-game-plan/mumps-outbreak-harvard-threatens-graduation-n564406
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DES ENFANTS RÉCEMMENT VACCINÉS RÉPANDENT LA COQUELUCHE PARTOUT !
3 MARS 2016 VACCINE IMPACT THE VACCINE REACTION
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Les médias ont fait beaucoup de bruit le mois dernier au sujet d’une étude qui portait sur 26 enfants en âge pré-scolaire et qui étaient tombés malades ; ils avaient attrapés la COQUELUCHE ou ont présenté des symptômes de la COQUELUCHE pendant 5 mois en 2013. [1] Tous ces enfants, âgés de un à cinq ans qui fréquentaient l’ÉCOLE MATERNELLE DE TALLAHSSEE avaient reçu 3 ou 4 doses du VACCIN contre la COQUELUCHE (DTCa) selon les recommandations du CDC (CALENDRIER VACCINAL). Les médecins qui étaient devenus nerveux, et les experts des grands médias défendant l’orthodoxie vaccinale ont fait savoir que les critiques des VACCINS risquaient d’en faire toute une histoire. [2]
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Examinons un peu ces éléments pour voir s’il est logique ou non de faire toute une histoire parce que des enfants d’une école maternelle s’infectent l’un l’autre, tout en infectant d’autres enfants restés à la maison, alors que tous avaient été vaccinés contre la COQUELUCHE.
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LE VACCIN CONTRE LA COQUELUCHE NE SERAIT EFFICACE QU’À 45% CHEZ DES ENFANTS D’ÉCOLE MATERNELLE
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L’étude a été réalisée par des responsables de la Santé publique de FLORIDE le 15 janvier 2016, et a été publiée dans le journal médical EMERGING INFECTIOUS DISEASES. Elle a mis en valeur le fait que, chez les enfants en âge de fréquenter l’école maternelle, l’efficacité du VACCIN contre la COQUELUCHE était estimée à 45%. Le nombre moyen de jours entre la dernière vaccination et l’apparition des symptômes de la COQUELUCHE chez les enfants était de 22 mois. Sept enfants avaient été vaccinés l’année précédente..
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«VAXXED» (vaccinés) : ON A CAMOUFLÉ DES DONNÉES LIANT VACCINS ET AUTISME....
20 AVRIL 2016
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film-documentaire «VAXXED» (vaccinés)
en langue anglaise et sous-titres en français
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LE MÉDECIN QUI A FAIT LE LIEN ENTRE LE VACCIN ET L’AUTISME RETROUVÉ ASSASSINÉ
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https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjAxJeReib1oFKTSxfGo1WrFjAuWK-vZ_W1fthbmRBOcNLTlUnmAQTVjlGsVx5XHdmCs6A4mX9dI3r-PxZ2JDBlvV6O4bWB2JfinFILO0XFY6unv_VQWF31dXmkqu8sYrK4cBAxQch5eSoO/w320-h177-no/
LE CORPS DU Dr. JAMES JEFFREY BRADSTREET A ÉTÉ DÉCOUVERT PAR UN PÊCHEUR
5 OCTOBRE 2016 INFOSMAINTENANT
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Le corps du Dr. JAMES JEFFREY BRADSTREET a été découvert par un pêcheur dans la rivière ROCKY BROAD à CHIMNEY ROCK le vendredi 19 Juin.
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En dépit des objections de la part de ceux qui le connaissaient mieux, les enquêteurs de la police affirment que la mort était un suicide, mais les membres de la famille et les amis ne sont pas convaincus.

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Dr BRADSTREET était un parent d’un enfant qui a développé l’autisme juste après avoir reçu une vaccination. Cela l’a incité à rechercher les effets secondaires nocifs des vaccins qui l’ont ensuite transformé en un militant ouvertement.

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Son compte personnel de la blessure par le vaccin causé à son fils est toujours affiché sur son blog en ligne.

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RAPPORT D’INFOWARS :

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«BRADSTREET avait une blessure par balle à la poitrine, ce qui semblait être un auto-infligé, selon les députés» a rapporté le Soutien.

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Dans un communiqué, le bureau du shérif du COMTÉ DE RUTHERFORD a annoncé, «Les plongeurs ont répondu à la scène et ont récupéré une arme de poing dans la rivière»

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Dr. BRADSTREET a couru un cabinet privé à BUFORD, GEORGIA, qui a porté sur «le traitement des enfants atteints de troubles du spectre autistique, PPD, et des troubles neurologiques et de développement connexes»

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Parmi les différentes voies de recours, le center du Dr Bradstreet aurait effectué des traitements « de toxicité du mercure», croyant que le métal lourd pourrait être un facteur de premier plan dans le développement de l’autisme infantile.

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Dr BRADSTREET a entrepris l’effort de déterminer la cause de la maladie après que son propre enfant a développé la maladie après la vaccination de routine.

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«L’autisme m’a appris plus sur la médecine qu’a fait l’ÉCOLE DE MÉDECINE» le médecin a déclaré, une fois lors d’une conférence, selon JAKE CROSBY de l’EPOCH TIMES.

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En plus de traiter les patients, BRADSTREET a également offert un témoignage d’expert devant un TRIBUNAL FÉDÉRAL au nom des familles victimes de vaccination, et a été fondateur et président du CENTRE DE RESSOURCES POUR LE DÉVELOPPEMENT INTERNATIONAL DES ENFANTS, qui à un moment a employé l’expert de l’autisme très méprisé le Dr ANDREW WAKEFIELD comme «directeur de recherche»

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Les circonstances entourant la mort de BRADSTREET sont d’autant plus curieuses par un raid récent multi-agence dirigée par la FDA sur ses bureaux.

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«La FDA n’a pas encore révélé pourquoi les agents ont fouillé le bureau du médecin, qui serait un ancien pasteur qui a été controversée depuis plus d’une décennie», a rapporté le GWINNETT DAILY POST.

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Les pages de médias sociaux dédiés à la mémoire de BRADSTREET sont remplis avec des commentaires des familles qui disent que le défunt médecin a affecté leur vie pour le mieux.

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«Dr. BRADSTREET était le médecin de mon fils après que mon fils a été diagnostiqué avec l’autisme. Il a fait des miracles», un utilisateur de FACEBOOK. «A 16 ans, mon fils cherche maintenant une vie normale grâce à lui. Je le remercie tous les jours»

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«Je serai toujours reconnaissant et reconnaissant pour le Dr BRADSTREET d’avoir récupéré mon fils … de l’autisme», une autre personne écrit. «Les traitements ont changé la vie de mon fils afin qu’il puisse grandir et vivre une vie saine et normale. Dr BRADSTREET nous manquera beaucoup !»

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Une page officielle au FACEBOOK a également été mise en place par l’un des membres de sa famille «Pour trouver les réponses aux nombreuses questions qui ont conduit à la mort du Dr BRADSTREET, y compris une enquête exhaustive sur la possibilité d’une faute»
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